Dans une question écrite au ministre de l’Education, le député socialiste Sandrine Mazetier, vice-présidente de l’Assemblée nationale, demande que l’on ne parle plus d’écoles maternelles, parce que cela « laisse entendre que l’univers de la petite enfance serait l’apanage des femmes ». Elle propose de « remplacer ce nom genré (sic) par un nom neutre » (comme « première école » ou « école élémentaire ») qui « redonnerait symboliquement aux pères la place qui leur revient dans l’éducation de leur enfant ».
On remarque d’abord que l’idéologie du genre rend fou. Ce que l’on le savait déjà.
Mais on découvre avec stupéfaction qu’une personne si attentive aux questions du genre évoque la place qui revient au père… Comme si le père était autre chose que la mère. Car c’est la même Sandrine Mazetier qui va voter la destruction de la famille et le remplacement du père et de la mère par « parent 1 » et « parent 2 ». Et son propos est du reste violemment discriminatoire envers les paires homosexuelles. Quelle est donc la place qui revient au père dans une famille où les « parents » sont deux femmes ?
Commentaires
Je ne comprend pas cette folie qui les habite, cet acharnement à détruire nos bases naturelles .
Ils ne sont pas tous possédés quand même ?
Qu'est-ce qui a pu les rendre si hargneux, si haineux ?
Ou ils sont possédés, ou ils souffrent de troubles psychiatriques, ou les deux, ou ils s'ennuient et n'ont rien d'autre à faire, ou les trois à la fois....
Pour résumer la connerie a rarement atteint de tels sommets.
Magnifique !!! Du grand art !
un grand merci d'employer le mot : "paires" et non couple, en
attendant l'interdiction .
Bien sur qu'ils sont possédés du diable. Attendons nous à la justice
immanente. N' oubliez pas ce qui est arrivé après l'adoption du PACS