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François : il faut une Europe fédérale pour garantir l’invasion

La Repubblica publie une interview de François. Par son grand ami athée et de gauche Eugenio Scalfari, fondateur du journal. En résumé : une alliance entre des pays qui ont une vision déformée du monde, comme l'Amérique et la Russie, c'est très dangereux pour les migrants (?). Il faut faire l'Europe fédérale pour contraindre tous les pays à accepter l'invasion.

Scalfari raconte :

Jeudi dernier, je reçois un appel du pape François. Il était environ midi, et j'étais au journal quand mon téléphone a sonné et une voix m'a salué : c’était Sa Sainteté. Je l’ai immédiatement reconnu. « Pourriez-vous venir aujourd'hui ? A quatre heures ? ». J’y serai assurément.

Je me suis précipité à la maison et à quatre heures moins le quart j’étais dans le petit salon de Sainte-Marthe. Le pape est arrivé une minute plus tard. Nous nous sommes embrassés, puis, assis face à face, nous avons commencé à échanger des idées, des sentiments, des analyses de ce qui se passe dans l'Église, et puis dans le monde.

Le pape François m'a dit être très préoccupé par la réunion au sommet du « G20 ». « Je crains qu'il y ait des alliances très dangereuses entre des puissances qui ont une vision déformée du monde : l'Amérique et la Russie, la Chine et la Corée du Nord, la Russie et Assad dans la guerre en Syrie. » Quel est le danger de ces alliances, Votre Sainteté ? « Le danger concerne l'immigration. Comme vous le savez, nous avons comme problème principal et malheureusement croissant, dans le monde d'aujourd'hui, des pauvres, des faibles, des exclus, dont les migrants font partie. D'autre part, il y a des pays où la majorité des pauvres ne provient pas de flux migratoires, mais des catastrophes sociales de ce pays, tandis que d'autres ont peu de pauvres, mais craignent l'invasion locale des immigrants. C'est pourquoi le G20 me préoccupe. »

Pensez-vous, Votre Sainteté, que dans une société mondialisée comme celle où nous vivons, la mobilité des personnes soit en augmentation, qu’elles soient pauvres ou non ? « Ne nous faisons pas d'illusions : les peuples pauvres sont attirés par les continents et les pays d’ancienne richesse. Surtout l'Europe. » Moi aussi j’ai réfléchi à plusieurs reprises à ce problème et je suis arrivé à la conclusion que, pas seulement pour cette raison, mais aussi pour elle, l'Europe doit adopter le plus vite possible une structure fédérale. Les lois et les comportements politiques qui en découlent seront déterminés par le gouvernement fédéral et le Parlement fédéral, et non par les différents pays confédérés. Vous avez abordé cette question à plusieurs reprises, même quand vous avez parlé au Parlement européen. « C’est vrai, je l'ai abordée à plusieurs reprises. » Vous avez reçu beaucoup d'applaudissements et même des ovations. « Oui, c’est vrai, mais hélas, cela ne signifie pas grand chose, ils le feront s'ils se rendent compte de cette vérité: ou bien l'Europe devient une communauté fédérale, ou bien elle ne comptera plus pour quoi que ce soit dans le monde. »

Commentaires

  • Admirateur de l’œuvre de L-F Céline, j'ai longtemps eu une réserve en rapport avec son aversion pour l'église catholique et les curés en général : « L’Église, notre grande métisseuse, la maquerelle criminelle en chef, l’antiraciste par excellence. »
    Je ne vous dirai pas ce que je pense du Pape Bergoglio... sinon qu'il m'aide à comprendre Céline.
    Merci pour votre blog M. Daoudal.

  • "Les lois et les comportements politiques qui en découlent seront déterminés par le gouvernement fédéral et le Parlement fédéral, et non par les différents pays confédérés. "

    Ce pape est surprenant ! Car il n'y a pas plus anti-chrétien que cette Union Européenne fédérale. Il veut la mort de son Eglise.

  • Bonsoir,

    En l'occurrence, si j'ai bien compris la signification des guillemets qui figurent dans l'article mentionné par Yves Daoudal, il semble que ce soit Eugénio SCALFARI, et non le Pape François, qui s'exprime, dans l'extrait que vous citez.

    Bonne soirée.

    A Z

  • Ce que vous mettez entre guillemets Nicole, ce sont les paroles du journaliste. Cela dit, la réponse du pape : "ou bien l'Europe devient une communauté fédérale, ou bien elle ne comptera plus pour quoi que ce soit dans le monde." va dans son sens.

    En conclusion, le pape veut une Europe fédérale. c'est à dire la fin de la souveraineté de la France !

  • Le pape est évidemment clairement anti-Asselineau ! Mais ce dernier ne se disait-il pas croyant ?

    Il y a là comme un paradoxe.

  • VI. L’Église face à la globalisation, la violence en tant que phénomène extrême et l’immigration.

    ". La théorie contemporaine de globalisation – imposée silencieusement et propagée rapidement – provoque de forts remous dans l’économie et la société à l’échelle mondiale. La globalisation imposée a généré de nouvelles formes d’exploitation systématique et d’injustice sociale. Elle a planifié l’élimination graduelle des obstacles que représentent les traditions nationales, religieuses, idéologiques ou autres qui s’y opposent. Elle a mené à l’affaiblissement en vue de la déstructuration des acquis sociaux au nom de la reconstruction de l’économie mondiale, censée être nécessaire, creusant davantage le fossé séparant riches et pauvres, dynamitant la cohésion sociale des peuples et ravivant de nouveaux foyers de tensions internationales.
    Face au processus d’homogénéisation réductrice et impersonnelle promu par la globalisation, face aussi aux aberrations de l’ethno phylétisme, l’Église orthodoxe propose de protéger l’identité des peuples et de renforcer le caractère local. Comme modèle alternatif pour l’unité de l’humanité, elle expose son organisation structurée, basée sur l’égalité de valeur des Églises locales. L’Église s’oppose à la menace provocatrice pesant aujourd’hui sur l’individu et les traditions culturelles des peuples que renferme la globalisation ; elle s’oppose aussi au principe selon lequel l’économie possède sa propre loi ou « économisme », c’est-à-dire l’économie émancipée par rapport aux besoins vitaux de l’humain et transformée en but en soi. Elle propose donc une économie durable, fondée sur les principes de l’Évangile. Axée sur la parole du Seigneur : « Ce n’est pas seulement de pain que l’homme vivra » (Lc 4, 4), elle n’associe pas le progrès du genre humain à l’amélioration du seul niveau de vie ou du développement économique au détriment des valeurs spirituelles."
    (Encyclique du saint et grand Concile du 26 juin 2016)

    http://orthodoxie.com/encyclique-du-saint-et-grand-concile-du-27-juin-2016/

  • Très intéressant, merci.

  • Dénoncer la connivence entre Poutine et Assad, les deux seuls chefs d'Etat à se préoccuper du sort des chrétiens (voir n'importe quelle conférence de sœur Agnès-Mariam de la Croix), c'est une horreur. Ce type est une horreur.

  • Permettez une citation de Marcel De Corte (L'intelligence en péril ...)

    "Avec ses faux airs sublimes, son pharisaïsme, sa béate élévation de pensée et de coeur, sa tartuferie dont la profondeur est telle qu'elle s'ignore elle-même, l'idéalisme dont meurt l'intelligence moderne est sans doute le plus grand péché de l'esprit."

    Il ne faut pas croire qu'il nous parle du pape (?) François : c'est paru en 1969.
    Et pourtant, à peu de frais, on pourrait adapter la phrase et elle collerait fort bien aux situations créées par ce nombriliste.

  • @Etienne
    En 1969, Marcel de Corte pouvait parfaitement parler de Paul VI, le démocrate-chrétien qui croyait que les ennemis de l'Eglise avaient raison et que si les Catholiques avaient des ennemis, c'était de leur faute (et surtout de la faute des traditionalistes). Le pape François ne pense pas autre chose, puisqu'il passe son temps à ouvrir le feu contre ses propres troupes.
    Et si vous ne voulez pas mourir idiot, lisez les pages contre la théorie de l'évolution qu'une saine philosophie et une saine théologie suffisent à pulvériser.( L'intelligence en péril de mort)

  • @mon cher Dauphin.

    Merci de vouloir m'éviter le risque mourir idiot. (D'autant mon âge avance...)
    Avez-vous remarqué que je cite cet ouvrage dont vous me recommandez la lecture ? (P. 29)

    Permettez donc un conseil (entre amis).
    Avant de jouer au docteur pédant, prenez la peine d'observer la réalité.
    C'est exactement le message de Marcel De Corte.

  • Ma question, toujours la même : Pourquoi ? Pourquoi le Saint Père se comporte t'il comme cela ? Devons-nous craindre pour sa santé ? Quel est son but ?
    Un conseil : lire ou relire "Mémoire et identité" de Jean Paul II

  • Son agenda est celui de l'Etat profond étasunien qui a sorti Benoit XVI pour le mettre en place. Il est impliqué, de près ou de loin, dans de drôles d'histoires d'enlèvements de prêtres sous la dictature Videla. A mon avis, il chante.

  • Bonsoir,

    Je vous remercie beaucoup pour toute précision sur un lien éventuel entre la question que vous posez et le conseil de lecture que vous donnez.

    Pour ma part, je réponds ce qui suit : je ne sais pas très bien ce que veut le pape François, mais je sais très bien ce qu'il veut pas, ce dont il ne veut ni parler, ni entendre parler, et croyez-moi, cela me suffit pour comprendre au moins une partie de sa stratégie globale...

    Le pape François me fait penser, de plus en plus, à ces évêques français des années 1970 qui ont considéré, en substance, qu'il y avait une bien plus grande proximité entre ce qu'ils ont appelé "l'esprit du Concile" et telle ou telle composante, alors très influente, de l'esprit du monde, qu'entre la charité chrétienne et Humanae vitae...

    Que voulez-vous... Il fut un temps, certains disaient : "la socialisation est une grâce" et aujourd'hui, en notre temps, certains disent : "la mondialisation est une grâce".

    Qu'ils méditent donc cette phrase d'Hubert Védrine : "Il y a eu les mondialisateurs et les mondialisés : les mondialisateurs ont décidé la mondialisation, mais les mondialisés, eux, on ne leur a pas demandé leur avis."

    J'ai d'ailleurs la conviction qu'il arrive que le pape François ait conscience du bien-fondé de cette citation, mais je me demande dans quelle mesure il n'est pas piégé, comme tant de clercs catholiques contemporains, victimes plus ou moins consentantes de l'effet de surplomb incapacitant produit par Gaudium et spes, ou par son interprétation dominante, selon laquelle, globalement, rien d'intégralement incompatible ou inconciliable avec le catholicisme, ou rien d'intrinsèquement pervers, ne peut provenir du monde contemporain...

    Bonne soirée.

    A Z

  • Qu'ils méditent donc cette phrase d'Hubert Védrine : "Il y a eu les mondialisateurs et les mondialisés : les mondialisateurs ont décidé la mondialisation, mais les mondialisés, eux, on ne leur a pas demandé leur avis."
    Je dirais plutôt qu'il y a les gagnants et les perdants de la mondialisation. Car parmi les 44 pays présents à Bretton Woods (les "mondialisateurs"), il y a beaucoup de perdants de la mondialisation, à commencer .par la France.

  • @Bertrand
    Personnellement, je craindrais surtout pour son salut éternel.

  • A Sainte-Marthe? Je pensais que le (vrai) pape de Rome réside au Vatican...

  • jusqu'à preuve du contraire, le pape n'est pas astreint à résidence, d'ailleurs sa cathédrale est Saint Jean de Latran, qui n'est pas au Vatican; il est même arrivé que le pape réside hors de Rome, par exemple, très régulièrement à Castelgandolfo, et dans l'histoire certains ont été beaucoup plus loin, comme à Avignon

  • Bonsoir,

    La structure du pouvoir, aux Etats-Unis, a "besoin" (à tort ou à raison, pour ainsi dire), pour pouvoir conserver son importance dans l'économie et son influence sur la société, d'au moins un conflit armé majeur tous les 20 ans, comme on l'a vu dans les années 1940, puis dans les années 1960, puis dans les années 1980, puis dans les années 2000.

    Donc, plus la Chine et la Russie se feront respecter, plus ces deux pays parviendront à éviter à leurs alliés ou à leurs voisins une intervention militaire états-unienne, des opérations militaires états-uniennes, plus ces deux pays auront de bons rapports avec les dirigeants nominaux des USA, et pire ce sera, pour la composante "AFP", de cette structure du pouvoir : l'Armement, la Finance, le Pétrole, cette composante ayant vraiment bien du mal à attendre, à patienter, jusqu'au début des années 2020...

    Par ailleurs, plus l'Union européenne ira en direction d'une construction politique fédérale, et moins certains Etats, au sein de cette construction, seront en mesure de résister, de s'opposer, face à l'exploitation des migrants à des fins de submersion confessionnelle et démographique de l'Europe.

    En d'autres termes, je me demande parfois si nous ne sommes pas en présence d'une tentative de légitimation moralisatrice, par le pape François, d'une vision de ce que doivent être le présent et l'avenir qui n'est pas très éloignée de celle que l'on peut raisonnablement attribuer à des personnes proches de, ou telles que, George Soros, mais j'espère vivement me tromper, et c'est d'ailleurs sans doute le cas.

    Deux phrases me semblent particulièrement singulières :

    A. "Je crains qu'il y ait des alliances très dangereuses entre des puissances qui ont une vision déformée du monde."

    Des perspectives d'agression, entre ces puissances "qui ont une vision déformée du monde" (que dire de celle du pape François ?), seraient-elles, à tout prendre, moins dangereuses que des perspectives d'alliance ?

    Imaginons une alliance, entre Moscou et Washington, pour contrer davantage le terrorisme islamiste, de chacun des deux côtés de l'océan Atlantique : en quoi une telle alliance serait-elle "très dangereuse", et en quoi se ferait-elle entre deux puissances qui auraient "une vision déformée du monde" ?

    B. "C'est pourquoi le G20 me préoccupe." A l'ordre du jour de la réunion du G20, un point relatif à la question des migrants a-t-il été inscrit ? L'un des lecteurs de ce blog peut-il le dire ?

    En quoi, pourquoi le G20 "préoccupe"-t-il le Pape François ?

    Celui-ci aurait-il peur que des orientations qui ne cadreraient pas avec sa vision des choses soient élaborées, à ce G20 ?

    Ce sont plutôt les dirigeants des pays d'origine des migrants qui vont du "sud" vers le "nord", de l'Afrique et du Moyen-Orient vers l'Europe, qui devraient être préoccupés, certains l'étant, d'ailleurs, et ne le cachant pas, car enfin, si ces mouvements de population s'accélèrent et s'amplifient, qui va rester, dans certains de ces pays, pour contribuer à développer l'économie et la société ?

    Si jamais ce qu'a dit au mois de juin 2017 le démographe Hervé Le Bras, chez Alain Finkielkraut, sur France culture, face à Renaud Camus, est vrai, ce qu'il a dit signifie que ce sont les personnes les plus éduquées, les plus formées, dans les pays d'origine, qui se retrouvent fréquemment parmi les migrants...

    Bonne soirée.

    A Z

  • Notez que quand les Huns ont quitté l'Asie centrale, ce sont les plus jeunes et les plus dynamiques, sans doute même les plus éduqués, qui sont partis les premiers pour l'Europe.

  • Je ne comprends vraiment pas que le Pape Begolio consulte Eugenio Scalfari !!!
    Pourquoi sert la curie???

  • Excusé moi pour ma citation pas très poli ici plus haut!
    Je ne comprends vraiment pas que le Pape François consulte Eugenio Scalfari !!!
    Pourquoi sert la curie???

  • Les nouveaux barbares ou flagellum Dei
    (fléau de Dieu) :
    http://www.introibo.fr/24-11-St-Chrysogone-martyr

    c’est pourquoi aujourd’hui la sainte liturgie demande pour nous au Seigneur une double grâce :

    dans nos âmes, la purification de toute faute ;

    et, au dehors, échapper à un châtiment semblable à celui que Dieu infligea autrefois, par la main des Barbares et de cet Attila qui s’attribuait à lui-même le nom de fléau de Dieu : flagellum Dei.

    http://www.introibo.fr/24-11-St-Chrysogone-martyr

  • Bergoglio flagellum Dei

  • Après les erreurs des " républiques " l'ont nous propose de nous éradiquer définitivement dans une europe fédérale.
    Analyse qui aura sont pendant d'irréalisme, tant les différentes cultures sont opposées. Les peuples n'ayant même pas une langue commune, cette idée de fédéralisme ne produira que tensions en incompréhension, avec abandon des populations les plus fragiles. Et assurément pour s'imposer une répression et une dictature ultra-violente, ou le bolchevisme passera pour une colonie de vacances.

    Vis à vis des afflux migratoire, il est grand temps de mettre en place un développement économique viable sur le continent africain. Que les populations soient concentrées réellement sur leur développement économique, seul possibilité pour les aider à se détourner du mirage d'une europe de toute façon au bord de l'effondrement et plus encore d'une france qui n'existe plus, car en faillite à plus de 98% de son PIB et dont le sort est déjà scellée par la bande à macro-botox et sorros !!!
    La réponse dans moins de 8mois, maintenant.

  • Cet italo-argentin doit être ce qu'on désigne à Bruxelles par le mot "zinneke", disons un sans-racine.
    Ce qui expliquerait son indifférence aux racines d'autrui.

    Si, en plus, il a pu se retrouver au pinacle, sur un plateau élevé, comme celui des Obama ou des Clinton. Avec derrière la tête l'idée qu'il était plus important que ceux-là...
    Le pauvre, il a dû brûler quelques fois ses fusibles.

    La seule chose à faire d'un type pareil, c'est de le cantonner dans sa mission officielle. Donc de ne tenir aucun compte ni de ses coups médiatiques ni de ses avis socio-machin ou politiques.

    Comme le coeur de ses missions pontificales ne sont manifestement pas sa tasse de thé... Si on n'écoute pas le reste, il ne dérangera plus personne.

  • Combien d'interviews a-t-il accordées à Scalfari ? Cette question s'adresse aux bergogliolâtres, soucieux de trouver mille excuses à l'individu: le journaliste a mal compris, il est malhonnête... Parce que si la confiance est rompue, on ne s'évertue pas à accorder des entretiens à tire-larigot avec CE journaliste, comme s'il n'en existait pas d'autres.

    C'est à Antonio Socci, par exemple, qu'il devrait accorder des entretiens ! Lui au moins est catholique, et il connaît très bien les dossiers. Evidemment, Bergoglio, en sale manipulateur qu'il est, n'a rien à gagner d'être démasqué.

    Au lendemain de l'élection, des liens avec la dictature Videla sont sortis dans la presse. Quand on fait une recherche sur le net, ce type d'info ne renvoie à rien à partir du 20 mars 2013. C'est quand même bizarre que personne n'a l'idée d'aller enquêter en Argentine. Reste aussi la question de son écartement, de son exil à l'intérieur de la Compagnie. Peut-être les deux sont-ils liés.

    Nous devons en tout cas garder l'espérance. Dieu permet certaines choses pour en tirer un plus grand bien.

  • http://belgicatho.hautetfort.com/archive/2017/07/08/migrations-le-cardinal-turkson-invite-a-exclure-tout-autant-5961314.html

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