Un responsable turc, parlant sous couvert de l’anonymat (?!) a déclaré : « Nous sommes prêts à ouvrir un port maritime et un aéroport » pendant un an au commerce chypriote, afin d’éviter une suspension des négociations d’adhésion, mais « la Turquie veut un règlement global de la question chypriote pendant ce temps ». Et l’Union européenne doit lever les restrictions imposées à la « République turque de Chypre du Nord », en ouvrant l’aéroport d’Arcan au trafic international.
Autrement dit le gouvernement turc est anonymement prêt à céder le plus strict minimum pour continuer les négociations, tout en se réservant la possibilité de montrer qu’il n’a rien cédé mais a conclu un marché qui lui est favorable…