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  • Enfin Cazeneuve signalé

    A la rubrique « Dénoncez votre voisin (musulman) » du site internet du ministère de la police et de la délation, quelqu’un a enfin signalé l’individu Cazeneuve pour qui « prôner le jihad n’est pas un délit ». Ce qui est très inquiétant étant que le dit Cazeneuve est le ministre qui est censé  mener la « lutte contre les filières jihadistes »…

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    (Vu sur le Salon Beige. On attend avec intérêt la réponse du ministère, puisqu’il est dit : « Vous serez recontacté très rapidement. »)

  • Oui, c’était la volonté du pape

    On savait déjà que c’est François qui avait explicitement voulu que les paragraphes du rapport final du synode rejetés par les pères y figurent quand même. Il se confirme aujourd’hui que le pape avait explicitement approuvé l’immonde rapport intermédiaire (celui qui donnait le droit à la communion aux divorcés remariés et reconnaissait des « aspects positifs » aux paires homosexuelles).

    C’est le cardinal Baldisseri, le secrétaire général du synode, qui l’a avoué, à l’ouverture d’une conférence internationale de mouvements familiaux à Rome le 22 janvier, à la faveur d’une question sur l’approbation par le pape des 46 questions des Lineamenta pour le prochain synode :

    « Les documents ont tous été vus et approuvés par le pape. Même les documents pendant le synode, comme la Relatio ante disceptationem, et la Relatio post disceptationem, et la Relatio synodi, ont été vus par lui avant d’être publiés. »

    Et il a ajouté :

    « Ce point est important, non seulement à cause de son autorité, mais aussi parce qu’il met le secrétaire général à l’aise. »

    Sic. C’est pas nous. C’est lui.

  • Saint Jean Bosco

    A neuf ans j'ai fait un songe qui m'est resté profondément gravé dans l'esprit pendant toute ma vie. Dans ce songe, il me semblait que j'étais près de notre maison dans une cour très spacieuse où étaient rassemblés une foule d'enfants qui jouaient. Les uns riaient, beaucoup blasphémaient. En entendant ces blasphèmes je me suis tout de suite jeté au milieu d'eux, donnant du poing et de la voix pour les faire taire.

    A ce moment, apparut un Homme imposant, noblement vêtu. Son visage était si lumineux qu'on ne pouvait pas le regarder en face. Il m'appela par mon nom et me dit : “Ce n'est pas avec des coups mais avec la douceur et la charité que tu devras faire d'eux tes amis. Commence dont tout de suite à leur parler de la laideur du péché et de la valeur de la vertu”.

    Intimidé, craintif, je répondis que j'étais un pauvre enfant ignorant. Alors, les garçons, cessant de se battre et de crier, se groupèrent tous autour de Celui qui parlait. Comme si je ne savais plus ce que je disais, je demandai :

    “Qui êtes-vous pour m'ordonner des choses impossibles ?

    – C'est justement parce que ces choses te paraissent impossibles que tu devras les rendre possibles en obéissant et en acquérant la science.

    – Comment pourrai-je acquérir la science ?

    – Je te donnerai une institutrice. Sous sa conduite, tu pourras devenir savant.

    – Mais qui êtes-vous ?

    – Je suis le Fils de cette Femme que ta mère t'a appris à prier trois fois par jour. Mon nom, demande-le à ma Mère.”

    Aussitôt, je vis à ses côtés une Dame d'aspect majestueux, vêtue d'un manteau qui resplendissait comme le soleil. S'approchant de moi tout confus, elle me fit signe d'avancer et me prit par la main avec bonté :

    “Regarde ! dit-elle”.

    En regardant, je m'aperçus que les enfants avaient tous disparu. A leur place je vis une multitude de cabris, de chiens, de chats, d'ours et beaucoup d'autres animaux.

    “Voilà ton domaine ! Voilà où tu devras travailler. Deviens humble, courageux, et vigoureux : et ce que tu vois arriver en ce moment à ces animaux, tu le feras pour mes enfants”.

    Je tournai donc les yeux et voilà qu'à la place des bêtes sauvages apparurent autant de paisibles agneaux qui sautaient, couraient, bêlaient autour de cet Homme et de cette Femme comme pour leur rendre hommage.

    Alors, toujours dans mon rêve, je me mis à pleurer et je priai cette Dame de vouloir bien s'expliquer d'une façon plus claire, car je ne comprenais pas ce que tout cela signifiait.

    Elle posa sa main sur ma tête et me dit :

    “Tu comprendras tout au moment voulu”.

    Elle avait à peine dit cela qu'un bruit me réveilla. Tout avait disparu. J'étais abasourdi. J'avais l'impression que les mains me faisaient mal à cause des coups de poings que j'avais distribués et que le visage me cuisait d'avoir reçu des gifles de tous ces galopins.

    Le matin, j'ai raconté le songe d'abord à mes frères qui se mirent à rire, puis à ma mère et à la grand-mère. Chacun donnait son interprétation : “Tu deviendras berger”, dit Joseph. “Chef de brigands”, insinua perfidement Antoine. Ma mère : “Qui sait si tu ne deviendras pas prêtre”. C'est la grand-mère qui prononça le jugement définitif : “Il ne faut pas s'occuper des rêves”. J'étais de l'avis de l'aïeule et pourtant je ne réussis jamais à m'ôter tout cela de l'esprit. »

    Don Bosco, Souvenirs autobiographiques

    (Photo: la dernière photographie de saint Jean Bosco vivant, 1887.)