Voici des extraits, et la fin, du discours de Donald Trump à Varsovie, jeudi dernier, juste avant l’interview de François par Scalfari. Je n’avais pas l’intention de m’imposer cette traduction de bribes d’un discours que j’ai vu, avec grande émotion, en direct. Mais les propos de François sont trop violents, trop violemment hostiles à ce que nous croyons, pour que je puisse me priver d’y apporter ce contrepoint. Ce correctif. Il suffira peut-être déjà de remarquer que non seulement François est à côté de la plaque, de façon criminelle pour la survie de l’Europe chrétienne, mais qu’en outre il y a un mot qui manque, qui manque cruellement, dans son discours, et qui est au cœur de celui de Donald Trump. Je n’y suis pour rien. Je dis seulement les choses telles qu’elles sont, objectivement.
Et quand vint ce jour du 2 juin 1979, un million de Polonais se sont rassemblés place de la Victoire pour leur première messe avec leur pape polonais, ce jour-là, tous les communistes à Varsovie ont dû savoir que leur système oppressif allait bientôt s’effondrer. Ils ont dû le savoir au moment même du sermon du pape Jean-Paul II quand un million d’hommes, de femmes et d’enfants polonais ont élevé la voix en une seule prière. Un million de Polonais qui ne demandaient pas la richesse. Ils ne demandaient pas un privilège. Au lieu de cela, un million de Polonais scandaient ces trois simples mots : « Nous voulons Dieu ! »
Avec ces mots, le peuple polonais rappelait la promesse d’un avenir meilleur. Ils trouvaient un courage nouveau pour faire face à leurs oppresseurs, et ils trouvaient les mots pour déclarer que la Pologne serait de nouveau la Pologne.
Alors, je suis ici aujourd’hui devant cette foule incroyable, cette nation fidèle, nous pouvons encore entendre ces voix en écho à travers l’histoire. Leur message est toujours aussi vrai aujourd’hui. Le peuple de Pologne, le peuple d’Amérique et le peuple d’Europe crient toujours « Nous voulons Dieu ! ».
Ensemble, avec le pape Jean-Paul II, les Polonais ont réaffirmé leur identité en tant que nation dévouée à Dieu. Et avec cette puissante déclaration de qui vous êtes, vous en êtes venus à comprendre ce qu’il faut faire et comment il faut vivre. Vous étiez solidaires contre l’oppression, et contre une police secrète sans loi, contre un système cruel et méchant qui a appauvri vos villes et vos âmes. Et vous avez gagné. La Pologne l’a emporté. La Pologne l’emportera toujours.
(…)
Ce continent n’est plus confronté au spectre du communisme. Mais aujourd’hui en Occident, nous devons dire qu’il y a des menaces sur notre sécurité et notre mode de vie. Vous voyez ce qui arrive. Il y a des menaces. Nous leur ferons face. Nous vaincrons. Mais il y a des menaces. Nous sommes confrontés à une autre idéologie oppressive, qui cherche à exporter le terrorisme et l’extrémisme tout autour du globe. L’Amérique et l’Europe souffrent attaque après attaque. Nous allons y mettre un terme.
(…)
Comme le rappelle l’expérience polonaise, la défense de l’Occident repose non seulement sur des moyens, mais sur la volonté de son peuple de l’emporter et de réussir à obtenir ce que vous devez obtenir. La question fondamentale de notre temps est de savoir si l’Occident a la volonté de survivre. Avons-nous assez confiance en nos valeurs pour les défendre à tout prix ? Avons-nous suffisamment de respect envers nos concitoyens pour protéger nos frontières ? Avons-nous le désir et le courage de préserver notre civilisation face à ceux qui veulent la subvertir et la détruire ?
Nous pouvons avoir les économies les plus fortes et les armes les plus mortelles n’importe où sur la terre, si nous n'avons pas des familles fortes et de fortes valeurs, nous serons faibles et nous ne survivrons pas. Si quelqu'un oublie l'importance cruciale de ces choses, qu’il vienne dans un pays qui ne l’a jamais oublié. Qu’il vienne en Pologne.
Et aujourd'hui comme toujours, la Pologne est dans notre cœur, et son peuple est dans ce combat. Tout comme la Pologne ne pouvait pas être brisée, je déclare aujourd'hui - que le monde l’entende - que l'Occident ne sera jamais brisé. Nos valeurs prévaudront. Nos peuples vont prospérer. Et notre civilisation triomphera.
Alors, ensemble, combattons tous comme les Polonais - pour la famille, pour la liberté, pour le pays et pour Dieu.
Que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse le peuple polonais. Que Dieu bénisse nos alliés. Et que Dieu bénisse les Etats-Unis d’Amérique.
Commentaires
Donald Ier, pape.
Bergoglio, agent du mondialisme, infiltré au sommet de l'Eglise...
Inversion des discours ...
Il y a quelques années en Russie lors de la rénovation du patrimoine religieux un citoyen russe responsable des travaux expliquait à la caméra la difficulté qu'ils avaient eu à retrouver la tradition de la sonnerie des cloches , tout avait disparu , " heureusement" disait-il " il y avait l'opéra Boris Godounov qui nous a renseigné " avant d'ajouter " C'est très important les cloches , c'est la Voix de Dieu"
Très beau discours, hélas inconcevable dans la bouche d'un dirigeant français . Cela fait mal au cœur mais espérons, prions et agissons pour que la France redevienne une "nation fidèle" comme la Pologne, au lieu de se vautrer dans l'apostasie et l'autogénocide.
Mince !!! on dirait que c'est le pape qui parle !!! bizarrement, les médias n'en n'ont pas fait écho !!! Rien !!! pas un commentaire !!! Un tel discours sortant de la bouche d'un président, par les temps d'inquisition médiatique qui courent, relève d'un courage exceptionnel qui mérite d'être salué. Le président Trump est tout ce qu'il est, avec ses limites, mais pour la bonne cause, il mérite nos encouragements !!! Que le Seigneur l'assiste .