Donald Trump a signé vendredi la loi votée par le Sénat le 30 mars permettant aux Etats d’interdire le transfert de fonds publics à l’avorteur industriel dénommé « planning familial ».
Dans les derniers jours de sa présidence, Obama avait fait voter in extremis un texte obligeant les Etats à subventionner le « planning familial », alors qu’une quinzaine d’Etats avaient décidé de supprimer leurs subventions suite aux vidéos prouvant le trafic de morceaux de fœtus.
Le 30 mars, le Sénat a invoqué le « Congressional Review Act » qui permet dans les premiers mois du nouveau gouvernement de revenir sur des dispositions prises pendant les derniers temps du gouvernement précédent.
Le texte a été voté par 50 sénateurs contre 50. Le vice-président Mike Pence, président du Sénat, a dû voter lui aussi pour faire pencher la balance dans le bon sens.
On saluera le sénateur de Géorgie Johnny Isakson, venu en fauteuil roulant à la suite d’une double opération, pour retourner ensuite à l’hôpital.
Et l’on saluera évidemment Donald Trump qui n’a pas hésité à signer et promulguer cette loi.
(Les deux sénateurs républicains qui ont voté contre sont Lisa Murkowski et Susan Collins, qui s’étaient déjà opposées à la nomination de Betsy Devos comme ministre de l’enseignement.)
Commentaires
Päques : victoire de la Vie sur la mort, victoire du Bien sur le mal sous toutes ses formes.
Lisa Murkowski et Susan Collins sont aussi sous la coupe de "National Education Association" des professeurs, très gauchistes qui s'opposaient férocement à la nomination de Betsy Devos, celle-ci étant favorable à l'école à la maison pour échapper au lavage de cerveau de l'enseignement officiel.
Education , avortement, même combat
Oui c'est une excellente nouvelle ; le sénateur de Géorgie Johnny Isakson, venu en fauteuil roulant à la suite d’une double opération, pour retourner ensuite à l’hôpital, mérite en effet d'être salué ; je ne sais si son geste a été médiatisé mais il est très beau. Et bravo à Trump pour ses actes pro-vie ; espérons que les démocrates ne reviendront pas en force dans deux ans, c'est déjà difficile avec une majorité républicaine de faire passer ces bons votes.