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On va de l’avant…

Malgré les deux synodes, la clique de François n’a pas réussi à imposer le « mariage gay » dans l’Eglise. Mais on fait comme si… Exemple en Belgique, à Berlare, près de Dendermonde, où Peggy Baeyens (46 ans) et Kelly Bockstale (35 ans) ont échangé leurs consentements et les alliances devant l’autel, avec le baiser rituel, et la bénédiction du P. Maarten Pijnacker.

Lequel a déclaré :

« Cela a pu se faire parce que c'était une action de grâce, pas un vrai mariage à l'église. C'est une action de grâce. Le couple remercie Dieu parce qu'elles se sont trouvées, et lui demande sa bénédiction. Qu'est-ce que vous pouvez avoir contre cela ? »

Sic. Une action de grâce et une bénédiction pour une relation contre nature.

Commentaires

  • "Contre nature" ?

    On s'en fout, puisqu'ils s'aiment.

    Vous avez quelque chose contre l'amour ?

    L'amour, toujours l'amour.

  • C'est incompréhensible.Totalement anti-catholique. Que dit l'évêque?

  • Dendermonde, ça doit être dans le diocèse d'Antwerpen (Anvers) dont l'évêque (son nom ne mérite certainement pas d'être cité) est au service de toutes les foutaises les plus coquettes.

  • Le cardinal Carlo Caffarra a raconté qu'au moment de la fondation de l'Institut pontifical d'études sur le mariage et la famille, en 1981, il reçut une lettre de sœur Lucie, qui prophétisait que l’affrontement final entre le Seigneur et le règne de Satan porterait sur la famille et sur le mariage. Elle n'allait pas jusqu'à annoncer qu'à la tête des légions infernales se trouverait la clique (comme vous l'écrivez) de l'évêque de Rome.

  • @ Etienne: diocèse de Gand

  • Mgr Luc Van Looy est l’évêque de Gand, en Belgique.

    « On pensait que ce texte concluait deux Synodes mais, en fait, il continue le processus, il marque un point de non-retour. Le pape a ouvert les portes pour continuer de réfléchir, de discerner localement. Car ce qui change, ce n’est pas la doctrine – elle reste la même pour tous – mais la façon de l’appliquer, qui ne doit pas être la même en Afrique ou en Europe ou ailleurs. C’est une décentralisation, avec une responsabilisation des Églises locales et des couples. Le pape ne nous dit pas ce que nous devons faire face aux situations difficiles, mais nous encourage à en parler pour avancer par nous-mêmes. C’est pourquoi le Synode se poursuit.

    Concrètement, dans le diocèse de Gand, nous allons réunir tous les groupes de pastorale familiale pour qu’ils étudient ce texte. Il doit servir aussi aux professeurs de pastorale familiale au séminaire. Il doit être sur la table des conseils pastoraux et de doyenné pour qu’ils se l’approprient.

    Avec ce texte, tous les chrétiens doivent apprendre à ne pas juger les autres, du moins ne pas donner l’impression de juger mais au contraire apprendre à avancer. C’est la fin d’une Église qui juge et condamne, qu’on retrouve complètement dans le document. Comme l’avait déclaré le cardinal Danneels, à Rome, à l’issue du dernier Synode (octobre 2015, NDLR) : “La question n’est pas d’abord de savoir ce qui a changé. Mais bien de savoir qui est changé. Et la réponse est : l’Église !”»

    http://www.la-croix.com/Religion/Monde/Mgr-Luc-Van-Looy-Apprendre-juger-2016-04-10-1200752424

  • On est vraiment revenu aux années de l'après-concile. Impressionnant

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