Lors des examens médicaux qui ont été faits après sa chute du 7 novembre, on a trouvé des nodules cancéreux dans un poumon de Ruth Bader Ginsburg. Elle vient donc d’être opérée de ces nodules et l’on nous affirme qu’il n’y en a pas d’autre signe de la maladie ailleurs.
La peur s’est de nouveau emparée du monde des idéologies de la décadence et de la culture de mort. Les messages d’affliction ont submergé les réseaux sociaux, certains étant prêts à donner un poumon pour sauver la vieille harpie : si elle meurt, Donald Trump va nommer un juge qui ne jugera pas selon ces idéologies.
A cette occasion j’apprends que lorsqu’on lui demande si elle est satisfaite du nombre de femmes à la Cour suprême (trois sur neuf), elle répond qu’elle le sera quand il y en aura neuf…
Mais une fois qu’on aura éliminé les hommes, il faudra éliminer les femmes qui ne sont pas assez à gauche…
Commentaires
Ils sont bien optimistes les toubibs. Quoi qu'il en soit il faut saluer leur travail. Consistant à soigner. Exclusivement. Cependant, tout en souhaitant un prompt rétablissement à la personne atteinte de cette terrible maladie je persiste dans mes prières pour sa conversion. Quant à ses propos sur la composition de la Cours Suprême des États Unis d'Amérique, eh bien, je dirais sans malice, que l'heure est venue d'en faire le deuil. Cette personne n'est indispensable en rien. Sa disparition sera peut-être un événement terrible en ce qui la concerne mais n'aura aucune incidence sur l'humanité. Qu'elle entame donc un sérieux travail sur la sainte humilité. La fin étant proche. Qu'elle se hâte. Le Souverain Juge n'en aura rien a faire de ses titres, de ses diplômes, de son "génie", de ses engagements. En revanche Il lui demandera de comptes sur l'utilisation qu'elle aura fait de ses talents. Et aucune obole ne lui sera remise.
Le propos de RBG sur une Cour suprême intégralement constituée de femmes est évidemment une provocation destinée à faire sortir les hommes de leur autosatisfaction, comme la phrase d’après le montre clairement.
https://washington.cbslocal.com/2012/11/27/ginsburg-wants-to-see-all-female-supreme-court/
Leur "autosatisfaction" ?
Je suis en total désaccord. RBG veut souligner que personne ne trouvait anormal une Cour suprême composée d'hommes. Evidemment, puisque c'était normal. Dans une société traditionnelle, les hommes parlementent aux portes de la ville, et les femmes font vivre le foyer. Ce qui n'empêche pas des exceptions. Le drame de notre époque est que les femmes ne comprennent plus ce qu'est leur rôle essentiel dans la société, leur rôle suréminent de femme au foyer. Résultat il n'y a plus d'enfants et la société se meurt, rongée par l'immigration. Je ne cèderai jamais un pouce au féminisme, révolutionnaire et mortifère dans toutes ses expressions.
J'ajoute qu'il y a encore des femmes, hélas trop peu nombreuses, qui sont parfaitement conscientes de cela, de l'éminence de leur vocation naturelle rehaussée par leur assimilation sacramentelle à l'Eglise épouse féconde du Christ.
il est encore plus simple de remarquer que seules les femùmes savent faire des enfants, et que la société est bien obligée de s'organiser en fonction de cette évidence si elle veut survivre
Humainement, ce qui dessert RBG, c’est que, effectivement, son aspect physique évoque une vieille sorcière hargneuse. Chose un peu inattendue, elle était amie avec feu le juge Scalia (un catholique plutôt cohérent, contrairement au juge Anthony Kennedy), alors que, sur certains sujets de fond, ils étaient aux antipodes l’un de l’autre.
Qui est-ce ? Une juive ? Pourquoi, donc, cet émoi ?
On s'en fout, qu'elle soit juive, euthanasiste et pro-avortement. Le problème, c'est que trois femmes siègent à la Cour suprême. Et je ne vous raconte même pas comment elles cuisinent, ces s...opes... J'ai rencontré l'un des maris, un jour : on aurait dit Gandhi après vingt ans de cercueil. Faut vraiment qu'elles arrêtent, avec la politique...