Traduction du P. Louis Gladu, Québec, 1913. « Elevez-vous, mon âme… » Je n’avais encore jamais vu personne vouvoyer son âme… Et l’hymne ne parle pas de pénitence. Seulement de garder la sobriété. Même si le vendredi est incontestablement un jour de pénitence.
Commentaires
Gladu assassin !
Pas vu souvent, en effet, une traduction aussi massacrante. Alors que les derniers vers sont originaux : Que l'Espérance partage la joie de la Charité, qui grâce à elle est plus fervente !
On met rarement en valeur ainsi (même Péguy) le lien entre Espérance et Charité