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Et les femmes diacres aussi ?

Ce n’est pas un mystère que le synode sur l’Amazonie que François va convoquer à Rome a notamment pour but de permettre l’ordination d’hommes mariés : c’est ce que tout le monde voit en filigrane de l’expression « identifier de nouvelles voies pour l’évangélisation de cette portion du peuple de Dieu ». On sait que le cardinal Hummes, grand ami de François, parrain de la mafia de Saint-Gall, aujourd’hui président de la commission épiscopale brésilienne pour l’Amazonie, est de toutes les dérives modernistes et donc ultra-favorable à l’ordination d’hommes mariés.

Selon le Messaggero, dont les informations sont reprises par le Telegraph, suite à une demande du cardinal Hummes, François a demandé aux évêques brésiliens d’étudier la question sans attendre le synode (ou pour le préparer).

On sait que François lui-même l’avait évoquée, dans une interview à Die Zeit, le 9 mars dernier : « Nous devons considérer si les viri probati sont une possibilité. Alors nous devrons déterminer quelles tâches ils peuvent accomplir, par exemple dans des communautés reculées. »

L’agence autrichienne KathPress cite de son côté des propos de Mgr Erwin Kraüstler, qui est autrichien mais a été évêque de la prélature territoriale de Xingu (Amazonie), aujourd’hui secrétaire de la commission dont le cardinal Hummes est président, surtout connu comme activiste indigéniste et contre la déforestation (thème également du futur synode). Mgr Kraüstler demande que le synode permette l’ordination d’hommes mariés à cause de l’« effroyable » pénurie de prêtres. Mais il demande aussi l’ordination diaconale de femmes, soulignant que de nombreuses femmes sont déjà à la tête de communautés chrétiennes dans la région. Le pape lui aurait répondu : « Parlez-en aux évêques et dites-leur de me faire des propositions valables. » (Mais on ne peut exclure que cette réponse concerne en fait l’ordination d’hommes mariés, tout cela étant maintenu dans le plus grand flou.)

Leonardo Boff, qui n’est plus rien dans l’Eglise mais qui est toujours le gourou du progressisme latino-américain (et prophète de Gaïa) disait aussi l’an dernier : « Les évêques brésiliens, particulièrement le proche ami du pape le cardinal Claudio Hummes, ont expressément demandé au pape François de permettre aux prêtres brésiliens qui se sont mariés de pouvoir reprendre leur ministère pastoral. » Boff prétend que le pape veut accéder à cette demande, comme une expérience « pour le moment limitée au Brésil ».

On a du mal à le croire, tant cela serait contraire à la tradition de toutes les Eglises d’Orient et d’Occident. Et il est clair que les journalistes confondent allègrement prêtres qui se marient et hommes mariés ordonnés prêtres (et même femmes diacres). Quoi qu’il en soit cette révolution ne concernerait pas Boff, puisqu’il n’est pas marié avec sa compagne…

Commentaires

  • Sans rire, de nos jours à part les prêtres et les homos qui veut se marier ?

    Les tradis sans doute ...

  • oui ! je le pense aussi, mais ils veulent aussi recevoir une bénédiction catholique, vraie, et pour cela, certains font des kilomètres pour l'obtenir. Notre pauvre Eglise Catholique qui devra attendre la venue d'un vrai pasteur , dans la lignée , des anciens papes d'avant le concile.

  • Cela va être le même cirque qu'avec Armoris Laetitia : François et sa clique vont agiter les propositions les plus délirantes (ordination d'hommes mariés ET mariage des prêtres ET femmes diacres ET femmes prêtres ET etc), la majorité du Synode, malgré le fait que ses membres auront été choisis en espérant une soumission totale au Guide, sera majoritairement opposé à toutes ces propositions et finira par capituler sur la moins délirante de toutes (ordination de viri probati) qui sera intégrée dans une note en bas de page en page 275 de l'Exhortation post-synodale. La clique criera victoire et la majorité du Synode pensera (mais ne pourra pas dire) "attendons".

  • Les indiens d Alazonie sont certainement de braves gens ...

    Mais ne faut il pas aller plus loin ?

    À quand une papesse lesbienne ?

  • On attends cela avec impatience. C'est une "chance" inouïe de connaître un pape certainement hérétique. Maintenant serons nous à la hauteur de ce défi?

  • Il y a déjà des prêtres mariés et des diaconnesses dans l'église catholique romaine - mais ce n'est évidemment pas le cas général. La seule question est de savoir s'il faut élargir ces exceptions.

  • Non, il n'y a pas et il n'y a jamais eu de femmes diacres dans l'Eglise latine, ni dans aucune autre Eglise (au sens de l'ordination diaconale, degré du sacerdoce).

    Les pasteurs protestants qui deviennent prêtres catholiques restent mariés, mais c'est limité à leur personne. Les jeunes protestants qui se convertissent et veulent devenir prêtres latins ne peuvent pas se marier. Cela est spécifié notamment pour les séminaires des ordinariats pour les anglicans.

  • Le cas des anglicans est effectivement spécifique. Mais il y a eu des mariages de prêtres derrière le rideau de fer, par dispense, pour leur assurer une couverture contre les persécutions.
    S'agissant de femmes diacre, il y en a eu dans l’Église primitive ; et le cas peut se rencontrer de nos jours (je connais un cas d'une diaconesse ordonnée dans l'église vieille catholique, qui a gardé son statut en passant catholique romain, et qui assiste donc le prêtre à la messe en tenant le calice - effectivement pas "ordonnée diacre" selon Rome, mais ordonnée diacre, et conservant son ordination dans le catholicisme).
    L'ensemble est une question disciplinaire, pas dogmatique.
    Il ne peut pas y avoir de femme prêtre, parce que le rôle du prêtre est d'agir pendant la Messe ''In persona Christi'' - une femme dans ce rôle n'aurait pas plus de sens qu'une femme jouant le rôle de Roméo face à Juliette dans Shakespeare. Mais en tant qu'assistant de l’évêque, ce qui est fondamentalement le rôle propre d'un diacre, il n'y a pas d'obstacle de nature contre une ordination féminine, à partir du moment où l'on rétablit le diaconat permanent, et que le diacre n'est plus l'étape avant la prêtrise. C'est évidemment contre le droit canon, mais c'est un droit qui peut recevoir des dispenses, et peut être réformé; ce n'est pas une vérité de foi.
    D'une manière générale, si une femme pasteur se convertit au catholicisme (et nous prions quotidiennement pour l'unité des chrétiens), je ne vois pas de problème à l'accueillir comme diaconesse, puisque fondamentalement les pasteurs ne sont pas prêtres mais jouent le rôle de diacres...

  • Je vous laisse à vos bergoglioseries.

    Quand on parlait de diaconesses dans l'Eglise byzantine, il s'agissait de moniales. Voir l'exemple d'Olympias, la grande amie de saint Jean Chrysostome. Il aurait été tout simplement impensable qu'une femme soit à l'autel.

  • "Je vous recommande Phoebé, notre sœur, qui est diaconesse de l'Eglise de Cenchrées,..." (Rm 16).
    Diacre signifie essentiellement "serviteur". Il n'y a pas besoin d'être mâle pour secourir les membres de la communauté et assister à la gestion des biens de l’Église, et les apôtres le comprenaient ainsi.
    Il se trouve que Vatican II a voulu donner un rôle spécifique aux diacres dans la liturgie (annonce de l’Évangile, élévation du calice,...) si bien qu'une femme accidentellement diacre se retrouve aussi automatiquement impliquée dans la liturgie.
    De fait, si Rome demande que les acolytes ne soient pas des femmes, on voit mal comment en même temps une femme diacre pourrait jouer son rôle liturgique sans paraître étrange. Ça aurait peut-être été impensable aux pères de l’Église, et une accession au diaconat peut peut-être justifier un autre partage des rôles dans la liturgie. Étrange, oui, mais pas nécessairement sacrilège.
    On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.

  • Voyons Linus
    Seriez vous réactionnaire pour rêver de revivre sous l'empire romain ?
    En plus vous citez Saint Paul qui prohibe l'accès des pêcheurs à la communion ..
    Peut être allez vous citer l'Evangile qui qualifie le remariage des divorcés d'adultère ?

  • Pauvre Phoebé, comme elle aura servi...

    Vous mélangez sciemment la signification grecque originelle du mot "diacre" et l'ordination diaconale. Ce n'est pas sérieux.

  • Ne nous en laissons pas compter !
    Qu’est-ce qu’un homme prêtre dans la Sainte Eglise catholique du Seigneur (ce qu’elle était) ?
    C’est un homme, comme tout homme, issu du monde des hommes (masculin), né petit bébé comme tout humain, et qui est entièrement consacré à Dieu. Il lui est donné l’immense pouvoir de célébrer « le renouvellement non sanglant du saint sacrifice de la Croix », et, par la puissance du Saint Esprit, d’opérer la transsubstantiation des espèces en « Présence réelle » du Seigneur Christ Jésus « Corps, sang, âme et divinité ». Mais cela a un prix : il doit vive en conséquence de sa consécration.
    Il est impossible que les hommes cardinaux, évêques et prêtres qui célèbrent la Sainte Eucharistie ne soient pas au courant que Jorge Bergoglio est en train d’élaborer un office œcuménique qui permet le rassemblement des catholiques et des protestants mais dans lequel les paroles de la consécration seront prononcées à voix basse ou disséminées, c’est-à-dire qu’il ne sera plus possible d’établir que la consécration est valable.
    Et le grand nombre d’entre eux n’en dit rien ! C’est donc que ce grand nombre commence à consentir qu’il en soit ainsi. Et cela s’opère déjà de la sorte :
    http://dieuetmoilenul.blogspot.be/2017/10/leucharistie-deja-desacralisee-pro.html
    Comprenons bien que c’est cela, « l’abolition du perpétuel sacrifice », qu’elle est déjà bien en train de s’accomplir et que sa pleine réalisation ne sera pas le départ de la « grande tribulation » mais la fin de cette tribulation, un acte suprême de provocation envers Dieu qui ne manquera pas de déclencher sa colère. C’est alors qu’on pourra vivre la grande tribulation pleinement.
    Qu’est-ce qu’un prêtre selon la conception bergoglienne : c’est n’importe quelle personne qui se persuade qu’elle peut l’être : homme, femme, de n’importe quelles convictions.
    Ne nous laissons pas « anesthésier » par les prodiges considérables de Satan.
    Amoris Laetitia est la stratégie imparable, pire que celle de Luther, qui procède à la destruction de l’Eglise catholique et est le point de départ des 1290 jours qui restent.

  • Les prêtres mariés sont ceux de crataines parties de l'orient. Ils ne peuvent de fait devenir évêques.

    Pour tout le reste, au contraire, il convient d'éradiquer définitivement toutes ces dérives !!!

    C'est à nous de régler le probleme en interne. En refusant tout sacrement venant de ces personnes là, en jugulant nos donations, et nos quêtes auprès de ces diocèses là, et le faisant savoir à l'Ordinaire. Attendu que la plus part des diocèses ont le " Cul en l'air " finacièrement et dramatiquement, nos argumentations,si elles sont de masses seront prises en considération. ILS n'ont plus le choix !!! Ilsont tués l'église de France en moins de 30 Ans !!!

    Les " ordinations " diocésaines accueillent parfois des vers, comme par exemple celle d'un ancien diacre homosexuel auto-déclaré, ayant comme petit copain un . . . qui plus est infiltré dans un ordre étatique souverain ..................... ayant défrayé la chronique il y a peu. Ce certain aurait peut-être même tenté d'être prétendant à un poste d'ambassadeur. Mais l'autorité Romaine, devinant les risques, aura réagi en conséquence.

    La solution est bien entre nos mains, c'est à nous de réagir en conséquence et de refuser le tout et n'importe quoi. Il est certain que si les fidèles n'entrent pas eux-même en résistance tout continuera à partir de travers. C'esg désormais à nOUS de défendre l'intégrité de la FOI. Et cela ne regrade en rien les journalsite qui dans 90% des cas sont soit des ignares, soit des ennemis de l'église.
    Prenons un exemple important : La sainte Comunion : imaginons si PLUS PERSONNE n'accepte de recevoir le corps du Christ sur les maisn et qui plus est des mains d'un laïc, parfosi en bermudas ou d'une femme, (qui entre parenthèse ne se seront même pas purifiés les mains avant de " distribuer " les saintes espèces), si chacun des fidèles acceptent de recevoir la sainte communion QUE des mains d'un prêtre et bien il en sera fini des laïcs distribuant abusivement les espèces consacrées !!!!! C'est on cas, personnellement je vais même plus loin, je n'accepte de recevoir le corps du Christ QUE des mains du pretre qui a consacré, et donc a utilisé le rite du " lavabo ".

    Il en va de même pour tout le reste !!!
    Aux armes fidèles !!!! Et nos armes sont d'une telle puissance qu'elels ont redoutées par l'ennemi de la Foi.

  • PATIENCE ! SEULEMENT 1290 JOURS !
    Oui, d’accord ! Mais à partir de quand ?
    Dieu qui est amour et lumière ne saurait manquer de nous donner les moyens de le savoir :
    1. Le prophète Daniel : Dn 7:21 - Dn 7:25 - Dn :14 - Dn 9:24 - Dn :25 - Dn 9:26 - Dn 9:27 - Dn 11:31 - Dn 12:6-12
    2. L’évangéliste Saint Matthieu : Mt 24:15-18
    3. L’apôtre Saint Paul : Epître 2 TH 2:3-12
    4. La vision apocalyptique de Saint Jean : Ap 12:1-6 - Ap 12:13-16 - Ap 13:11-17 - Ap 11:3-13
    5. L’apparition de la TSV Marie à La Salette
    6. L’apparition extraordinaire de la TSV Marie à Fatima
    7. Sœur Lucie de Fatima dans sa lettre au cardinal Caffarra en 1981 : "La Sainte Vierge m'a dit que le démon s'apprête à engager une bataille décisive contre elle. (…) Le dernier combat entre le Seigneur et le règne de Satan sera autour du Mariage et de la Famille. N'ayez pas peur ! Quiconque travaillera pour la sainteté du Mariage et de la Famille sera toujours en butte à des difficultés et à des oppositions de toutes sortes, car il s'agit d'une question décisive." Puis sr Lucie conclut : "Toutefois, la Sainte Vierge a déjà écrasé la tête du serpent."

    La seule difficulté est de discerner, sans équivoque possible, l’événement majeur qui confirme l’actualisation de toutes ces prophéties et de le situer dans la plage chronologique du temps. A partir de cet événement, il n’y a plus qu’à décompter 1290 jours.
    Dn 11:31 semble désigner cette événement majeur que rappelle Mt 24:15-18

  • @ Aube nouvelle
    3 ans et demi à partir de l'abomination de la désolation !
    Donc, le décompte n'a pas encore commencé.
    Il est fort probable qu'il nous faudra compter les jours dans les nouvelles catacombes car les persécutions feront rage.
    Prions pour demeurer de bons et loyaux serviteurs !

  • Merci Darc,
    Pour votre suivi.
    En ce qui concerne la période de 1290 jours, vous avez pleinement raison de dire qu’elle commence à « l’abomination de la désolation ». Et c’est cette époque précisément que j’ai essayé de montrer. Car la question réaliste est de savoir : « Qu’est-ce que l’abomination de la désolation ? ». Une traduction de la bible dit « l’abomination du dévastateur », cela me semble plus explicite du fait qu’on peut considérer, présentement, que la Sainte Eglise du Seigneur Christ Jésus est presque toute dévastée, il ne manque plus que quelques horreurs qui n’auront peut-être même pas le temps d’être réalisées. (Synode des jeunes en octobre 2018 – Synode en Amazonie en 2019)
    A noter que Matthieu et Daniel (auquel Mt renvoie) lient « l’abomination de la désolation » à « l’abolition du perpétuel sacrifice », ce sont deux faits qui sont systématiquement conséquents l’un de l’autre, l’un induit l’autre.
    Je ne sais si vous avez lu tous les versets cités. Je ne les ai pas reproduits pour ne pas abuser de la place. Ils contiennent la réponse en « filigrane ». Ceux qui concernent la 70ème semaine de Daniel 9/24-27 sont très éclairants :
    « Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine, il fera cesser le sacrifice et l'offrande; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu'à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur » (Dn 9:27)
    « Durant la moitié de la semaine, il fera cesser le sacrifice et l’offrande » : voilà l’époque et l’événement majeur qui doit situer le point de départ des 1290 jours.
    Vous n’ignorez certainement pas qu’une « nouvelle liturgie œcuménique » de la Sainte Messe est en cours d’élaboration – presque secrètement – au Vatican. Elle va « couronner » l’abolition du perpétuel sacrifice » qui a déjà été décidée et mise en œuvre bien auparavant, sans quoi cette « nouvelle liturgie » n’aurait aucune chance d’être subitement réalisable.
    Et c’est ce que Dn 11:31 peut expliquer :
    « Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. ».
    « Se présenteront sur son ordre », cela fait penser à une convocation pour un synode.
    Pour mieux comprendre la réalité de l’abolition, il est peut-être utile de détailler la signification du mot « abolir » : annuler, rendre inactif, destituer, répudier, mettre un terme à la validité, effacer la mémoire ou le souvenir des choses passées, dissoudre, désunir, détruire, démolir, anéantir, rendre vain, renverser, priver de succès, amener au néant, mettre fin à l ‘existence de quelque chose, supprimer.
    Le synode ordinaire sur la famille en octobre 2015 semble avoir actualisé tout cela.
    Pour bien tout expliquer, il faudrait plusieurs pages (A4) afin de rapporter plusieurs faits démonstratifs. Mais il est indéniable que ce synode est une « attaque en règle » contre la famille et le mariage selon ce que sœur Lucie avait annoncé.
    Bien des faits annoncés par l’Apocalypse ne se remarquent pas dans leur actualisation parce qu’on ne réalise pas bien que ce sont les hommes eux-mêmes qui génèrent la fin des temps par leurs œuvres. L’apocalypse n’est pas un scénario ‘playstation » inventé par Dieu pour se distraire, c’est la vision anticipée du déroulement et des conséquences du rejet du Seigneur Jésus-Christ par soa propre Eglise, du moins par la plus grande partie.
    Si vous le désirez et si cela n’embête pas Monsieur Yves Dadoual, nous pouvons poursuivre le raisonnement. Je ne prétends pas que ce que je rapporte est irréfutable, je serais même heureux que quelqu’un puisse me démontrer que je me trompe. Mais ce qui est certain, c’est qu’il faut le faire avec des éléments probants, conformes à la réalité de l’actualité, afin que personne ne se trompe et ne trompe les autres. Car il est question de ne pas rater cet immense rendez-vous qui se profile plus que jamais, en tout cas. Et cela se pressent, il n’y a vraiment plus des années à attendre mais seulement des mois, car les 1290 jours sont déjà bien entamés.
    Bien à vous.

  • cette note a suscité le GRAND N'IMPORTE QUOI dans les commentaires
    j'y ai ainsi appris que l'ordination d'hommes mariés est une proposition délirante, alors qu'elle est la norme dans des églises orientales qui sont aussi catholiques que l'église latine, qu'il y a des prêtres mariés et des diaconesses dans l'église catholique, que c'est le dernier concile qui a donné un rôle spécifique aux diacres dans la liturgie, etc...
    le pompon est l'organisation d'un complot, dont une partie du programme ravira les islamistes militants, pour refuser quelques formes liturgiques, et, enfin et surtout, la découverte d'un nouveau mode de calcul de la date de la fin du monde dont je croyais jusqu'à présent qu'on ne connaissait ni le jour ni l'heure

  • D’abord, ne confondons pas « fin du monde » et « fin des temps antichrétiens ». Ceux qui croient vraiment en Jésus-Christ trouvent tout à fait logique qu’Il vienne régner sur le monde entier avant que ne survienne la fin du monde.
    Ceux qui affirment qu’il est impossible de connaître, non pas « le jour et l’heure » comme mentionné par le commentaire, mais la « date et l’heure de ce jour » comme mentionné par l’Evangile (la date de péremption inscrite sur les produits alimentaires, si cela peut mieux faire comprendre) ont tout à fait raison. Comment le nier puisque l’Evangile est parole de Dieu ? Et peut-on espérer que tout le monde s’en souvienne ?
    En fait, il n’y a rien de mystérieux en cela qui est tout simplement logique. Dieu est infiniment logique, la Vérité est infiniment logique, la réalité est intrinsèquement logique. Peut-on s’imaginer que Dieu ne serait plus logique un seul instant ?
    Ce qui n’est pas logique, c’est qu’on oublie les Ecritures, toutes les Ecritures, rien que les Ecritures et qu’on en retienne que ce qui arrange l’humain dans ses aspirations aux objectifs purement terrestres
    Quand cela aura-t-il lieu ?
    Ce n’est pas que cette question doive éclipser la vertu théologale de l’espérance que nous devons constamment vivre puisque nous pouvons mourir n’importe quand, n’importe où et n’importe comment, mais il serait tout à fait abstrait, aberrant, incohérent, dérisoire et inutile de discourir de la fin des temps sans même se poser la question de son moment.

  • D’abord, ne confondons pas « fin du monde » et « fin des temps antichrétiens ». Ceux qui croient vraiment en Jésus-Christ trouvent tout à fait logique qu’Il vienne régner sur le monde entier avant que ne survienne la fin du monde.
    Ceux qui affirment qu’il est impossible de connaître, non pas « le jour et l’heure » comme mentionné par le commentaire, mais la « date et l’heure de ce jour » comme mentionné par l’Evangile (la date de péremption inscrite sur les produits alimentaires, si cela peut mieux faire comprendre) ont tout à fait raison. Comment le nier puisque l’Evangile est parole de Dieu ? Et peut-on espérer que tout le monde s’en souvienne ?
    En fait, il n’y a rien de mystérieux en cela qui est tout simplement logique. Dieu est infiniment logique, la Vérité est infiniment logique, la réalité est intrinsèquement logique. Peut-on s’imaginer que Dieu ne serait plus logique un seul instant ?
    Ce qui n’est pas logique, c’est qu’on oublie les Ecritures, toutes les Ecritures, rien que les Ecritures et qu’on en retienne que ce qui arrange l’humain dans ses aspirations aux objectifs purement terrestres
    Quand cela aura-t-il lieu ?
    Ce n’est pas que cette question doive éclipser la vertu théologale de l’espérance que nous devons constamment vivre puisque nous pouvons mourir n’importe quand, n’importe où et n’importe comment, mais il serait tout à fait abstrait, aberrant, incohérent, dérisoire et inutile de discourir de la fin des temps sans même se poser la question de son moment.
    Il n’est pas impossible de le connaître puisque les Ecritures nous y invitent impérativement et nous en donnent les moyens, ce qui bien sûr implique surtout qu’il reste à y croire. Mais il n’est effectivement pas possible de savoir tant que suffisamment d’événements qu’elles ont annoncés ne sont pas survenus pour que puisse s’en dégager une certitude. Ce n’est donc plus le cas présentement, mais malgré La Salette et Fatima, nous sommes encore toujours submergés, plutôt délibérément entretenus dans la confusion entre :

    • « la date de ce jour et l’heure » (exemple : le 13 octobre 2017 à 12 heures) qu’effectivement nul ne connaît et ne peut connaître. Mais on parle bien de - date précise - non pas de l’époque précise. Et cela relève bien plus de la pure logique que du mystère. Imaginons-nous que le Seigneur Christ aurait dû préciser cette date. Quelle mode de datation aurait-Il dû employer (calendrier juif ou calendrier égyptien) ? Celle des juifs de son époque ou la nôtre ? Et comment les disciples auraient-ils réagit s’Il avait dit : « Ce sera le 13.10.2017 à 12.00 ! » ? Comment l’auraient-ils cru puisqu’ils étaient déjà passés l’an 3800 (pour les juifs) ? Quelle aurait été la suite de l’histoire chrétienne ? De suite, on comprend qu’Il n’a pas voulu ou pu le faire, et que Dieu Le Père Lui a tenu cette date cachée pour qu’Il n’ait pas à s’en expliquer car il était et il est encore inapproprié de fixer une date précise de ce jour. Mais il n’est guère concevable qu’à présent, le Seigneur Christ, dans la gloire du Père, ne connaisse toujours pas cette date. Il n’y a donc pas lieu de faire de cette impossibilité de connaître la date une raison souveraine d’ignorer tout le reste.

    • et « l’époque » (exemple : le printemps, l’été, l’époque des machines à vapeur, l’époque des ordinateurs, …) que plusieurs passages de l’écriture nous invitent à reconnaître et nous permettent de reconnaître, nous obligent à reconnaître par les renseignements qu’ils livrent et qu’on peut recouper ente eux pour en dégager une certitude :
    Mt. 24:32-33 : « Du figuier apprenez cette parabole. Dès que sa ramure devient flexible et que ses feuilles poussent, vous comprenez que l'été est proche. Ainsi vous, lorsque vous verrez tout cela, comprenez qu'Il est proche, aux portes. » "
    Mt 24:15 : « Lors donc que vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, installée dans le saint lieu - que le lecteur comprenne ! - … »
    Dn 11:31 : « Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. » (Bible Louis Segon). « Se présenteront sur son ordre » : cela fait penser à une convocation pour un synode.
    Dn 12:8-11 : « J'écoutai sans comprendre. Puis je dis : "Mon Seigneur, quel sera cet achèvement ?" « A compter du moment où sera aboli le sacrifice perpétuel et posée (mise en place) l'abomination de la désolation : 1.290 jours. »
    Dn 12 :12 « Heureux celui qui tiendra et qui atteindra 1.335 jours. »

    Dieu est amour et lumière, Il n’est pas ésotérique ni gnostique. Dès lors qu’il est écrit « Lorsque vous verrez tout cela … » - « Lors donc que vous verrez … », il s’agit forcément d’une invitation à voir, à constater, à réaliser, à tirer des conclusions, à établir des certitudes, et même, dans la Vérité du Christ, cela relève de l’obligation à le faire. En fait, les Ecritures donnent suffisamment de renseignements pour que, en les recoupant entre eux, puisse apparaître sans confusion possible l’époque de l’Avènement universel du Seigneur, et, à peu de chose près, l’époque du jour.

    Dès l’Ancien Testament, dans « l’entendement de Dieu l’Eternel », le « sacrifice perpétuel » est bien sûr le « renouvellement non sanglant du saint sacrifice de la croix » de Dieu le Fils fait homme, Jésus-Christ, c’est-à-dire la Sainte Messe, la Sainte Eucharistie au sein de l’Eglise catholique.
    L’abomination suprême est donc la suppression de la Sainte Eucharistie selon ce que Luther en disait : « Détruisons la messe et nous détruirons l’Eglise ! ». Comme il n’est pas possible d’abolir la « Présence Réelle » puisqu’elle est fondée depuis le début, même sans dogme, sur la conscience qu’on en a, il faut donc parvenir à l’anéantissement de cette conscience de la « Présence Réelle » par des « pirouettes » et des « entourloupettes » déjà bien engagées - officiellement - par l’Eglise elle-même au travers d’Amoris Laetitia, stratégie imparable de destruction. Cette abolition est donc déjà en cours et progresse vers son apogée (fausse messe œcuménique) qui sera aussi son terme.

    L’épreuve de la fin des temps, « la grande épreuve » (« Ils viennent de la grande épreuve ») c’est de ne pas être compté au nombre de ceux dont parle les Ecritures :
    "Comme les jours de Noé, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme. En ces jours qui précédèrent le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et mari, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche, et les gens ne se doutèrent de rien jusqu'à l'arrivée du déluge, qui les emporta tous. Tel sera aussi l'avènement du Fils de l'homme. » (Mt 24:37-38)
    « Voilà pourquoi Dieu leur envoie une influence qui les égare, qui les pousse à croire le mensonge, en sorte que soient condamnés tous ceux qui auront refusé de croire la vérité et pris parti pour le mal. » (2 TH 2:11-12)
    « Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. » (Ap 13 :16-17)

  • D’abord, ne confondons pas « fin du monde » et « fin des temps antichrétiens ». Ceux qui croient vraiment en Jésus-Christ trouvent tout à fait logique qu’Il vienne régner sur le monde entier avant que ne survienne la fin du monde.
    Ceux qui affirment qu’il est impossible de connaître, non pas « le jour et l’heure » comme mentionné par le commentaire, mais la « date et l’heure de ce jour » comme mentionné par l’Evangile (la date de péremption inscrite sur les produits alimentaires, si cela peut mieux faire comprendre) ont tout à fait raison. Comment le nier puisque l’Evangile est parole de Dieu ? Et peut-on espérer que tout le monde s’en souvienne ?
    En fait, il n’y a rien de mystérieux en cela qui est tout simplement logique. Dieu est infiniment logique, la Vérité est infiniment logique, la réalité est intrinsèquement logique. Peut-on s’imaginer que Dieu ne serait plus logique un seul instant ?
    Ce qui n’est pas logique, c’est qu’on oublie les Ecritures, toutes les Ecritures, rien que les Ecritures et qu’on en retienne que ce qui arrange l’humain dans ses aspirations aux objectifs purement terrestres
    Quand cela aura-t-il lieu ?
    Ce n’est pas que cette question doive éclipser la vertu théologale de l’espérance que nous devons constamment vivre puisque nous pouvons mourir n’importe quand, n’importe où et n’importe comment, mais il serait tout à fait abstrait, aberrant, incohérent, dérisoire et inutile de discourir de la fin des temps sans même se poser la question de son moment.
    Il n’est pas impossible de le connaître puisque les Ecritures nous y invitent impérativement et nous en donnent les moyens, ce qui bien sûr implique surtout qu’il reste à y croire. Mais il n’est effectivement pas possible de savoir tant que suffisamment d’événements qu’elles ont annoncés ne sont pas survenus pour que puisse s’en dégager une certitude. Ce n’est donc plus le cas présentement, mais malgré La Salette et Fatima, nous sommes encore toujours submergés, plutôt délibérément entretenus dans la confusion entre :

    • « la date de ce jour et l’heure » (exemple : le 13 octobre 2017 à 12 heures) qu’effectivement nul ne connaît et ne peut connaître. Mais on parle bien de - date précise - non pas de l’époque précise. Et cela relève bien plus de la pure logique que du mystère. Imaginons-nous que le Seigneur Christ aurait dû préciser cette date. Quelle mode de datation aurait-Il dû employer (calendrier juif ou calendrier égyptien) ? Celle des juifs de son époque ou la nôtre ? Et comment les disciples auraient-ils réagit s’Il avait dit : « Ce sera le 13.10.2017 à 12.00 ! » ? Comment l’auraient-ils cru puisqu’ils étaient déjà passés l’an 3800 (pour les juifs) ? Quelle aurait été la suite de l’histoire chrétienne ? De suite, on comprend qu’Il n’a pas voulu ou pu le faire, et que Dieu Le Père Lui a tenu cette date cachée pour qu’Il n’ait pas à s’en expliquer car il était et il est encore inapproprié de fixer une date précise de ce jour. Mais il n’est guère concevable qu’à présent, le Seigneur Christ, dans la gloire du Père, ne connaisse toujours pas cette date. Il n’y a donc pas lieu de faire de cette impossibilité de connaître la date une raison souveraine d’ignorer tout le reste.

    • et « l’époque » (exemple : le printemps, l’été, l’époque des machines à vapeur, l’époque des ordinateurs, …) que plusieurs passages de l’écriture nous invitent à reconnaître et nous permettent de reconnaître, nous obligent à reconnaître par les renseignements qu’ils livrent et qu’on peut recouper ente eux pour en dégager une certitude :
    Mt. 24:32-33 : « Du figuier apprenez cette parabole. Dès que sa ramure devient flexible et que ses feuilles poussent, vous comprenez que l'été est proche. Ainsi vous, lorsque vous verrez tout cela, comprenez qu'Il est proche, aux portes. » "
    Mt 24:15 : « Lors donc que vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, installée dans le saint lieu - que le lecteur comprenne ! - … »
    Dn 11:31 : « Des troupes se présenteront sur son ordre; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l'abomination du dévastateur. » (Bible Louis Segon). « Se présenteront sur son ordre » : cela fait penser à une convocation pour un synode.
    Dn 12:8-11 : « J'écoutai sans comprendre. Puis je dis : "Mon Seigneur, quel sera cet achèvement ?" « A compter du moment où sera aboli le sacrifice perpétuel et posée (mise en place) l'abomination de la désolation : 1.290 jours. »
    Dn 12 :12 « Heureux celui qui tiendra et qui atteindra 1.335 jours. »

    Dieu est amour et lumière, Il n’est pas ésotérique ni gnostique. Dès lors qu’il est écrit « Lorsque vous verrez tout cela … » - « Lors donc que vous verrez … », il s’agit forcément d’une invitation à voir, à constater, à réaliser, à tirer des conclusions, à établir des certitudes, et même, dans la Vérité du Christ, cela relève de l’obligation à le faire. En fait, les Ecritures donnent suffisamment de renseignements pour que, en les recoupant entre eux, puisse apparaître sans confusion possible l’époque de l’Avènement universel du Seigneur, et, à peu de chose près, l’époque du jour.

    Dès l’Ancien Testament, dans « l’entendement de Dieu l’Eternel », le « sacrifice perpétuel » est bien sûr le « renouvellement non sanglant du saint sacrifice de la croix » de Dieu le Fils fait homme, Jésus-Christ, c’est-à-dire la Sainte Messe, la Sainte Eucharistie au sein de l’Eglise catholique.
    L’abomination suprême est donc la suppression de la Sainte Eucharistie selon ce que Luther en disait : « Détruisons la messe et nous détruirons l’Eglise ! ». Comme il n’est pas possible d’abolir la « Présence Réelle » puisqu’elle est fondée depuis le début, même sans dogme, sur la conscience qu’on en a, il faut donc parvenir à l’anéantissement de cette conscience de la « Présence Réelle » par des « pirouettes » et des « entourloupettes » déjà bien engagées - officiellement - par l’Eglise elle-même au travers d’Amoris Laetitia, stratégie imparable de destruction. Cette abolition est donc déjà en cours et progresse vers son apogée (fausse messe œcuménique) qui sera aussi son terme.

    L’épreuve de la fin des temps, « la grande épreuve » (« Ils viennent de la grande épreuve ») c’est de ne pas être compté au nombre de ceux dont parle les Ecritures :
    "Comme les jours de Noé, ainsi sera l'avènement du Fils de l'homme. En ces jours qui précédèrent le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et mari, jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche, et les gens ne se doutèrent de rien jusqu'à l'arrivée du déluge, qui les emporta tous. Tel sera aussi l'avènement du Fils de l'homme. » (Mt 24:37-38)
    « Voilà pourquoi Dieu leur envoie une influence qui les égare, qui les pousse à croire le mensonge, en sorte que soient condamnés tous ceux qui auront refusé de croire la vérité et pris parti pour le mal. » (2 TH 2:11-12)
    « Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. » (Ap 13 :16-17)

  • @Aube Nouvelle
    "Comme il n’est pas possible d’abolir la « Présence Réelle » puisqu’elle est fondée depuis le début, même sans dogme, sur la conscience qu’on en a..."
    Je ne comprends pas cette phrase. D'après le catéchisme de saint Pie X, "la consécration est le renouvellement, par le ministère du prêtre, du miracle opéré par Jésus-Christ changeant à la dernière Cène le pain et le vin en son Corps et en son Sang adorables par ces mots : "Ceci est mon Corps, ceci est mon Sang.""
    La cause formelle (au sens d'Aristote ou de saint Thomas) du sacrement de l'Eucharistie, ce sont les paroles de Jésus-Christ ; la cause efficiente, c'est le prêtre qui les prononce. Enlevez le prêtre ou modifiez les paroles (mettez par exemple quelque chose du genre : "Ceci est le mémorial de la de la dernière Cène, où Jésus dit, etc.") et vous aurez supprimé la Présence Réelle. Celle-ci n'est pas fondée sur la conscience du consacrant, encore moins sur celle de la personne qui communie ; elle est une réalité objective qui transforme la substance du pain et du vin en Corps et en Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ.

  • par qui sont inspirées les vaticinations d"Aube nouvelle" dont le nom ressemble fâcheusement à celui d'un parti politique grec qui ne semble pas très recommandable ?
    il, ou elle, a de plus la faculté de pénétrer les intentions les plus secrètes de ses victimes
    n'est-ce pas l'œuvre de Satan ?

  • C’est vous qui le dites !
    Et tant que vous êtes le seul, il n’y a pas de quoi s’en étonner ni s’en effrayer. Cela confère même d’autant plus d’aisance à vous retourner vos propres propos.
    La différence, c’est que vous ne savez rien démontrer de ce que vous affirmez, vous ne savez en rien invalider les propos avancés, vous ne savez qu'avancer vos propres inspirations (ou aspirations ?) dont on ne sait même pas savoir si elles sont réalistes.
    Et si vous répondez à des commentaires sans même les avoir lus, c’est pas gagné !
    Reste à espérer que vous ne circulez pas en voiture sur la chaussée sans rien visualiser des signaux ni de ce qui se passe devant vous et autour de vous.
    C'est aux résultats obtenus qu'on peut reconnaître l'objectif poursuivi par ses protagonistes.

  • Aube nouvelle,
    pardonnez à Théofrède, il ne sait pas ce qu'il dit. Ainsi, lui qui sait tout, confond Aube nouvelle et Aube dorée...
    Aube dorée et de son nom complet Association populaire – Aube dorée est un parti politique grec d'extrême droite, souvent classé comme néo-nazi par les observateurs.
    Si je ne suis pas passé par l'université, ni par les institutions européennes, mais par l'abattoir et la boucherie, j'ai appris à distinguer une andouille d'un filet de bœuf, un chant catholique d'un parti politique.


    Aube nouvelle

    Auteur : Michel Scouarnec, Jo Akepsimas
    Categorie : entree final
    Liturgie : avent

    1 - Aube nouvelle, dans notre nuit,
    Pour sauver son peuple Dieu va venir.
    Joie pour les pauvres, fête aujourd´hui !
    Il faut préparer la route au Seigneur.
    Il faut préparer la route au Seigneur.

    2 - Bonne Nouvelle, cris et chansons,
    Pour sauver son peuple, Dieu va venir.
    Voix qui s´élève dans nos déserts.
    Il faut préparer la route au Seigneur.
    Il faut préparer la route au Seigneur.

    3 - Terre nouvelle, monde nouveau,
    Pour sauver son peuple, Dieu va venir.
    Paix sur la terre, ciel parmi nous.
    Il faut préparer la route au Seigneur.
    Il faut préparer la route au Seigneur.

  • les suppôts de Satan à la rescousse !
    Titus nous explique donc qu'il n'y a rien de commun entre Aube nouvelle et Aube dorée
    c'est bien d'une logique diabolique

  • Ah … ! Le chant du Coq … !
    Chant de gloire et de victoire !
    Annonce d’un jour nouveau ?
    Marc 14:30 : " En vérité, je te le dis : toi, aujourd'hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m'auras renié trois fois. "

    Toujours heureux, rien qu’en chantant, le coq !
    C’est d’ailleurs tout ce qu’en a retenu Michel Coluche lorsqu’il le dépeint si bien : « C’est le seul animal au monde qui parvient encore à chanter avec les pieds dans la merde ! »

    Pendant ce temps là, Monsieur Théofrène, le compte à rebours n’arrête pas de tourner : TIC, TAC, … Tic, Tac, … tic, tac, …..
    Et vous aurez beau vous gratter tant que vous voulez, vous ne pourrez jamais empêcher la réalité de subsister ni de poursuivre son chemin. Mais c’est elle qui risque bien de vous emporter.

  • @ Stavrolus,
    Merci pour votre suivi.
    Tout ce que vous exposez dans votre commentaire est absolument correct et doit permettre de nous comprendre. Sans doute me suis-je mal expliqué ou exprimé peut-être à cause de tant de choses à exposer trop rapidement. Mais c’est heureux que des lacunes puissent susciter des réactions positives (et sereines).
    Bien sûr, la cause formelle, réelle, véritable, absolue de la Sainte Eucharistie, de la sainte « Présence Réelle » du Seigneur Christ dans le pain et le vin, ce sont les paroles qu’Il a prononcées le jeudi saint en instituant ainsi ce sacrement. Et si j’ajoute – « même sans dogme » - c’est que cela est véritable dès le départ, sans que l’Eglise n’en ait encore fait un dogme. Et bien évidement, même si on ne croit pas en la Sainte Eucharistie, cela ne lui enlève rien de son immense dimension réelle. Même si le prêtre qui consacre n’y croit pas, du moment qu’il manifeste par les gestes et la parole « ce que l’Eglise veut faire », la consécration est bien sûr valable puisque personne ne saurait voir la conscience du prêtre. (Léon XIII : « De l'intention, en tant que, par soi, elle est quelque chose d'intérieur, l'Eglise ne juge pas. Mais en tant qu'elle se manifeste extérieurement, elle doit en juger. Lorsque donc quelqu'un a employé sérieusement et régulièrement la matière et la forme exigées pour produire et conférer le sacrement, du fait même il est considéré avoir eu l'intention de faire certainement ce que l'Eglise fait. » - Apostolicae curae, 13 septembre 1896)
    Mais ceci, c’est pour ce qui est de la « Présence Réelle).

    Ce dont j’ai voulu traiter c’est « ce qu’on en fait » surtout actuellement. La Sainte Eucharistie, comme aucun des sept sacrements d’ailleurs, ne confère pas systématiquement la foi, c’est la foi qui suscite le besoin des sacrements, le besoin de la Sainte Eucharistie. Ceux qui ne croient pas n’en éprouvent pas le besoin.
    Le problème, c’est que, dans la suite d’Amoris Laetitia, certains en viennent à considérer le saint Sacrement comme une action unilatérale systématiquement opérante, comme une « potion magique » systématiquement efficace, comme un simple signe de paix pour unir et pour évincer les discriminations. Et cela est fortement renforcé par la doctrine protestante qui s’est infiltrée dans l’Eglise catholique depuis des dizaines d’années et qui, abomination, est à présent presque ouvertement soutenue par le chef religieux de l’Eglise.
    En cela, il y a une perte vertigineuse de la « foi » en l’Eucharistie, de la conscience que peuvent avoir les baptisés des réalités immenses de la Saints Eucharistie. C’est à ce niveau là que se passe « l’abolition du perpétuel sacrifice » dont parle formellement l’Ecriture.
    Le résultat, c’est celui que vous décrivez. On va prétendre que les paroles de Notre Seigneur peuvent être sujettes à interprétation et, selon l’esprit de la doctrine protestante, on commence à dire que « Ceci est le mémorial de la dernière scène …. ». C’est ce projet qui est en élaboration au Vatican. Vous n’êtes pas obligé de me croire mais si vous consultez le Web avec les mots « fausse messe », « faux office œcuménique », vous allez certainement trouver des liens qui confirment.
    Dès lors qu’un prêtre ne prononcerait pas ou plus correctement les paroles de la consécration, il n’y aurait forcément pas de transsubstantiation. Je suppose que vous connaissez les trois conditions pour qu’une messe soit valable. Au besoin, je peux vous les reproduire.
    Mais bien sûr, même si Jorge Bergoglio veut nous imposer cela, tant qu’il y aura un prêtre qui consacre valablement, il y aura bien transsubstantiation. Et il est certain qu’il en sera ainsi jusqu’à la fin. Ce qui est visé par les Ecritures, c’est le fait que c’est l’Eglise catholique elle-même par son autorité suprême qui a décidé – officiellement - de supprimer la Sainte Eucharistie parce qu’elle est l’obstacle majeur à l’unification avec les protestants. Plus d’Eucharistie « officielle » dans l’Eglise = plus d’Eglise catholique (métamorphosée en Eglise protestante) = fin des temps.
    En plus, imaginons-nous un instant que tous les prêtres consacrent encore valablement mais que plus aucun d’entre eux ni aucun des baptisés n’y croient encore. Quel serait encore le sens, la raison de ce sacrement ? C’est donc bien au niveau de la conscience qu’on a des réalités de l’Eucharistie que tout est en train de se jouer. On veut estomper, anéantir cette conscience, cette foi.
    Peut-être êtes-vous fidèle de la FSSPX et que ce problème ne se posera donc pas du tout pour vous. Mais les écritures, dont l’Apocalypse, visent toute la Sainte Eglise universelle du Christ.
    J’espère vous avoir répondu correctement (ce n’est pas toujours facile de devoir condenser). Si ce n’est pas le cas, vous me feriez grand bien de me corriger (et n’importe qui d’autre d’ailleurs).
    Bien à vous dans le Christ.

  • @ Stavrolus,
    Merci pour votre suivi.
    Tout ce que vous exposez dans votre commentaire est absolument correct et doit permettre de nous comprendre. Sans doute me suis-je mal expliqué ou exprimé peut-être à cause de tant de choses à exposer trop rapidement. Mais c’est heureux que des lacunes puissent susciter des réactions positives (et sereines).
    Bien sûr, la cause formelle, réelle, véritable, absolue de la Sainte Eucharistie, de la sainte « Présence Réelle » du Seigneur Christ dans le pain et le vin, ce sont les paroles qu’Il a prononcées le jeudi saint en instituant ainsi ce sacrement. Et si j’ajoute – « même sans dogme » - c’est que cela est véritable dès le départ, sans que l’Eglise n’en ait encore fait un dogme. Et bien évidement, même si on ne croit pas en la Sainte Eucharistie, cela ne lui enlève rien de son immense dimension réelle. Même si le prêtre qui consacre n’y croit pas, du moment qu’il manifeste par les gestes et la parole « ce que l’Eglise veut faire », la consécration est bien sûr valable puisque personne ne saurait voir la conscience du prêtre. (Léon XIII : « De l'intention, en tant que, par soi, elle est quelque chose d'intérieur, l'Eglise ne juge pas. Mais en tant qu'elle se manifeste extérieurement, elle doit en juger. Lorsque donc quelqu'un a employé sérieusement et régulièrement la matière et la forme exigées pour produire et conférer le sacrement, du fait même il est considéré avoir eu l'intention de faire certainement ce que l'Eglise fait. » - Apostolicae curae, 13 septembre 1896)
    Mais ceci, c’est pour ce qui est de la « Présence Réelle).

    Ce dont j’ai voulu traiter c’est « ce qu’on en fait » surtout actuellement. La Sainte Eucharistie, comme aucun des sept sacrements d’ailleurs, ne confère pas systématiquement la foi, c’est la foi qui suscite le besoin des sacrements, le besoin de la Sainte Eucharistie. Ceux qui ne croient pas n’en éprouvent pas le besoin.
    (suite en deuxième commentaire)

  • A Stavrolus,
    Tout ce que vous exposez dans votre commentaire est absolument correct et doit permettre de nous comprendre. Sans doute me suis-je mal expliqué ou exprimé peut-être à cause de tant de choses à exposer trop rapidement. Mais c’est heureux que des lacunes puissent susciter des réactions positives (et sereines).
    Bien sûr, la cause formelle, réelle, véritable, absolue de la Sainte Eucharistie, de la sainte « Présence Réelle » du Seigneur Christ dans le pain et le vin, ce sont les paroles qu’Il a prononcées le jeudi saint en instituant ainsi ce sacrement. Et si j’ajoute – « même sans dogme » - c’est que cela est véritable dès le départ, sans que l’Eglise n’en ait encore fait un dogme. Et bien évidement, même si on ne croit pas en la Sainte Eucharistie, cela ne lui enlève rien de son immense dimension réelle. Même si le prêtre qui consacre n’y croit pas, du moment qu’il manifeste par les gestes et la parole « ce que l’Eglise veut faire », la consécration est bien sûr valable puisque personne ne saurait voir la conscience du prêtre. (Léon XIII : « De l'intention, en tant que, par soi, elle est quelque chose d'intérieur, l'Eglise ne juge pas. Mais en tant qu'elle se manifeste extérieurement, elle doit en juger. Lorsque donc quelqu'un a employé sérieusement et régulièrement la matière et la forme exigées pour produire et conférer le sacrement, du fait même il est considéré avoir eu l'intention de faire certainement ce que l'Eglise fait. » - Apostolicae curae, 13 septembre 1896)
    Mais ceci, c’est pour ce qui est de la « Présence Réelle ».

  • personne ne saurait voir la conscience du prêtre, mais Aube Nouvelle peut voir celle du pape

  • A Titus,
    Merci, cher Monsieur, pour votre suite consolante qui exprime très bien "l’appellation choisie" et le fait que vous l’ayez comprise.
    Bien sûr, je n’en veux pas à Théofrède. Le sujet est tellement « inconcevable » pour l’entendement humain qu’il ne peut que susciter la controverse, bien que ce soit les hommes eux-mêmes qui génèrent la fin des temps par leur rejet du Seigneur Christ Jésus.
    Je crains juste d’éveiller des passions qui me vaudraient d’être censuré.
    Mais en ce qui vous concerne, je ne doute pas que vous êtes déjà bien préparé.
    Bien à vous dans le Christ Jésus.

  • « Aube Nouvelle » prie les lecteurs de bien vouloir l’excuser pour la répétition de certains messages.
    Apparemment, la « machine » n’avale pas bien les longs commentaires. Mais ne le sachant pas, j’ai tenté de la gaver comme une oie, en plusieurs fois. Et bizarrement, cela lui a bien plus. Maintenant, je sais que je dois patienter le temps qu’elle digère. « Je sais qu’on n’sait jamais, mais çà, je l’sais » (Jean Gabin, peu de temps avant de mourir).

  • Ah … ! Le chant du Coq … !
    Chant de gloire et de victoire !
    Annonce d’un jour nouveau ?
    Marc 14:30 : " En vérité, je te le dis : toi, aujourd'hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu m'auras renié trois fois. "

    Toujours heureux, rien qu’en chantant, le coq !
    C’est d’ailleurs tout ce qu’en a retenu Michel Coluche lorsqu’il le dépeint si bien : « C’est le seul animal au monde qui parvient encore à chanter avec les pieds dans la merde ! »

    Pendant ce temps là, le compte à rebours n’arrête pas de tourner : TIC, TAC, … Tic, Tac, … tic, tac, …..
    Et on a beau se gratter tant qu’on veut, on ne pourra jamais empêcher la réalité de subsister ni de poursuivre son chemin.

  • Rien à voir, mais je suis sur que cela va vous plaire: http://www.medias-presse.info/rome-renvoi-de-lun-des-plus-grands-experts-de-lislam/82722/?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=Mailing+quotidien

  • J'avais l'intention d'en parler mais j'ai passé beaucoup de temps ce matin à vérifier pour me rendre compte que c'était au moins douteux. Selon les sources, le P. Samir n'est plus à l'Institut pontifical oriental depuis deux ans ou depuis plusieurs années. Qu'on lui ait dit qu'on se passerait de ses conseils, c'est possible, mais il ne paraît pas qu'il eût toujours un poste officiel. Et il va avoir 80 ans, quand même...

  • @ Philippe
    Tout en reprenant votre expression « rien à voir avec le sujet », je profite de l’hospitalité de ce blog. Peut-être êtes-vous la même personne qui m’a transmis une information sur une peinture visible dans la cathédrale d’Orvieto (chapelle San Brizio) et pour laquelle le blog « b.c. » concerné ne m’a pas permis de vous donner une réponse pourtant modérée.
    Si c’est le cas, voici la réponse que je voulais vous adresser.
    Les peintures auxquelles vous faites référence sont effectivement bien descriptives et très explicites des événements que nous vivons dans la réalité actuellement. C’est une anticipation étonnante.
    Une autre cathédrale (Terni) présente des vitraux de scènes presque obscènes tout autant révélatrices de l’esprit « religieux » dominant d’aujourd’hui :
    http://christroi.over-blog.com/2017/03/choquant-un-prelat-du-vatican-represente-dans-une-fresque-homosexualiste-dans-une-cathedrale.html
    Difficile de ne pas y voir l’actualisation des articles du 673 à 675 du C.E.C. que vous avez rappelés
    Et vous avez raison de dire que : « L'heure des choix arrivera, c'est une certitude ». « Je dirais même plus ! » : en réalité c’est dès maintenant que s’opère l’heure des choix, car il ne reste plus beaucoup de temps.
    Merci pour votre suivi.

  • Merci Monsieur Daoudal,
    Pour votre précision concernant vos recherches qui nous rassurent sur le sérieux de votre engagement et sur la crédibilité de vos informations.
    Dommage que François Pape n'en fait pas autant et que d'autres personnes s'en trouvent obligées de le faire à sa place.

  • @ Aube Nouvelle : Il s'agit d'une autre personne de même prénom que le mien assurément

  • Dernier témoignage @ Philippe,
    Merci d’avoir bien voulu donner une réponse à ma demande dérisoire.
    Je suis désolé de vous avoir dérangé. C’est le genre d’incident conséquent au comportement de blog prétendu catholique qui souffle le chaud et le froid selon un esprit bien caricaturé par Coluche qui en disait : « Je ne suis ni pour ni contre ! Bien au contraire ! ».
    Certainement que cela ne me serait pas arrivé sur le blog de Monsieur Yves Daoudal où j’atterris un peu tardivement, peut-être comme « un cheveux dans la soupe ». Mais cette expérience me permet de lui rendre témoignage et d’affirmer que les internautes qui s’y expriment ont bien de la chance d’avoir un tel blog « qui ne mélange pas les pinceaux » :
    • qui est lumineux, sans détour, dans ses objectifs poursuivis, « sûr chemin de lumière vers Dieu et le Ciel »,
    • qui est intègre, réaliste, sérieux, sincère, et le plus conforme possible à la réalité, à la Vérité,
    • qui est fidèle à la véritable Eglise institué par le Seigneur Christ Jésus,
    • qui sait discerner (tout de suite dès le départ) un faux pape (malgré ses belles apparences) d’un vrai pape (malgré ses faiblesses),
    • qui sait discerner les vrais prophètes des faux prophètes, les vraies manifestations mariales et surnaturelles des fausses manifestations mariales et surnaturelles de plus en plus nombreuses en ces temps pour égarer les âmes, signe des temps, signe de la fin des temps,
    • qui, peut-être malgré lui, en devient le « refuge » des catholiques déjà « refoulés », « éclipsés », si pas opprimés par la grande apostasie,
    • et encore ceci, et encore cela, …mais uniquement pour la Vérité, pour l’amour et la gloire de Dieu, et pour le salut du monde
    Et si, après cinq ans du dernier pontificat en cours, de prétendus catholiques n’ont pas encore compris que François Pape n’est pas du tout pape François, alors c’est qu’ils vivent dans l’ignorance, l’inconscience, l’insouciance et l’indifférence des « affaires de Dieu et de son Eglise terrestre »
    C’est malheureusement cette situation qui facilité l’œuvre de ce personnage. Et il est dérisoire de croire qu’il va être remplacé par un meilleur que lui, les meilleurs sont venus et on les a tout simplement ignorés comme on a fait pour les prophètes de l’Ancien Testament.
    Vraiment, avant de me retirer, je dois témoigner, selon l’obligeance envers les « deux témoins », que ce blog est, parmi les blogs francophones bien sûr, celui qui est le plus catholique.
    Mais 12 millions parmi et contre 1200 millions de baptisés, c’est à peu près comme « pot de terre contre pot de fer ». Il n’y a donc plus d’autre issue possible qu’une intervention de Dieu. C’est ce qu’on devrait logiquement réaliser, c’est tout le mystère de Mt 24:15 : « Que le lecteur comprenne ! »
    Mais parler de la fin de temps, c’est comme parler de la propre mort : tout le monde sait bien qu’il doit mourir mais presque personne ne le croit, presque tout le monde l’ignore et vit comme s’il ne devait pas mourir. Comme si la fin des temps ne devait jamais surgir simplement parce que les hommes ne le veulent pas alors que ce sont eux-mêmes qui la génèrent.
    Cher Philippe, je vous lance ce dernier commentaire comme un dernier message dans une bouteille de verre lancée sur l’immensité de la mer en espérant qu’il s’échouera bien un jour sur la terre.
    Bien à vous dans le Seigneur Christ Jésus.

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