Le 25 janvier dernier, l’Alliance féminine canadienne pour l’action internationale a envoyé au Premier ministre Justin Trudeau une lettre pour lui demander de « mettre en œuvre pleinement et sans délai les recommandations de la Commission des Nations Unies sur l’élimination des discrimination envers les femmes ».
Dans ces recommandations qui couvrent « un vaste éventail de questions cruciales pour la promotion des femmes » figure en bonne place « l’accès à l’avortement ».
Parmi les organisations qui apportent leur soutien à cette initiative, on trouve nommément l’Association des enseignants catholiques de l’Ontario (45.000 membres). Et parmi les personnalités, la présidente de cette association, Ann Hawkins.
Il n’y a eu aucune réaction de la hiérarchie catholique.
Il est vrai que l’association a déjà apporté son soutien à la Marche des Femmes pour l’avortement et a fait campagne pour des candidats pro-avortement, participe à la gay pride de Toronto et a appuyé le programme d’éducation sexuelle de la province, qui fait la promotion des relations contre nature…
Commentaires
ne nous plaignons pas trop : une lesbienne qui assume son vice ne peut pas se trouver en situation de se faire avorter
en fait, où est la discrimination ?
les hommes ne peuvent pas avorter