L’association des médecins catholiques du Kenya a désormais la preuve que le vaccin antitétanique administré au Kenya (et ailleurs) par l’OMS et l’UNICEF contient un antigène qui provoque des fausses couches et la stérilité.
Alertés par les médecins, les évêques du Kenya avaient déjà dénoncé la campagne de « vaccination », début octobre, par une déclaration de leur commission de la Santé. Ils trouvaient bizarre que cette campagne se fasse de façon discrète, et non avec l’intense publicité habituelle. Ils trouvaient encore plus bizarre que cette vaccination contre le tétanos ne s’adresse qu’aux femmes entre 14 et 49 ans, soit uniquement aux femmes en âge de procréer, comme si les autres, et comme si les hommes, ne pouvaient pas attraper le tétanos… Ils trouvaient bizarre, enfin, qu’on privilégie la lutte contre le tétanos alors qu’il y a bien d’autres priorités sanitaires en Afrique.
Et la commission soupçonnait fortement les vaccins de contenir des béta-HCG, l’hormone normalement sécrétée par la femme enceinte au début du développement de l’embryon. Or, soulignait la commission épiscopale, « quand elle est injectée comme un vaccin à une femme qui n’est pas enceinte, la béta-HCG combinée avec l’anatoxine tétanique développe des anticorps contre le tétanos et l’HCG, de sorte que si un ovule de femme est fertilisé, son HCG naturelle sera détruite, la rendant infertile. Dans cette configuration, la vaccination contre le tétanos est utilisée comme une méthode de contrôle des naissances. »
Cette déclaration fut naturellement accueillie par une salve de démentis officiels, tous les acteurs jurant que le vaccin était exempt de toute autre substance que le vaccin contre le tétanos.
Mais les médecins catholiques du Kenya ont fait analyser six vaccins prélevés dans six régions différentes (ce qui n’a pas été si facile car, autre particularité, le vaccin n’est administré que par des agents gouvernementaux escortés de policiers, qui remportent tout quand ils s’en vont). Or les échantillons, analysés par quatre laboratoires différents, au Kenya et à l’étranger, contiennent tous de la béta-HCG.
D’où une nouvelle déclaration des évêques du Kenya : « Nous désirons annoncer que tous les tests démontrent que le vaccin utilisé au Kenya en mars et en octobre 2014 est en effet contaminé par l’hormone Beta-HCG » affirment-ils. Cette substance « cause l’infertilité et des avortements multiples chez les femmes », rappelle le document qui s’achève en dénonçant les intimidations perpétrées à l’encontre des médecins qui ont confirmé les informations relatives au vaccin, demandant aux Kenyans d’éviter la campagne antitétanique parce que « nous sommes convaincus qu’il s’agit d’un programme occulte de contrôle de la population ».
LifeSiteNews affirme avoir un rapport de l’ONU d’août 1992 sur une réunion à Genève entre 10 scientifiques et 10 « militantes de la santé féminine » où l’on discuta de l’utilisation de « vaccins régulant la fertilité », pour conclure que le « vaccin anti-HCG » comme le plus avancé…
Lequel « vaccin » aurait déjà été aussitôt administré au Mexique en 1993 puis au Philippines en 1994.
Sources : Jeanne Smits, LifeSiteNews, Radio Vatican, Fides
Commentaires
Diable ! Voila qui pourrait éveiller des soupçons sur l'origine de certains virus" échappés de laboratoire".
Au vu des recherches médicales dont le but avoué reste ( parfois) différent d'une réalité cachée , on peut s'inquiéter , à juste titre , selon l'axiome : "Science sans conscience ....ruine de l'âme".
Les malthusianistes seraient impatients de limiter la vie ... des autres.
Vous avez vu juste. Tous les buts sont cachés: les raisons invoquées sont des prétextes: sécurité, santé, protection, économies, bonheur.
Notre ami Amédée peut être content, la dépopulation est en marche, puis la réduction en esclavage de toute la population mondiale restante.
Tueries programmées par les sorciers planificateurs de la culture de mort ......
Ces pratiques sataniques sont dénoncées depuis des lustres par les missionnaires en Amérique Latine et en Afrique. Personne ni croyait: "encore une théorie du complot" disaient-ils. Les évêques du Kenya ont eu le courage de réagir et d'enquêter. Les tueurs se font protéger par la police, c'est logique, les ordres viennent du gouvernement mondial déjà en place. Au Nicaragua et Panama, des équipes médicales européennes d'aide aux populations locales ont été prises en flagrant délit de ligature des trompes, lors des accouchements de primipares qu'ils pratiquaient systématiquement par césarienne. Les jeunes femmes primipares ne pouvaient plus avoir d'enfants.
Mais le vaccin anti-nidatoire c'est plus discret, encore plus que l'implant. Et l'OMS teste des micro-diffuseurs de produits chimiques injectés avec des aiguilles de seringues de gros diamètre 1 à 2 mm au lieu de 1/10e de mm. Les infirmiers africains se demandaient pourquoi les aiguilles de seringue étaient devenues aussi grosses...Ils ont aussi essayé la contamination des puits avec des produits abortifs, mais ce n'est pas assez efficace.