Nouvelle attaque du pape contre la liturgie traditionnelle. La bonne nouvelle c’est que ces attaques à répétition montrent qu’il se heurte à une certaine résistance.
Son petit soldat Arthur Roche, qu’il a fait préfet de la Congrégation pour le culte divin et qu’il vient de créer cardinal, s’est répandu en interviews à cette occasion. Il a dit notamment que la nouvelle messe faisait partie d’une réforme nécessaire et que toute opposition signifiait que les opposants risquaient devenir « plus protestants que catholiques ». Il a expliqué que pendant la réforme protestante les martyrs catholiques souffraient pour « deux choses : pour la messe, et par fidélité au Siège de Pierre, par fidélité au pape ». La messe est un « point d’unité » avec le pape. « Si vous prenez cela au sérieux, alors cela soulève pour nous tous un examen de conscience sur la façon dont nous considérons cela : Est-ce vraiment quelque chose que nous prenons au sérieux, ou essayons-nous de créer une autre église ? Essayons-nous d'être protestants au lieu d'être catholiques ? »
Réponse: Ga-bu-zo-meu.
Commentaires
Avec Bergoglio, les choses sont plus simple qu'il n'y paraît... Vous voulez être des vrais catholiques fidèles ? Très facile : faites juste le contraire de ce que disent lui et ses sbires...