[Le Pape] a transformé la messe du matin, qui devrait être célébrée dans l'intimité avec le Christ pour commencer au mieux la journée, en une scène d'où il lance - quotidiennement - un anathème contre des personnes non identifiées. Au point que le tabernacle est mis «de côté» et au centre, il n'y a plus l'Eucharistie, mais la parole du Pape, ce Pape qui par ailleurs aime beaucoup s'auto-citer et réinterpréter les Écritures selon l'anathème qu'il va lancer et à qui il va le lancer.
C’est ici (avec un développement).
Commentaires
Ce pape aussi se prend pour JUPITER, c'est la TOTALE !
Ce pape aussi se prend pour JUPITER, c'est la TOTALE !
A côté du magistère extraordinaire, du magistère ordinaire, un magistère matinal?
"Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez aux hommes le Royaume des Cieux ! Vous n'entrez certes pas vous-mêmes, et vous ne laissez même pas entrer ceux qui le voudraient !" (Saint Matthieu, 23, 13-14)
Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites, qui ouvrez les portes de l'Hadès et prétendez qu'il suffit de construire des ponts pour s'emparer du Royaume des Cieux !
Stupéfiante déclaration du même Bergoglio dite il y a quelques jours à Rome face à des pèlerins: "Dieu ne peut pas être Dieu sans l'homme". Au fou!
J'ai beau y mettre toute ma bonne volonté...Dans les homélies de Ste Marthe, comme dans les audiences et autres interventions du Pape François et même dans les encycliques; ce que je n'arrive pas à comprendre et me stupéfait proprement c'est, comme le souligne l'article que vous citez, la très grande rareté de citations des autres papes, des pères ou des docteurs. Habitué à suivre quotidiennement Benoit XVI et, avant lui, Saint Jean Paul II depuis que j'ai Internet, le contraste est pour moi très violent. Vraiment incompréhensible. Je ne parle pas de personnalité ni de goûts vestimentaires ou de querelles liturgiques mais bien de doctrine et de foi . Ignorant que je suis j'ai besoin que l'on s'adresse à ma raison en s'appuyant sur des vérItés tenues pour sûres par nos prédécesseurs et les Saints. François me désoriente et je n'arrive à à m'ouvrir aux "surprises de l'Esprit". Pire, j'ai souvent l'impression de me trouver dans le camp des "mauvais" catholiques mais sans que l'on m'ai expliqué concrètement pourquoi.
Cela s'appelle l'inversion diabolique.
Pourquoi s'en étonner ?
L'apostasie viendra ( vient ) du sommet [ de l'Église ]
pourquoi en rajouter, et donc à exonérer les prédécesseurs ?
il y a longtemps que le tabernacle est "mis de coté"
Ces critiques sont intéressantes mais sauf erreur de ma part, le respect dû à la fonction pontificale du successeur de Pierre reste. Il est dommage et même je trouve assez vulgaire d'appeler le pape "Bergoglio". Ce vocabulaire utilisé je pense à dessein pour le discréditer un peu facilement fait ombre à un argumentaire par ailleurs très recevable. Je ne prends pas la défense du pape François mais celle de sa fonction, et des dommages que peut causer cette désinvolture à l'égard de sa fonction. C'est mon avis, même si je continue à lire ces analyses avec effroi comme vous. Le piège serait de tomber dans le même orgueil que celui qui agité nos adversaires.
C'est Bergoglio lui-même qui discrédite quotidiennement la fonction pontificale, ce qui nous attriste tous ici.
En l'appelant Bergoglio plutôt que "pape" ou "Saint-Père", nous préservons, au contraire, la fonction de Pape qui est déshonorée par cet individu, indigne ( ô combien ! ), de la fonction qu'il occupe, bien que, personnellement, je le considère légitime ( car son sort ne dépend que du Christ ) tout en priant Dieu de nous en débarrasser au plus vite, car c'est un être malfaisant qui sape les fondements de l'Eglise.
@Vincent Touchard. Vous avez raison de dire qu'il faut respecter la fonction papale, mais je suis d'accord avec Damien 1er. C'est le pape qui discrédite la fonction papale et qui fait tout pour discréditer ses prédécesseurs.. Quand Benoît XVI était traîné dans le boue et traité de tous les qualificatifs offensants, je n'ai pas beaucoup entendu les défenseurs de la fonction papale s'exprimer. Il y a là deux poids deux mesures.
Tous les indicateurs sont au rouge, il n'est plus temps de minauder sur la forme ou sur le vocabulaire.
La vraie question, vous ne la posez pas : est-il Pape ? Si la renonciation de Benoit XVI est invalide, il ne l'est pas.