Le cardinal Reinhard Marx, dans une interview à l’Augsburger Allgemeine à propos de la légalisation du « mariage » entre personnes du même sexe en Allemagne, déclare que l’Eglise devrait faire acte de repentance pour ne pas s’être opposée dans le passé aux lois qui réprimaient les actes homosexuels. Il faut se rappeler, dit-il, « que l’Eglise n’a pas été exactement pionnière pour ce qui est des droits des homosexuels. Nous devons exprimer nos regrets de n’avoir rien fait pour empêcher que les homosexuels soient persécutés. La loi (allemande contre l’homoxualité) n’a été abolie qu’en 1994, et nous, l’Eglise, nous ne nous en étions pas préoccupé ».
Et ensuite il revient à la charge : « L’histoire de l’homosexualité dans nos sociétés est exécrable parce que nous avons fait beaucoup pour les marginaliser, et en tant qu’Eglise et en tant que société « nous devons dire : pardon, pardon ».
Et d’ajouter que jusque « très récemment » l’Eglise catholique était « très négative envers les personnes gays, c’était un scandale, et terrible ».
Commentaires
ce cardinal devrait lire le catéchisme
C'est Dieu lui-même qui a "marginalisé" les homosexuels en condamnant sans retour leur comportement sexuel. C'est une des raisons de la destruction de Sodome et Gomorrhe. Quand est-ce que ce Marx voudra le comprendre? En enfer?
Maintenant je comprends: la loi et les mœurs du temps présent ne sont pas conformes aux enseignements de l’Église depuis la venue du Christ? Pas de souci; on adapte et/ou force l’Église à se conformer à ces lois du temps impérativement. Mon Dieu ayez pitié!
Il faut savoir que ce qui restait en 1994 de la loi au sujet des homosexuels ( § 175 StGB) était la protection des mineurs. Cette protection était, selon le cardinal, donc une injustice. On comprend mieux...
Jésus dit à la femme adultère : "Que celui qui n'a jamais péché, lui jette la première pierre. Je ne te juge pas, mais ne pèche plus."
Il aurait certainement prononcé le même discours devant un homosexuel. Contrairement à la religion juive ou musulmane, qui sanctionnent physiquement les homos, la chrétienne n'a pas prévu la moindre peine contre leurs agissements. Par contre elle les condamne fermement car représentant un désordre dont les conséquences peuvent être à la longue terribles :
« Leur sang retombera sur eux » Lévitique 20.13. « Recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » Romains 1.24-27.
Ce cardinal de pacotille oublie cette phrase (Galates ch. 5, vers 16-24) :
« Or ceux qui appartiennent au Christ Jésus ont crucifié la chair avec ses passions et ses convoitises. »
Bref, le cardinal Reinhard Marx a peur pour ses tripes. Il sent bien que le 23 septembre 2017 annonce bien ce qui est prédit dans Apocalypse 12 : l'Eglise devant se cacher pendant 3 ans et demi. Pourquoi ? Justement parce qu'elle sera persécutée pour dire la vérité sur la morale. Notamment sur l'homosexualité. Mais voilà, plus il y en aura, plus la fabrication d'enfants par les labos se feront à l'aide des mères porteuses. Le business permet des bénéfices monstrueux. S'il est encore naissant, il promet toutefois un fort potentiel si l'état arrivait à désordonner la nature et ses habitants. Déjà, 90% des vaches naissent d'un rapport homo. Les vétos ne s'en plaignent pas.
Les vaches naissent d'un rapport homo??? Expliquez-moi ça parce que je crois que je n'ai pas bien suivi à l'école. Pourtant j'ai passé beaucoup de temps dans un élevage de. Charolaises et j'ai toujours pensé que les veaux naissaient de l'union du taureau et de la vache!
Quel est le rapport entre Apocalypse 12 et la date du 23 septembre 2017 ?
Quel est le rapport entre Apocalypse 12 et la date du 23 septembre 2017 ?
Bonsoir Véronique.
Sur la fin de votre message. Chez nous, on dit volontiers : il ne faut pas remettre bêtes à gens.
Il est évident que les inséminations artificielles constituent un marché très lucratif. C'est bien pour ça que - dans un monde dominé par le fric, où les gens seront traités comme s'ils étaient du bétail - la PMA aura le vent en poupe.
A Bertrand
On fait monter un taureau pour prendre son sperme, sur un taureau castré (bœuf) au lieu d’une vache. Pourquoi ? Parce que la vache ne supporterait pas plusieurs taureaux sur son dos vu leur poids ! On a ainsi l’utilisation contre nature de l’homosexualité pour les besoins de l’élevage ! (voir à partir de 23 mn) :
https://www.youtube.com/watch?v=has00VPtAj8
Et à Curmudgeon,
explication du rapport entre le 23 septembre 2017 et Apocalypse 12 ici avec le commentaire de Florian :
https://effondrements.wordpress.com/2012/06/02/les-trompettes-de-lapocalypse-ne-resonnent-elles-pas-deja/#comment-18397
Vous comprendrez aussi qui est la bête ! Celle que les Français adorent, puisqu'ils ont voté à 99% pour elle.
je ne demanderai pas à véronique par quoi elle se fait monter, mais elle tire vraiment tous azimuths et devrait consulter un médecin, de préférence un psychiatre, à la rigueur un sexologue, et lui raconter les amours homosexuelles du bœuf et du taureau
Théofrède
L'Europe n'a-t-elle pas séduit Zeus ? Selon wikipedia, Il se transforma en un taureau blanc apprivoisé et se mêla aux troupeaux de son père. Alors qu'Europe et ses domestiques cueillaient des fleurs, elle vit le taureau, et grimpa sur son dos. Zeus profita de cette occasion et courut vers la mer puis se mit à nager, avec elle sur son dos, jusqu'à l'île de Crète. Là il révéla sa véritable identité, la viola puis elle finit par tomber sous son charme. Après quoi, Europe devint la première reine de Crète. Zeus lui offrit un collier créé par Héphaïstos et trois cadeaux supplémentaires : le géant de bronze Talos, le chien Lélaps qui attrapait toujours sa proie et un javelot qui atteignait toujours sa cible. Zeus recréa plus tard la forme du taureau blanc dans les étoiles, qui est maintenant connue sous le nom de constellation du Taureau !
L'histoire ne nous dit pas si Europe était transgenre. Mais vu l'actualité, cela se pourrait bien. Depuis que l'Union Européenne existe, l'inversion en toute chose règne. Et rappelez-vous, Zeus approcha Ganymède sous la forme d'un aigle ! Et en latin Ganymède est Catamitus qui donnera le mot catamite (jeune libertin).
@veronique
je suis certainement un très mauvais païen : les aventures de Zeus avec Europe et Ganymède me laissent totalement froid, et je suis assez surpris de les voir étalées ici comme articles de foi
Le cardinal me déçoit de plus en plus.
Et d’ajouter que jusque « très récemment » l’Eglise catholique était «très négative envers les personnes gays, c’était un scandale, et terrible ».
Le scandale, c'est lui.
L'Eglise ne s'en est jamais prise contre les personnes ayant des tentations désordonnées mais contre leurs actions désordonnées;
Chez les Juifs, si on en croit le troisième des cinq livres de la Torah, les pratiques homosexuelles méritent la mort.
« Si un individu cohabite avec un mâle, d’une cohabitation sexuelle, c’est une abomination qu’ils ont commise tous les deux ; qu’ils soient punis de mort, leur supplice est mérité. » (Lévitique 20)
Par contre la pédophilie est permise :dans le Talmud de Babylone :
Sanhedrin 55b. « Un Juif peut épouser une fillette de trois ans (spécifiquement âgée de trois ans « et un jour »). »
Sanhedrin 54b. « Un Juif peut avoir des rapports avec un enfant tant que l’enfant a moins de neuf ans. »
Kethuboth 11b. « Lorsqu’un homme a des rapports avec une petite fille ça ne fait rien. »
On retrouve un peu la même chose chez les musulmans puisque ce sont les judéo-nazaréens qui ont créé cette religion. D'où Mahomet épousant Aïcha quand elle a 6 ans mais ne la "consommera" qu'à 9 ans.
Ainsi apprend-on de temps en temps que des enfants juifs orthodoxes ont été violés par leurs professeurs en Israël.
https://francais.rt.com/international/24745-lecole-lhorreur–enfants-juifs
http://www.totpi.com/principal-5-teachers-accused-sexually-abusing-dozens-kids-belz-hasidic-school/
À New York, dans les bains traditionnels de l’orthodoxie juive, ou même à Jérusalem dans le quartier le plus pieux de la ville, Méa Shéarim, le rabbin Rosenberg raconte en 2005 : "J’y ai vu un vieil homme de mon âge, avec une longue barbe blanche, assis dans la vapeur. Sur ses genoux, face à lui, se tenait un enfant qui devait avoir dans les 7 ans. Le vieil homme était en train de le sodomiser. » Selon le rabbin Rosenberg, près de la moitié des jeunes adultes de la communauté hassidim de Brooklyn (la plus grande des États-Unis et l’une des plus importantes au monde) ont été victimes d’abus sexuels perpétrés par leurs aînés. Les juifs ultra-orthodoxes ayant voulu dénoncer ces abus sont aujourd’hui ruinés, condamnés à l’exil par leur propre communauté.
http://www.vice.com/fr/read/et-yahve-dit-vous-avez-le-droit-v7n12
Petite remarque sur le monde animal. De nombreux hommes politiques ne le connaissent pas. Le 12 septembre 2013, Jean Marc Ayrault s'était fait huer à Rennes par les éleveurs, pour avoir oublié que "les coqs ne pondaient pas d'œufs !"
https://pbs.twimg.com/media/BUDtHQFCIAEUcLT.jpg
Cela démontre une chose, la sexualité est toujours très mal comprise.
Qu!e voulez-vous Lino, pour les juifs, selon ce qu'enseigne le Talmud, Jésus était un enfant illégitime, conçu durant les menstruations de Marie) ; il avait l'âme d'Esau ; il était un fou, un conspirateur, un séducteur ; qu'il a été crucifié, enterré en
enfer et érigé en idole depuis lors par ses partisans.
https://archive.org/stream/LeTalmudDmasqu/Pranaitisfr_djvu.txt
D'où le Pisschrist ou les pièces de théâtre où on demande à des enfants de jeter de l'excrément sur le portrait du Christ. C'est de la haine à l'état pur ! Mais si vous le dites, on vous traite d'antisémite.
Petit aperçu de ce qu'ils pensent des chrétiens :
Dans Sanhédrin (74b) Tosephoth, il est dit : « Le rapport sexuel d'un Goy est connnne le rut d'animaux ». Et, dans Kethuboth (3b), il est enseigné : « La semence du Goy est plus immonde que celle d'un animal. » D'où dans Eben Haezer (44,8) : « Si un juif veut se marier avec une Akum (une Chrétienne) ou avec
son esclave, le mariage est nul. Car ces gens (les Akum) ne sont pas capables d'entrer en ménage. De même, si un Akum ou un esclave veut épouser une juive, le mariage est nul. »
Dans le Zohar (I, 28b) on explique que les chrétiens sont en fait les enfants du Diable : « Or le serpent était plus subtil que toute autre bête vivant dans le champ, etc. (Genèse, III, 1). « Plus subtil » indique le diable ; « que toute autre bête », cela désigne les peuples idolâtres vivant sur Terre. Car ils sont les descendants du lointain ancêtre des serpents (le premier...), qui séduisit naguère Eve. »
Le « meilleur » argument utilisé par les juifs afin de prouver que les chrétiens sont de la race du diable est le fait qu'ils ne sont pas circoncis. Le prépuce des non-juifs leur interdit d'être qualifiés d'enfants du Très Haut. En effet, par la circoncision, le nom de Dieu - Schaddai - apparaît dans la chair d'un juif circoncis. La forme de la lettre 'Isch' est dans ses narines, la lettre 'Daleth' dans ses bras recourbés, et le 'ayn' n'apparaît sur son organe sexuel que grâce à la circoncision. Chez les Gentils, non-
circoncis, par conséquent, tels les chrétiens, il n'y a que deux lettres, 'Isch' et 'Dalet', qui composent le mot « Sched », qui signifie « Diable ». Ils sont, par conséquent, les enfants de Sched, du Diable.
L'enfant du diable que je suis, se pose tout de même une question. Quand un juif nait, il a été comme moi, il n'est pas circoncis. Un coup de scalpel suffirait donc à transformer un enfant du diable à un enfant de Dieu ?
Autant dire que le Talmud a été écrit par des fous furieux. Comment d'ailleurs cela se fait-il que les gens n'y ont pas accès ?
Je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la rectitude morale ( pour ne pas dire plus...) de ces gens, comme ce Marx, cardinal à la noix, qui parle comme ça...
Ont-ils eux-mêmes des moeurs normales ?
Ces misérables n'auraient sûrement pas osé parler comme ça sous le pontificat de saint Jean-Paul II.
Ce cardinal Marx ne trouve rien à redire que la maison d'édition "catholique" Weltbild dont l'église allemande est la principale actionnaire diffuse plus de 2500 titres pornos, ésotériques, satanistes. Le scandale dure depuis 2008, sans aucune action corrective. Ces prélats sont des Judas.
Avec un nom pareil, il faut bien se faire un prénom. Cela dit, si l'on m'apprenait qu'il est de la famille de l'auteur du Capital, je n'en serais qu'à moitié surpris. A moins qu'il ne soit apparenté à Groucho, ce qui pourrait s'expliquer aussi, bien que ce cardinal soit moins drôle.
Décidément, dès que quelque chose va mal, c'est la faute des juifs. Comme le monde est simple, comme l'histoire est simple, comme tout s'explique facilement grâce à l'Ouvre-Boîte Universel !
On se demande pourquoi les sociologues, les historiens, les journalistes, les agents et analystes des services spéciaux, et les praticiens de cent autres spécialités se donnent tant de mal à observer et réfléchir alors que tout est si simple, et que plusieurs habitués de ce blog ont été visités par les Lumières du Savoir Automatique.
La réalité, en fait, est tout autre. Mais quand je dis que, derrière tout ça, il y a l'Abominable Fu Manchu, on ne me croit pas.
Je ne pense pas que ce soit moi qui sois visé. Il est vrai que Marx semble être un patronyme d'origine juive ashkénaze. Le père de Karl était fils de rabbin et s'était converti au protestantisme pour pouvoir exercer la profession d'avocat. Les Marx Brothers (éminemment plus sympathiques que le disciple dégénéré de Hegel) étaient issus d'une famille juive alsacienne. Il est possible, après tout, que ce cardinal Marx ait des origines juives.
Tout en se gardant du racisme anti-juif, il faut bien admettre que le judaïsme talmudique s'est construit contre le Christ et son Eglise, que les premiers martyrs chrétiens furent victimes du Sanhédrin et de la synagogue, que les hérésies qui ont infecté le christianisme dès l'origine furent le fait de judéo-chrétiens, que la gnose, le manichéisme, le catharisme ou la franc-maçonnerie ont des liens avérés avec le judaïsme et que, pour la France, les lois républicaines sur le divorce, la contraception ou l'avortement sont toutes dues à des politiciens d'origine juive.
pour Stavrolus, les opinions ,politiques ou autres, seraient héréditaires
devrais-je donc soupçonner mon arrière grand'mère d'adultère ?
en effet, mon grand-père, militant d'Action Française, qui écrivait même dans ses journaux, était le fils d'un député, puis sénateur, républicain et franc-maçon qui pendant prés d'un demi-siècle a voté toutes les lois républicaines et anticléricales
À Véronique :
Je n'ai pas trouvé l'explication du 23 septembre sur la page que vous me signalez, qui est une compilation hétéroclite dont je ne vois pas trop ce qu'on peut tirer.
"Tout en se gardant du racisme anti-juif !"
Je veux bien, à condition que le peuple élu se départisse de son racisme anti-goy... et de sa haine du Christ. Quant à l'argument Fu-Manchu, c'est un peu facile, c'est un peu comme de traiter d'homophobe toute personne qui n'applaudit pas les succés du lobby de l'anus. C'est de la dialectique marxiste.
M'entendre assimiler aux praticiens de la dialectique marxiste est une des expériences les plus drôles que j'ai eues depuis longtemps.
Je suis évidemment ironique avec Fu Manchu, mais franchement il y a de quoi sourire (si on ne veut pas se laisser aller à les prendre au tragique) en lisant ces propos qui tournent constamment sur les mêmes obsessions, qu'on pourrait appeler, pour faire court, de type maurassien.
Ce qui est frappant dans ces doléances, c'est leur caractère de jérémiade déprimante. Elles donnent de certains courants catholiques qui, par ailleurs, sur des sujets "sociétaux" capitaux (avortement, etc.), voient juste et se refusent avec honneur, courage, humanisme véritable justice à se laisser aller au fil des courants du conformisme, un aspect hélas peu engageant, aigre, rebutant. Un côté anti-Chesterton, si vous voyez ce que veux dire. Revêche, vieille fille, franchement contre-productif, incapable de susciter une lueur de sympathie qui pourrait conduire à une adhésion. C'est comme ça qu'on devient et reste inaudible.
À Stavrolus :
J'ai déjà eu l'occasion de poser la question, pour me borner à ce point : en quoi peut-on dire que la franc-maçonnerie à "des liens avérés" avec le judaïsme ?
Que faut-il entendre par "liens" ?
Il seraient "avérés" suite aux observations de quels historiens ?
Ce courant de pensée est apparu d'abord en Écosse, puis en Angleterre, il y a environ trois siècles, et dans un environnement tour ce qu'il y a de plus chrétien. Les juifs n'ont eu aucune part dans l'émergence de ce phénomène social.
Humanisme, naturalisme et nominalisme, les trois mamelles de la franc-maçonnerie s'enracinent (pour ne pas remonter au péché d'Adam) dans les thèses de certains auteurs de la Renaissance, dont le fameux Pic de la Mirandole, très influencé par le judaïsme et qui voulut réhabiliter la Kabbale. Cette Kabbale, volet ésotérique du judaïsme, est un projet gnostique de divinisation de l'homme qui inspire les mythes, les symboles et les rituels maçonniques. Je cite, en vrac, la reconstruction du Temple de Salomon (mythe d'Hiram le Tyrien), l’étoile de David, les noms des différents grades (chevalier Kaddosh, qui en hébreu signifie saint, Prince de Jérusalem, Prince du Liban, chevalier du Serpent d’Airain, etc.).
Je n'ai pas les connaissances suffisantes pour étayer la thèse (de Jacob Cohen, je crois) selon laquelle l'ordre des Bnaï Brith (franc-maçonnerie exclusivement juive) exercerait une sorte de contrôle sur les autres obédiences. Quoi qu'il en soit, le projet maçonnique est, en dernière analyse, un projet noachide d'unification de la planète dans un culte luciférien. J'écris luciférien, au risque de vous faire ricaner, non pour accréditer les Mémoires de la palladiste Diana Vaughan, dont je ne sais pas s'ils sont son œuvre ou celle de ce (sinistre) farceur de Léo Taxil, mais parce que cette unification passe par la destruction du catholicisme et par l'instauration d'un monothéisme dans lequel le Christ, seul Intermédiaire entre Dieu et les hommes, serait remplacé par un peuple prêtre, les juifs. Ceux-ci ont le plus souvent, au demeurant, la plus grande sympathie pour la franc-maçonnerie, même s'il ne faut pas généraliser.
Il faudrait beaucoup plus de temps et de place pour vous répondre de manière satisfaisante et argumentée. Je vous conseille, sur ce thème, les conférences et les ouvrages de Pierre Hillard, de Jean-Claude Lozac'hmeur et La Conjuration anti-chrétienne de Monseigneur Delassus.
Et dire que ce prélat a commencé comme évêque de Trèves conservateur....
L’évangile du bon grain et l'ivraie, ainsi que celui de semeur lus ce dimanche et le dimanche passé, devraient nous inspirer et nous rassurer !!! Dieu aura le dernier mot !!!
À Stavrolus.
Je n'ignore évidemment pas tout le bric-à-brac pseudo-ésotérique d'allure biblique qui figure dans la littérature et dans les rites maçonniques. Il ne s'ensuit nullement que les juifs aient à voir directement dans l'apparition de la franc-maçonnerie telle qu'on est capable de la percevoir.
Quant au pilotage en sous-main des obédiences maçonniques actuelles par le Bnai Brith, on peut toujours s'échauffer la cervelle sur ce thème, mais on retombe, comme je l'ai indiqué, sur une théorie monomaniaque qui, en voulant tout expliquer, n'explique rien du tout.
Je réitère mon propos méthodologique très simple. À quoi servent les innombrables études des spécialistes des diverses disciplines si l'explication de la grande majorité des phénomènes déplaisants était pratiquement toujours la même : l'action nocive des juifs ?
Cette obsession, je le redis sans me lasser, ressemble à s'y méprendre à la manière d'opérer des tenants des idéologies pseudo-scientifiques que sont le freudisme et le marxisme. Quoi qui se passe, on retombe toujours sur les mêmes ritournelles. C'est le genre de science médicale qu'on trouve chez un médecin moliéresque.
C'est une manière peu profitable d'exercer son intelligence que de la fourvoyer dans ces labyrinthes.
Vous mentionnez vous-même, indirectement, deux faux prophètes d'origine juive dans votre commentaire : Marx et Freud, celui-ci n'appréciant d'ailleurs pas particulièrement celui-là. Ce que vous ne voulez pas entendre, et je peux le comprendre, c'est une sentence du type : les faux prophètes sont juifs ou influencés par le judaïsme, ce qui pourrait suggérer une sorte de malédiction attachée au judaïsme talmudique, une influence malfaisante très difficile à démontrer.
Mes deux exemples favoris de conceptions viciées par un réductionnisme dans l'explication des phénomènes sont le freudisme et le marxisme, qui peuvent compter par ailleurs des analyses et interprétations intéressantes.
Je n'ignore pas que Marx et Freud étaient juifs, et je prévoyais que ceci pourrait être immédiatement relevé.
Votre interprétation consiste à suggérer qu'il y aurait une sorte de malédiction du judaïsme talmudique qui se reflèterait dans les production de ces deux auteurs. Vous reconnaissez avec honnêteté que ce type de filiation est difficile à démontrer. Mais il y a autre chose.
À partie de la sortie des ghettos, une fraction des juifs s'est adonnée activement à des activités intellectuelles et même savantes de toutes sortes. Ainsi la production intellectuelle juive depuis deux siècles est très notable. Comme pour les autres groupes humains, les résultats de ces labeurs sont variables. À côté d'œuvres admirables et solides, on trouve des spéculations discutables voire des productions idéologiques stupides ou vicieuses. Le contraire serait étonnant.
Dans cette énorme masse, beaucoup des productions intellectuelles sujettes à caution ou carrément idiotes ou vicieuses sont le fait de juifs éloignés du judaïsme, et même violemment hostile à celui-ci. Il est notoire que certains propos de Karl Marx, par exemple, reprennent des stéréotypes antisémites extrêmes et cyniquement diffamatoires (les juifs ont Mammon pour divinité, et ainsi de suite).
Vous conviendrez, je pense, que si on applique à des intellectuels chrétiens ou issus d'un milieu chrétien le type de jugement que vous avancez (avec une prudence qui vous honore), il sera facile de relier les niaiseries où les monstruosités que certains profèrent eu christianisme lui-même. Et du reste les bibliothèques et Internet regorgent d'imprécations anti-chrétiennes furibardes de cette farine.
Vous pourrez lire par ailleurs mon observation rècemment postée ce mardi matin 25 juillet sur le mésusage inconvenant des citations talmudiques.
Vous pourrez observer parallèlement que ce modus operandi trouve son pendant dans la désormais profuse littérature anti chrétienne. Un cas spectaculaire est celui-ci, qui remonte régulièrement à la surface, sur "Au Moyen Âge l'Eglise croyait que les femmes n'avaient pas d'âme" :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Légende_du_Concile_de_Mâcon
Qu'on soit de religion judaïque ou catholique ou sikh ou autre, ou qu'on soit déiste, panthéiste, agnostique, athée ou autre chose, on est tenu de respecter les règles de l'exercice de la raison, de peser les choses avec bon sens, de s'informer sur le savoir sérieux qui a été accumulé, et de se garder de la médisance et de la calomnie. Or on constate que les diatribes anti-juives, pas plus que les diatribes anti-chrétiennes, ne respectent généralement aucun de ces desiderata.
Petit exemple de l'influence du B'nai B'rith sur les autres loges :
Le journal Le Monde l'avait dévoilé le 26 mars 1986, bien avant Jean Marie Le Pen, que "c'est le B'nai B'rith", qui a imposé un "pacte" au sein de la droite pour ne jamais s'allier au FN."
Bien entendu ce genre de pacte ne pouvait marcher qu'entre politiciens membres d'une loge. Curmudgeon pourrait aussi se demander pourquoi tant d'hommes politiques épris de laïcisme, vont annuellement au diner du Crif !
L'influence de ces gens est mondiale. On le voit par exemple à l'Unesco :
https://www.youtube.com/watch?v=L5bqOtHMHVs
On l'a vu dernièrement avec Macron et son attitude scandaleuse envers la France sur la raffle du Vel d'hiv.....
https://russeurope.hypotheses.org/6148
Et que penser des guerres en Irak, en Libye et en Syrie.... pour les intérêts du Grand Israël.....
Curmudgeon, écoutez Stavrolus, il semble avoir mieux compris que vous ce que disait Herzl !
de Taquin, à l'intention de Grincheux
" À quoi servent les innombrables études des spécialistes des diverses disciplines " . Bien souvent à brasser de l'air, rarement à faire avancer le schmilblick, et souvent à justifier une profession, profiter d'une position, d'un fromage... Quoi de plus comique qu'un sociologue? Un islamologue, un politologue, un climatologue réchauffiste... ?
Quant aux médecins depuis Molière... la chimiothérapie est-elle plus efficace que la saignée ?
Cet anti-intellectualisme sommaire met dans le même sac les savants sérieux et les idéologues égarés. Rejeter l'ensemble d'une spécialité scientifique sur une telle base montre un manque de discernement qui conduit à l'obscurantisme satisfait.
Plus haut, Line cite un certain nombre de passages du Talmud pour illustrer la perversion et la malfaisance des juifs.
Chacun peut constater que ce genre de compilation fatigante circule infatigablement sur Internet, où les vieux classiques des différents courants de pensée anti-juive, anciens et récents, sont recyclés sans relâche. On ne peut manquer d'observer au passage que, pour ceux qui détestent les juifs par principe, il leur est reproché tout et son contraire. Tantôt leur morale est d'un rigorisme inhumain et farouche, et tantôt ils s'abandonnent aux turpitudes les plus extrêmes.
La réfutation des imbécilités aigres n'est pas une tâche des plus gratifiantes. Mais elle est nécessaire et méritoire au regard de Dieu et des hommes, et cela même quand on sait que les lecteurs les plus endurcis sont en général incapables de réformer leurs vues.
Je me bornerai à examiner rapidement un seul passage, en précisant que je ne suis vraiment en rien un savant talmudiste (Line non plus, peut-on supputer).
On l'a dit, Line procède à un copier-coller depuis un parmi une myriade de sites énumérant les innombrables méfaits supposés des juifs, ce qui, parfois, se laisse deviner à la formulation. Ce qui donne cette version :
"Sanhedrin 54b. « Un Juif peut avoir des rapports avec un enfant tant que l’enfant a moins de neuf ans. » ".
Or quand on prend la peine de consulter le traité Sanhédrin en 54b dans le chapitre 7, on lit ce qui suit. Voici le passage pertinent, avec une portion de contexte, dans une traduction anglaise classique du Talmud de Vilna (édition sous la direction d'Isidore Epstein, Soncino Press, Londres, 1935-1952) :
"Our Rabbis taught: In the case of a male child, a young one is not regarded as on a par with an old one; but a young beast is treated as an old one. What is meant by this? — Rab said: Pederasty with a child below nine years of age is not deemed as pederasty with a child above that. Samuel said: Pederasty with a child below three years is not treated as with a child above that. What is the basis of their dispute? — Rab maintains that only he who is able to engage in sexual intercourse, may, as the passive subject of pederasty throw guilt [upon the active offender]; whilst he who is unable to engage in sexual intercourse cannot be a passive subject of pederasty [in that respect]."
On dispose maintenant en ligne d'une autre traduction anglaise numérisée, celle d'Adin Steinsaltz, grâce au mécénat de la Williamson Davidson Foundation. Voici le même passage dans cette version, un peu plus accessible au lecteur moyen :
"The Sages taught: With regard to intercourse with a male, the Torah does not deem a younger boy to be like an older boy; but with regard to intercourse with an animal, the Torah does deem a young animal to be like an old animal.
The Gemara asks: What does it mean that the Torah does not deem a younger boy to be like an older boy? Rav says: It means that the Torah does not deem the intercourse of one who is less than nine years old to be like the intercourse of one who is at least nine years old, as for a male’s act of intercourse to have the legal status of full-fledged intercourse the minimum age is nine years."
De quoi s'agit-il ?
On est devant une discussion dans un cadre de droit pénal. La Tora condamne les rapports homosexuels et de bestialité, notamment dans le Lévitique. Dans le Talmud, ici, à la page précédente, la partie mishnique (essentiellement en hébreu) reprend évidemment cette condamnation. Ensuite la partie Gemara développe et expose (en araméen) les discussions rabbiniques des amoraïm. C'est en bas de la page 54b que figure le passage que j'ai reproduit ci-dessus.
Nous sommes en présence d'une discussion qui vise à préciser ce que nous appellerions en droit français la "qualification juridique" précise de certains actes sexuels réprouvés par la loi juive. Cette discussion a pour objet de déterminer si s'applique ou non la peine qui est encourue en principe, et sous les conditions voulues, pour les rapports homosexuels. Cette peine est la plus grave des quatre peines capitales, qui est la lapidation. Au passage, ces peines impitoyables étaient rarement appliquées, en particulier parce que les conditions à réunir étaient extrêmement exigeantes.
L'analyse juridique procède selon les critères distinctifs d'opposition suivants : âge des personnes concernées (ici : l'enfant a-t-il moins de 9 ans ou plus de 9 ans ?) ; distinction entre celui qui prend part à la sodomie active / celui qui prend part à la sodomie passive.
Ce qui en ressort, c'est qu'un garçon de moins de 9 ans (considéré comme n'étant pas encore un homme) qui subit une sodomisation passive ne doit pas être tenu pour avoir participé à un acte de pédérastie au sens de la Loi. L'implication est donc que la peine de mort par lapidation ne s'applique pas à son cas.
Quant au comportement de sodomie active de l'homme adulte sur ledit enfant, il va de soi qu'il est réprouvé.
Par conséquent le passage du traité Sanhédrin page 54b ne dit absolument pas ce qu'implique le passage tel que Line le cite : "Un Juif peut avoir des rapports avec un enfant tant que l’enfant a moins de neuf ans". Cette phrase ne peut que signifier ceci : les hommes juifs adultes sont autorisés par le Talmud à pratiquer la sodomie avec des petits enfants de moins de neuf ans.
Réfléchissons. À moins d'avoir le cerveau ramolli par les arguties sexualistes à la mode, nous savons que la Tora réprouve les rapports homosexuels comme une "abomination", to`eba (en particulier Lévitique 18:22). Les sites Web auxquels Line ajoute foi nous demandent en fait de croire dur comme fer que, dans sa phase rabbinique, les juifs auraient opéré un transformation morale et légale radicale. Cette métamorphose historiquement stupéfiante aurait abouti, et cela au cours de la mise par écrit de la Tora orale, à ce qui serait carrément, par rapport à la Tora écrite... rien moins qu'un retournement à 180° !
L'élaboration de la Halakha aurait été une entreprise ethnologiquement et sociologiquement inouïe, exhibée par tous les spécialistes des sciences humaines comme un cas spectaculaire et tout ensemble bouffon et tératologique, méritant les études les plus minutieuses. Ce processus, piloté avec constance au fil des générations par des rabbins intellectuellement et moralement dérangés, aurait consisté à retourner complètement le judaïsme de leurs ancêtres, qui serait devenu la doctrine insolite d'une secte de fanatiques et de pervers.
Est-ce plausible ? Un juif de l'an 1000, mettons, ou de l'an 2017 a-t-il reçu licence pour s'adonner sans vergogne à ce qui aurait horrifié les auteurs du Lévitique ou Hillel l'Ancien et Akiba ? Et cela avec la sanction et même l'activisme des rabbins dont les jugements sont rapportés dans Sanhédrin ?
Rien que ceci devrait suffire à mettre la puce à l'oreille à tout particulier, même non érudit, mais doté d'une dose élémentaire de bon sens, et peu porté à s'abandonner aux aigreurs de la médisance. Aucun historien, a fortiori, ne saurait prendre au sérieux une fable aussi baroque.
Ensuite, il y a un principe qui s'applique à toute personne qui cite un texte, n'importe lequel, spécialement quand sont en jeu des questions juridiques et religieuses. Et surtout si ce texte a été évoqué lors de débats polémiques. C'est de le citer aussi fidèlement que possible, fut-ce dans le truchement d'une traduction respectée (peu nombreux sont les lecteurs qui maîtrisent le judéo-araméen babylonien). C'est tout de même la moindre des choses.
Enfin, mis en face d'un texte technique (ce qui est le cas ici), on doit examiner le contexte et s'informer sur le mode d'exposition. Par exemple, le Talmud, dans la partie Gemara, met typiquement en scène des débats où sont rapportés les points de vue éventuellement divergents de rabbins. Le Talmud n'est évidemment pas rédigé dans le style du Code pénal français ou du Code de droit canonique. Il faut donc s'habituer à ce mode d'exposition. Les amoraïm étaient des spécialistes à l'esprit délié, mais qui procédaient à leurs analyses selon des manières de faire un peu différentes des nôtres, et dans un cadre social évidemment autre.
Ainsi il n'est pas nécessaire d'être un talmudiste confirmé avec trente ans d'études acharnées pour soupçonner que Line s'est contentée de prélever sur un site dénué de toute fiabilité des bribes supposément talmudiques. Lesquelles sont censées prouver l'ignominie des fils d'Israël.
Que convient-il de dire sur ces manières de faire ? Quelle idée se fait-on du lecteur pour lui infliger ces insanités raclées dans les bas-fonds du Web.
Curmudgeon, les juifs du temps d'Abraham ne sont pas ceux du temps du Christ. Un sacré dévoiement est passé par là. Le talmud fut largement censuré pour cette raison, par les juifs eux-mêmes. Car ils avaient honte de ce qu'était devenue leur religion. Leur passage à Babylone fut un désastre pour ces religieux.
Prenons par exemple Theodor Herzl. Pour lui, « les prêtres chrétiens étaient au top de l’échelle » car ils n’étaient pas attirés par l’argent. « Les simples chrétiens valaient plus que les Rabbins ».
En 1893, il proposa dans son journal sa solution :
« Voici environ deux ans, j’ai entrepris de résoudre le problème juif, au moins en Autriche avec l’aide de l’église catholique. J’ai demandé l’aide des hauts prélats de l’église autrichienne, afin d’obtenir par leur biais, une entrevue avec le Pape Léon XIII pour lui demander de nous aider contre l’antisémitisme. Je déclencherais un mouvement formidable parmi les juifs, qui se convertiront de façon fière et spontanée au christianisme. »
Herzl décrit ainsi dans les moindres détails la cérémonie de conversion de masse qu’il avait préparé. « La conversion sera effectuée en plein jour, un dimanche midi, dans la cathédrale St Stéphane par une procession joyeuse au son des cloches. »
Les juifs pour lui étaient devenus porteur du mal : « Les juifs riches dirigent le monde. Ils gèrent le destin des gouvernements et des nations. Ils les incitent à être les uns contre les autres. Pendant ce temps, eux s’enrichissent. » Herzl légitimait ainsi la thèse antisémite. La même qui faisait écrire en prison en 1927, dans son livre Mein Kampf, Adolphe Hitler : « le judaïsme de l’argent, qui sème la zizanie parmi les peuples et les provoque à la guerre, pendant que le juif en tire profit…. Mais si le judaïsme de la finance internationale réussissait en Europe ou ailleurs, à entraîner de nouveau les peuples à une nouvelle guerre mondiale, le résultat ne serait pas une victoire du judaïsme mais la destruction de la race juive européenne. »
En 1894, l’accusation de trahison d’ Alfred Dreyfus, fit comprendre à Herzl que l’assimilation n’était pas une solution viable, car le monde chrétien qu’il chérissait pourtant, ne cherchait pas assez à s’ouvrir aux juifs comme lui.
Il décida donc de vouer toute son énergie à l’élaboration d’un état juif et d’une théorie sioniste qu’il énonça dans Altneuland (une nouvelle ancienne terre). Son état juif devait rejeter toutes les traditions juives, ses commandements, le yiddish, son sens du parasitisme. Il le rêvait ressemblant à un état européen.
https://effondrements.wordpress.com/2012/06/26/il-ny-a-pas-de-pires-antisemites-que-les-sionistes/
Les textes des premiers sionistes étaient donc particulièrement antisémites, méprisant le juif éxilé. C'est ainsi qu'arriva le génocide "des enfants de la teigne" :
https://effondrements.wordpress.com/2012/08/11/lhorrible-genocide-sioniste-contre-les-juifs-sepharades/
Le Christ n'a pas voulu créer une religion totalement nouvelle. Mais rétablir celle d'Abraham en lui apportant les explications qui manquaient.
Curmudgeon, le talmud est indéfendable. Comme le Coran d'ailleurs, qui est inspiré en grande partie par le dévoiement juif. Ne pas oublier que l'islam est une création judéo-nazaréenne.
Un Catholique marche sur le chemin de la Vérité et de la vie. Il exulte... Il n'existe pas de Catholique grincheux. Monsieur Je sais tout, les autres sont des ignares, allez donc voir un rabbin et convertissez vous. Créez un site talmudique et arrêtez de nous faire ch....... et d'insulter les gens.
avis partagé
Très intéressant de lire, sur Wikipédia ou ailleurs la notice de Saint-Théofrède, martyr des sarrazins en 728 .Il est vraisemblable que j'ai eu un ancêtre du nom de Gottfried ayant participé à la bataille de Poitiers... et d'autres qui ont suivi l'étoile de la Reconquista jusqu'à Saint-Jacques. Aussi, il ne faut pas m'en vouloir si j'ai une prévention contre les sémites, en général. Je n'ai pas choisi la qualité du sang qui coule dans mes veines, fait battre mon cœur... et irrigue mon cerveau. Mes ancêtres n'étaient pas marchands de tapis ou dialecticiens, c'étaient des paysans, qui parfois, pour Dieu ou le Roi abandonnaient leurs outils pour ceindre leur épée... Bien sûr, je ne prétends pas, pour l'instant, être un mata moros, mais accordez-moi d'être un "gentil" troll-buster... et un farouche soldat du Christ.