Juste après la consécration, dans la divine liturgie de saint Jean Chrysostome, on chante une hymne à la Mère de Dieu. Au temps pascal c’est celle-ci :
Ὁ Ἄγγελος ἐβόα τῇ Κεχαριτωμένῃ· Ἁγνὴ Παρθένε, χαῖρε, καί πάλιν ἐρῶ, χαῖρε· ὁ σὸς Υἱὸς ἀνέστη τριήμερος ἐκ τάφου. Φωτίζου, φωτίζου, ἡ νέα Ἱερουσαλήμ, ἡ γὰρ δόξα Κυρίου ἐπὶ σὲ ἀνέτειλε· χόρευε νῦν, καὶ ἀγάλλου Σιών. Σὺ δὲ ἁγνή, τέρπου, Θεοτόκε, ἐν τῇ ἐγέρσει τοῦ τόκου σου.
L’ange cria à la pleine de grâce : Pure Vierge, réjouis-toi, je le répète, réjouis-toi, car ton Fils est ressuscité le troisième jour. Illumine, illumine, Jérusalem nouvelle, car la gloire du Seigneur s’est levée sur toi. Exulte maintenant et réjouis-toi, Sion. Et toi, toute pure, Mère de Dieu, réjouis-toi en la résurrection de ton Fils.
Par Charalambos Symeonidis, le protopsalte de l’église Saint-Eleuthère d’Athènes, le 22 avril dernier, selon la mélodie établie par l’ancien chef protopsalte du patriarcat œcuménique Thrasyvoulos Stanitsas.
On l’entendra en arabe ici.