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Ubu enfoncé

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Le procureur de Saint-Gaudens (avec ce regard fixe et vide qu’ont désormais la plupart des autorités), Christophe Amunzateguy :

« J'ai saisi la division de lutte contre les crimes de haine de l'Office central de lutte contre les crimes contre l'humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH) qui travaillera en cosaisine avec la brigade de recherche de gendarmerie de Saint-Gaudens » dans le cadre de l'enquête préliminaire pour « provocation publique à la haine raciale » ouverte après l’opération de Génération identitaire dans les Pyrénées.

Commentaires

  • le regard fixe et vide comme celui du ceaucescu de Lélisé est dû à [...]

    [Censuré. Je ne souhaite pas risquer une condamnation en diffamation. Sinon je l'aurais dit moi-même. YD]

  • Moi aussi avec toutes les précautions qui s'imposent, et comme une généralité sans aucun rapport avec l'objet de cet article, je rappelle qu'on a noté depuis quelques années l'essor de la consommation de sucre glace dans la haute fonction publique.
    Le glucose, les bonbons, etc. sont excellent pour le stress on.le sait .

  • Tant qu'on ne parle pas de bicarbonate de soude...

  • ....et c'est injuste. Le bicarbonate de soude est excellent pour les dyspepsies.

  • Comme accro éventuel à la coco, je verrais plutôt Goldnabel que cet obscur magistrat. Mais pour qui a affaire à la justice, et quelles qu'en soient les raisons, il est clair que cette institution n'échappe plus à la vérole. Après le cas Hervé Ryssen, celui de Johan Livernette montre que s'afficher publiquement de droite n'arrange les affaires de personne.
    Je crois que le code de Hammurabi punissait de mort les calomniateurs et autres accusateurs prompts à traîner en justice les gens dont la tête ne leur revenait pas. Sage mesure, qui nous débarrasserait rapidement de certains lobbyistes, qu'on s'abstiendra de nommer, puisqu'ils sont innommables.

  • cette justice forme un couple parfait avec une police encore plus innomable
    il y a quelques années, le chef de l'échelon de Lyon de la direction nationale des enquêtes douanières démasqua un commissaire de police du coin qui faisait du trafic de drogue par colis postal; c'était une insulte que la Police ne pouvait supporter, et elle organisa un traquenard pour ce malheureux fonctionnaire, prés de Dijon, où sévissait un juge d'instruction influençable qui le mit immédiatement en prison; les délires d'un juge d'instruction ayant force de loi en France, il fallut que le ministre en personne, Michel Charasse en l'occurence, prit l'affaire en mains et fit voter en urgence par le Parlement un texte qui légalisait tout ce que la police reprochait à sa victime, il y avait auparavant un simple vide juridique dont elle avait profité pour exercer sa vengeance : la procédure qu'avait utilisée le douanier, courante aux Etats-Unis, n'avait pas encore été homologuée en France et manquait donc d'un encadrement réglementaire; il s'agissait quand même d'une affaire importante de trafic de drogue; quant au fonctionnaire victime de cette machination, sa carrière fut brisée : l'Administration aime le calme

  • Ça doit être pas mal, ma louloute, mais un peu long pour qu'on te lise. Condense, cocotte, qu'on danse !

  • il n'a rien compris, comme d'habitude

  • Ce que j'aime chez toi, mon Théo, c'est que tu es de ces amis qui ne me raccrochent pas au nez. I love you !

  • pédé !

  • Toujours subtil et délicat. Un vrai bulldozer. Et ça va voir le Voyage à Tokyo ! Je devais y être le même jour. Il y avait un type qui hurlait : "On vous a pas bien pulvérisés, les Niakoués ! Attendez de voir un peu Rambo et Terminator, bande de tarlouzes aux yeux bridés ! C'était vous !

  • cet escroc ne sait même pas qu'à la Cinémathèque il n'y a que des séances uniques

  • Je me fous de la cinémathèque. J'ai vu tous les films qui en valaient la peine. Si quelqu'un me trouve un chef-d’œuvre que je ne connais pas, c'est comme en musique : on peut me parler de la messe en do, de la messe en ré, de la messe en fa. Je m'en fous, je l'aime en si !

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