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  • Ça va durer longtemps ?

    Torrent de dépêches d’agences et d’articles sur cette « première » : Obama nomme une « femme noire » ministre de la Justice.

    Comme si ce qui est important est le sexe et la couleur de peau, et non la compétence.

    En outre, ce genre d’exclamation obligée est devenue ridicule : en l’occurrence c’est une femme noire qui succède à un homme noir, et on avait déjà vu au niveau au-dessus, celui de numéro 2 du gouvernement américain, une femme noire (Condoleezza Rice) succéder à un homme noir (Colin Powell) – sous un président de droite… Ah oui il était blanc. D’accord. Mais Obama n’est pas une femme…

  • Le "contrôle des naissances" par le vaccin contre le tétanos

    L’association des médecins catholiques du Kenya a désormais la preuve que le vaccin antitétanique administré au Kenya (et ailleurs) par l’OMS et l’UNICEF contient un antigène qui provoque des fausses couches et la stérilité.

    Alertés par les médecins, les évêques du Kenya avaient déjà dénoncé la campagne de « vaccination », début octobre, par une déclaration de leur commission de la Santé. Ils trouvaient bizarre que cette campagne se fasse de façon discrète, et non avec l’intense publicité habituelle. Ils trouvaient encore plus bizarre que cette vaccination contre le tétanos ne s’adresse qu’aux femmes entre 14 et 49 ans, soit uniquement aux femmes en âge de procréer, comme si les autres, et comme si les hommes, ne pouvaient pas attraper le tétanos… Ils trouvaient bizarre, enfin, qu’on privilégie la lutte contre le tétanos alors qu’il y a bien d’autres priorités sanitaires en Afrique.

    Et la commission soupçonnait fortement les vaccins de contenir des béta-HCG, l’hormone normalement sécrétée par la femme enceinte au début du développement de l’embryon. Or, soulignait la commission épiscopale, « quand elle est injectée comme un vaccin à une femme qui n’est pas enceinte, la béta-HCG combinée avec l’anatoxine tétanique développe des anticorps contre le tétanos et l’HCG, de sorte que si un ovule de femme est fertilisé, son HCG naturelle sera détruite, la rendant infertile. Dans cette configuration, la vaccination contre le tétanos est utilisée comme une méthode de contrôle des naissances. »

    Cette déclaration fut naturellement accueillie par une salve de démentis officiels, tous les acteurs jurant que le vaccin était exempt de toute autre substance que le vaccin contre le tétanos.

    Mais les médecins catholiques du Kenya ont fait analyser six vaccins prélevés dans six régions différentes (ce qui n’a pas été si facile car, autre particularité, le vaccin n’est administré que par des agents gouvernementaux escortés de policiers, qui remportent tout quand ils s’en vont). Or les échantillons, analysés par quatre laboratoires différents, au Kenya et à l’étranger, contiennent tous de la béta-HCG.

    D’où une nouvelle déclaration des évêques du Kenya : « Nous désirons annoncer que tous les tests démontrent que le vaccin utilisé au Kenya en mars et en octobre 2014 est en effet contaminé par l’hormone Beta-HCG » affirment-ils. Cette substance « cause l’infertilité et des avortements multiples chez les femmes », rappelle le document qui s’achève en dénonçant les intimidations perpétrées à l’encontre des médecins qui ont confirmé les informations relatives au vaccin, demandant aux Kenyans d’éviter la campagne antitétanique parce que « nous sommes convaincus qu’il s’agit d’un programme occulte de contrôle de la population ».

    LifeSiteNews affirme avoir un rapport de l’ONU d’août 1992 sur une réunion à Genève entre 10 scientifiques et 10 « militantes de la santé féminine » où l’on discuta de l’utilisation de « vaccins régulant la fertilité », pour conclure que le « vaccin anti-HCG » comme le plus avancé…

    Lequel « vaccin » aurait déjà été aussitôt administré au Mexique en 1993 puis au Philippines en 1994.

    Sources : Jeanne Smits, LifeSiteNews, Radio Vatican, Fides

  • C’est fait : François a mis le cardinal Burke au placard

    Le pape a nommé le cardinal Raymond Leo Burke patron de l’Ordre de Malte. Et le patron de l’Ordre de Malte ne sera pas invité au prochain synode. Par exemple.

    Et un train peut en cacher un autre… Dans le même temps, le pape se débarrasse de Mgr Dominique Mamberti. Car c’est lui qui est nommé préfet du tribunal suprême de la signature apostolique. Mettre à ce poste un des principaux diplomates du Saint-Siège, ça ressemble à une mauvaise blague. Mais c’est seulement un mauvais coup de plus. Pour l’Eglise. Car Mgr Mamberti, nommé par Benoît XVI, avait l’avantage de très bien connaître le monde musulman, et l’islam, et de savoir de quoi il s’agissait.

    A sa place, le pape a nommé le très britannique Paul Richard Gallagher, ci-devant nonce apostolique… en Australie, dont on ne sait rien sauf qu’il est en pamoison devant le pape François.

  • Et in utero accepit et peperit filium

    Accessi, inquit, ad prophétissam, et in útero accépit et péperit fílium. Quod Maria prophétissa fúerit, ad quam proxime accessit Isaías per prænotiónem spíritus, nemo contradixerit, qui sit memor verbórum Maríæ, quæ prophetico affláta spíritu elocuta est. Quid enim ait? Magníficat ánima mea Dóminum: et exsultávit spíritus meus in Deo, salutári meo. Quia respéxit humilitátem ancíllæ suæ: ecce enim ex hoc beátam me dicent omnes generatiónes. Quod si animum accommodáveris univérsis eius verbis, non útique per dissídium negáveris eam fuisse prophétissam, quod Dómini Spíritus in eam supervénerit, et virtus Altíssimi obumbráverit ei.

    « Je m'approchai de la prophétesse, et elle conçut et enfanta un fils » (Isaïe, 8,3). Que Marie fût la prophétesse, dont s’est approché Isaïe par une prédiction de l’esprit, personne ne dira le contraire, si l’on se souvient des paroles de Marie, qui a parlé sous l’inspiration de l’Esprit. Car que dit-elle ? « Mon âme magnifie le Seigneur, et mon esprit exulte en Dieu mon sauveur. Parce qu’il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante, voici en effet que désormais toutes les générations me diront bienheureuse. » Si tu appliques ton attention à toutes ces paroles, tu ne peux absolument pas nier qu’elle fût la prophétesse, car l’Esprit du Seigneur vint sur elle, et la puissance du Très-Haut la prit sous son ombre.

    Saint Basile, traité sur Isaïe. (Lecture des matines de l’office de la Sainte Vierge en novembre.)