Le 3 août, le Parlement chilien (la Chambre des députés puis le Sénat) a adopté la version du projet de loi sur l’avortement établie par la commission mixte.
L’avortement doit être dépénalisé en cas de viol, de danger pour la mère ou de non viabilité du fœtus.
Des parlementaires de l’opposition ont saisi le Tribunal constitutionnel, considérant que le texte porte atteinte au principe du droit à la vie inscrit dans la Constitution.
La présidente Bachelet ne peut pas signer la loi avant l'avis du Tribunal constitutionnel.