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Une première

Aujourd’hui ont été béatifiés comme martyrs des gens dont on ne sait ni où, ni quand, ni surtout pourquoi ils ont été tués.

Parmi eux, un prieur cistercien ouvertement et explicitement hérétique (« Le Coran est le Verbe fait Livre », le christianisme et l’islam sont deux échelles qui se rejoignent au sommet, les différences entre le christianisme et l’islam sont « un sacrement d’unité », etc.).

Commentaires

  • Les deux béquilles du Catholicisme sont la Foi et la Raison. Sans la Foi, la Raison devient folle et sans la Raison, la Foi délire.

    Dans l'Église de Bergoglio on a perdu et la Foi et la Raison. Qu'on s'étonne, après ça de l'état calamiteux où elle se trouve et ce, par la faute des évêques et cardinaux qui ne font pas leur boulot pour arrêter le travail de sape de Bergoglio.

    Il faut rien de moins que l'intervention du Christ pour sauver l'Église. Il ne nous reste qu'à prier et attendre.

  • tout à fait d'accord avec vous Cléandre, ce pape est affilié à soros le diable, il marche dans ses combines
    IL NOUS FAUT LE DESTITUER VITE ET BIEN, son élection vaut celle de macron : faussée complètement!

  • taceant mulieres

  • http://yvesdaoudal.hautetfort.com/list/conferences/l-apostasie-de-tibhirine.html

    Intéressant !

  • Quand le film Des hommes et des dieux est sorti en 2011, le Salon Beige a publié une note en-dessous de laquelle on trouve un intéressant commentaire signé Chrétien d’Algérie.

    J’en extrais ce passage : « Il est pourtant des absents de poids dans cette fiction manipulatrice : les chrétiens autochtones. Pas une seconde, son film orienté n'y fait allusion. Ils sont purement et simplement niés, maintenus dans l'ombre d'où nul ne doit surtout les voir. Car ils détruisent irrémédiablement le message révisionniste du cinéaste. Avec eux, plus question dialogue avec l'islam. Ils en subissent les assauts vengeurs, ce que la communauté chrétienne tout entière en Algérie savait. Dont les moines.
    De moines en paix avec les musulmans, ça veut dire des moines indifférents au sort des chrétiens indigènes. Et tel était le cas. Car en guise de paix, les chrétiens du pays sont en proie à maints tourments et sont rejetés par leur peuple pour cause de "trahison", d'apostasie et sont traités de harkis et de suppôts de la France tandis que les moines, eux, assimilés à des étrangers, étaient tolérés comme chrétiens.
    Les chrétiens d'Algérie dont je fais partie n'ont jamais trouvé en les frères trappistes tués le plus petit début de soutien. Pas une allusion à leur sujet dans le moindre document rédigé par ces derniers, plus préoccupés par le syncrétisme islamo-chrétien que par la propagation, l'enseignement et le partage des Evangiles, conformément à leur vocation.
    Si les moines ont vécu dans une paix relative avec les musulmans, c'est parce qu'ils se sont gardés de faire montre de sollicitude et d'amitié à l'égard des chrétiens locaux, cibles de la haine musulmane ».

    https://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/02/des-hommes-et-des-dieux-césar-du-meilleur-film.html

  • Dans le même sens il y a son affreux mépris des ouvriers croates qui étaient venus à la messe de Noël.

  • Cher Yves
    De quoi s agit ? Quels Croates ? Où? Quand ?

  • http://yvesdaoudal.hautetfort.com/list/conferences/l-apostasie-de-tibhirine.html

  • Merci cher Yves de cette analyse complète, effrayante et lamentable au fond...

  • Yves Daoudal connaissant bien la perspective de Christian de Chergé sur l’islam, peut-être pourra-t-il redresser mon impression rapide si elle est fausse.

    J’ai le sentiment que l’islam de Christian de Chergé est un islam sans Hégire, sans hadiths, sans Sira, un islam sans chronologie coranique avec abrogation, et où la Fatiha n’a pas de verset 7, un islam sans charia.

  • C'est cela et en même temps c'est pire. C'est un islam fantasmé, inspiré par le soufisme, mais arrangé à sa sauce personnelle,et il ne prend dans le Coran que ce qui sert son syncrétisme.

    Il aurait pu être tué comme mauvais musulman, et non comme moine catholique (même si ce n'est pas le plus probable).

  • Il y a peu d’années, je m’étais amusé à estimer au jugé la longueur des rangées de livres sur l’islam dans quelques grandes librairies parisiennes, selon la représentation relative du soufisme. J’étais arrivé à au moins 80 % des longueurs de rayonnages sur le soufisme. Pour le Français cultivé, l’islam offert à sa curiosité, c’était le soufisme, et encore souvent un soufisme un peu accommodé. Quant au Coran, aucune édition permettant de s’y retrouver.

  • de quel évêque s'agit-il ?
    on n'a quand même pas béatifié Mohamed Duval ?

  • Taisez-vous, malheureux ! Si Bergog-et-Magog vous lit, vous allez lui donner des idées.
    http://pachakmac.blog.24heures.ch/archive/2015/02/02/angouleme-2015%C2%A0-la-bande-assassinee-858083.html

  • Il s'agit de Mgr Claverie évêque d'Oran. Mais je viens d'enlever la mention que j'en faisais parce que ma formulation était bancale : en ce qui concerne l'évêque on sait où et quand il a été tué. (Mais on ne sait toujours pas pourquoi a été tué "l'évêque des musulmans".)

  • si c'est Mgr Claverie, pourquoi l'appeler l"évêque" des musulmans, formule qui conviendrait beaucoup mieux à son cardinal-archevêque ?
    le seul souvenir que j'en ai est une déclaration assez musclée dans laquelle il disait que le sort qui l'intéressait était celui des chrétiens de son diocèse

  • Ce n'est pas moi...

    https://www.google.com/search?q=mgr+claverie+%22%C3%A9v%C3%AAque+des+musulmans%22&ie=utf-8&oe=utf-8&client=firefox-b

  • de quoi avez-vous peur, Stavrolus ?
    je constate surtout qu'alors que ses prédécesseurs avaient nommé en Algérie et en Tunisie des archevêques arabes, c'est à dire des gens sachant comment s'y prendre avec les Musulmans, le pape actuel a nommé archevêque d'Alger un jésuite français qui n'a pas forcément les aptitudes de son prédécesseur, surtout quand on connait la dérive actuelle du clergé français

  • Les franc-macs avaient obtenu des autorités religieuses françaises l'abandon de la conversion des musulmans et Mgr Lavigerie et ses successeurs le respectèrent à la lettre.
    Après nous avons eu la haute trahison gaullienne:
    http://www.babelouedstory.com/thema_les/histoire/12027/12027.html
    Et la persécution continue en Algérie, comme le signale Cudmurgeon.
    Le destruction de l'occident chrétien est bien avancée.

  • il y a des siècles que l'Occident chrétien a été détruit en Afrique du Nord

  • Oui, mais on aurait pu le restaurer dès 1847. On a bien évangélisé le reste de l'Afrique. Pourquoi par l'Afrique du Nord?

  • vous semblez ignorer que l'Afrique du Nord est musulmane, comme l'Afrique de l'Ouest qui n'a pas été évangélisée non plus
    à l'exception de Malte, il y a peu, pour ne pas dire pas, de pays musulmans qui aient été réévangélisés, peut-être la Sicile, mais l'Espagne et le Portugal, la Nouvelle Russie et la Crimée, ne l'ont été qu'au prix d'un changement de population

  • Quelqu’un parmi les éminents lecteurs de ce site pourrait-il me dire (avec référence à l’appui si possible) dans quelle mesure est engagée l’infaillibilité papale lors des canonisations et béatifications ?

  • Elle n'est pas engagée dans les béatifications.

    En ce qui concerne les canonisations, une grande majorité de théologiens pensent qu'elles engagent l'infaillibilité. Mais ce n'est pas défini.

  • Merci pour cette réponse.

  • Un journaliste avait recueilli en 2012 les’propos du frère Jean-Pierre, survivant de Tibhirine. Dans son compte rendu, Henri Hours disait :

    « Et voici que peu à peu, surtout à la lecture des dernières pages, apparaît et se développe une gêne. Alors que, chez (Charles de) Foucauld, ne se trouve pas la moindre trace de syncrétisme, on sent ce dernier flotter dans ces pages comme un léger parfum, s’accrochant ici à un propos, là à un fait rapporté, à Midelt comme à Tibhirine, comme si, pour aimer les musulmans, il fallait aussi aimer l’islam. Pratique du ramadan, suppression des traces de clous dans l’image du Christ les bras en croix, éloge enflammé de l’islam. Un islam, il est vrai, vu surtout à travers la mystique soufie, et à travers la simplicité des montagnards d’Algérie et du Maroc. Bref, la religion « d’amour et de paix » dont on parle tant aujourd’hui (mais dont l’Europe, en quatorze siècles, a acquis une expérience quelque peu différente). Mais ne restons pas sous cette ombre. (...) Le tout est du plus haut intérêt. Ce qui compte, c’est le témoignage ici donné d’une charité et d’une foi héroïques, jusqu’au martyre."
    Le Bulletin des lettres, mensuel (Lyon) - recension de Henri Hours (décembre 2012)

  • "Ce qui compte, c’est le témoignage ici donné d’une charité et d’une foi héroïques, jusqu’au martyre."
    En théorie, ceux qui meurent égorgés ou découpés en petits morceaux, fût-ce pour le Christ, vont en enfer, s'ils ne confessent pas la vraie doctrine. En pratique, je suis persuadé que Notre Seigneur est beaucoup plus indulgent, envers ceux qui meurent en prononçant le Nom au dessus de tout nom.

  • ce n'est pas évident
    un dimanche où j'assistais à la messe à Saint Julien le Pauvre, le curé rappela que nous étions le jour de la saint Arethas, et expliqua que ce saint était un hérétique, mais avait été canonisé parce qu'il avait été martyrisé par les Juifs en haine du Christ, alors qu'il n'en aurait pas été question s'il avait été justement condamné pour son hérésie par les tribunaux de l'Empire

  • Je veux bien, mais le ménologe grec-catholique ne dit pas qu'il fût hérétique, et les sites orthodoxes que j'ai consultés non plus.

  • je crois savoir que Mgr Nasrallah, qui avait noté ce fait, était un érudit réputé, et je ne vois pas pourquoi il aurait voulu induire ses fidèles en erreur
    d'autre part, cet Arethas était le prince d'une tribu chrétienne du Yemen, ce qui semble prouver qu'il n'était pas orthodoxe, ces tribus du Yemen, d'aprés ce que j'en sais, étant monophysites

  • Quand bien même Arethas au fin fond de l'Arabie aurait raté un concile, ça n'a rien à voir avec ce que faisait le P. de Chergé.

    Et surtout Arethas est mort très explicitement pour le Christ et en confessant publiquement le Christ, alors qu'on ne sait toujours pas comment ni pourquoi est mort de le P. de Chergé.

  • ce n'est pas au Père de Chergé, dont j'ignore à peu prés tout, et dont on ne saura jamais comment et pourquoi il est mort, que je faisais allusion; je répondais à une affirmation qui me semble au moins aventureuse et qui reste d'actualité : doit-on penser, par exemple, comme l'enseignait ce commentaire, que les ouvriers égyptiens assassinés par Daech sur une plage libyenne ne sont pas des martyrs chrétiens, mais de misérables hérétiques voués aux flammes éternelles ?
    quant à saint Arethas et à ses compagnons, une rapide visite sur Wikipedia, je cite mes sources, vient de m'apprendre qu'ils appartenaient à l'Eglise d'Ethiopie qui, autant que je sache, a toujours été monophysite

  • En 1982, Christian de Chergé publie un texte intitulé Prier en Église à l’écoute de l’islam. Il est repris ici :
    http://icm.catholique.fr/wp-content/uploads/2015/12/CdD-27.pdf

    J’y apprends notamment que le prieur en était à un stade où il approuvait un pasteur protestant qui tenait Mahomet pour un authentique prophète inspiré de Dieu. Ensuite que

    Voici un extrait :
    « Et pourtant, Celui qui nous ouvre le chemin des Écritures est aussi Celui qui veut nous garder avides de toute Parole qui sort de la bouche du Très-Haut. De même qu’il y a une lectio divina possible de la nature, de toute créature et du cœur de l’homme, de même je pense qu’un contem- platif peut laisser retentir, dans la paix d’une écoute intérieure, le Livre de l’islam, avec le désir et le respect de ces frères qui y puisent le goût de Dieu. Le conseil de Gamaliel (Ac 5,39) vaut sûrement pour l’islam après quinze siècles d’existence, et donc pour le Coran. Une fréquentation quotidienne de ce dernier cesse peu à peu de paraître desséchante, alors même qu’elle reste souvent ardue et déconcertante, au même titre qu’une première lecture de tant de passages bibliques.
    Au point où j’en suis, je comprends que le pasteur Gabus ait pu écrire « Je crois profondément que l’islam s’enracine dans la tradition de la révélation judéo-chrétienne et que Mohammed a été un prophète authentiquement inspiré par l’Esprit du Dieu Un et Vivant »5.
    Et en effet, il m’est arrivé, bien souvent maintenant, de découvrir, au fil du Coran, un de ces parcours d’Emmaüs où vibre la joie qui brûle au cœur de notre Dieu. Certains versets que je rumine volontiers me semblent être un évangile en raccourci, avec un sens toujours nouveau et actuel. Mais, à travers eux, la certitude qui s’ancre en moi reste profon- dément accordée à ma foi, puisqu’elle me redit que le Christ de Pâques accomplit toutes les Écritures, y compris le Coran ».

    Au début de cette publication est cité en partie le fameux verset 5:82 du Coran «  constateras que les hommes les plus proches des croyants par l’amitié (mawaddatan) sont ceux qui disent : oui, nous sommes chrétiens! ». C’est vraiment touchant, mais, comme le relève sans faiblesse Yves Daoudal dans sa conférence, il serait tout de même judicieux de lire aussi la suite. Quand on prend la peine de lire 5:82-5:86 à la suite, on constate évidemment que le morceau isolé dans 5:82 n’est nullement un éloge des chrétiens, mais un éloge de ceux des chrétiens qui ont reconnu Mahomet comme un prophète, donc de ceux qui sont devenus musulmans. C’est par exemple ce qui est expliqué on ne peut plus clairement chez un commentateur musulman contemporain sur un site Internet en anglais :
    https://islamqa.info/en/answers/22182/are-the-christians-who-exist-nowadays-the-closest-to-us-in-love-and-friendship

    Il est fascinant de voir des hommes d’Église, y compris certains qui connaissent l’arabe et ont fait apparemment des études d’islamologie (c’était le cas du père de Chergé), lire le Coran de cette manière totalement incompétente. Cet aveuglement idéologique a des conséquences calamiteuses, puisque le fidèle catholique moyen pense pouvoir accorder sa confiance à des prêtres aussi savants, lesquels sont en fait, il est pénible d’avoir à l’écrire, des nuisibles.

  • Ils ont béatifié un apostat... Incroyable !

  • Le père de Chergé ne s’est pas pensé comme apostat. Mais il a glissé sur une pente séduisante, qui va même plus loin que le cas de l’islam, comme le montre la fin de mon extrait, où « le Christ de Pâques accomplit toutes les Écritures, y compris le Coran ». C’est la séduction de la Philosophia Perennis (il y a un livre fascinant d’Aldous Huxley sous ce nom).

    Qu’il y ait des intuitions précieuses ici et là dans des textes divers, c’est ce qu’un catholique peut parfaitement admettre ; des pères de l’Église l’ont dit. Mais le père de Chergé va nettement plus loin. Il semble avoir manqué de rigueur d’esprit. Cette déficience n’enlève rien à sa grandeur humaine, mais elle oblige à la circonspection.

  • A un certain niveau de lecture, Caïphe, Pilate, BHL, et même pope Frankie font la volonté divine. Pour convertir ces pauvres ensorcelés de musulmans, les moyens ne sont pas les mêmes que pour l'Empire romain ou les Aztèques. Je veux croire que Jean-Paul II a fait une chose abominable en baisant le Coran. Néanmoins, il y avait quelque chose de constructif dans sa démarche. On n'entreprend pas la conversion des sectateurs de Mahomet en leur expliquant que ce type était une sous-merde, si tant est qu'il ait jamais existé. Pas plus qu'on ne convertit les juifs en leur racontant que le zyklon B ne servait qu'à gazer les poux à Auschwitz...

  • Le texte du Père de Chergé que j’ai cité figure dans une « revue théologique et pastorale sur le dialogue interreligieux, fondée par l’Institut de sciences et théologie des religions de Marseille ». Normal, il s’agit du fameux dialogue inter-religieux, et en particulier du dialogue islamo-chrétien.

    Ici surgit un léger petit problème. Qui est de savoir de quoi on parle quand on emploie le mot « religion ».

    On voit ce que ça veut dire dans le cas du catholicisme, par exemple. L’ennui, c’est que les musulmans ne pensent pas l’islam comme une religion, mais comme un système englobant, total, qui comporte non seulement ce que nous appellerions une religion, mais aussi bien d’autres choses.

    C’est bel et bien ce système hybride religion + idéologie socio-juridico-politique dont les musulmans vantent la supériorité, notamment en rejetant la distinction Dieu / César. Et cela de la façon la plus nette, la plus explicite. Il suffit de savoir lire.

    http://francais.islammessage.com/Article.aspx?i=4559

    http://www.islamweb.net/en/article/111867/islam-a-complete-code-of-life

    Depuis trente ans ou plus les catholiques s’échinent à « dialoguer » (avec une forte tendance au soliloque) avec ce qui n’est pas simplement une «  religion », mais quelque chose pour quoi nous n’avons pas de mot en français.

    Les moines de Tibhirine ne pouvaient pas l’ignorer.

    Encore moins le père Christian Delorme, qui aime à se rassurer sur l’islam en France, avec son concept sympa de « l’islam des familles ».

  • Mgr Faure, consacré par Mgr Williamson, parle en pleurant de son apostolat auprès des musulmans. Aucun doute : c'est ça ou la guerre civile. Les Arabes sont un peuple de foi. S'ils la mettent au service du Christ, la victoire est assurée. C'est l'avenir de l'Europe, comme Clovis en son temps.

  • Les promoteurs du "dialogue interreligieux" auraient dû lire saint Paul:

    "Ne formez pas d’attelage mal assorti avec des non-croyants : quel point commun peut-il y avoir entre la condition du juste et l’impiété ? quelle communion de la lumière avec les ténèbres ? quel accord du Christ avec Satan ? ou quel partage pour un croyant avec un non-croyant ? quelle entente y a-t-il entre le sanctuaire de Dieu et les idoles ? Nous, en effet, nous sommes le sanctuaire du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit lui-même : J’habiterai et je marcherai parmi eux, je serai leur Dieu et ils seront mon peuple." (2 Corinthiens 6, 14-16)

  • Faure et Williamson sont schismatiques et se revendiquent comme tels. Du balai.

  • La déclaration exacte de Williamson sur ce sujet est la suivante : "Il y a un plus grand risque encore que d’acquérir une mentalité schismatique, qui est celui de contracter la maladie mentale et spirituelle des Romains d’aujourd’hui, en s’approchant trop près d’eux. Avec la grâce de Dieu, ni l'un ni l'autre !"
    Mgr Williamson n'est même pas "non una cum". Il a été exclu de la FSSPX alors qu'il défendait la position exacte de Mgr Lefebvre : pas d'accord possible avec la Rome de Vatican II. En 2012, c'était d'un visionnaire. Où en serait la Fraternité, si elle s'était ralliée à ce qui allait devenir l'église de Bergoglio ?
    Si Mgr Williamson est schismatique, il faut alors admettre que toute la Fraternité l'est et que Mgr Lefebvre l'était aussi. A mon avis, c'était plutôt un saint.

  • Voir le site de l'Abbé Pagès, que vous connaissez probablement : Islam et Vérité. On y apprend beaucoup de choses et ce prètre est pour moi un saint.

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