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Mensonge en boucle

Les chaînes dites d’information répètent en boucle que le suspect de la tuerie au camion de Berlin est un « réfugié pakistanais ».

Mais il n’y a pas de réfugiés pakistanais. Parce qu’il n’y a pas de guerre au Pakistan. Ni de situation tragique qui ferait fuir les habitants (en dehors des chrétiens…).

Il y a seulement des Pakistanais qui profitent de la situation en Syrie et en Irak pour venir tenter leur chance en Europe… ou faire des attentats.

C’est une grande victoire de l’idéologie immigrationniste que d’avoir réussi à imposer que l’on parle de « réfugiés » à propos de gens qui sont seulement des immigrés illégaux.

Commentaires

  • Cette tuerie, ou l'assassinat de l'ambassadeur de Russie, est évidemment embêtante, mais elle s'explique par l'économie., comme l'explique très bien ce lucide homme d'Eglise :
    https://www.jihadwatch.org/2016/12/top-italian-bishop-islamic-jihad-terror-attacks-have-nothing-to-do-with-religion

    D'ailleurs, qu'est-ce qui ne s'explique pas par l'infrastructure économique ? On se demande même parfois à quoi sert un évêque. Bien sûr, parfois ils ont leur utilité, comme quand le cardinal Innitzer avait assuré les catholiques autrichiens au moment de l'Anschlluss que la Providence, assurément, se manifestait dans l'action du Führer. D'où cloches sonnantes et drapeaux à croix gammée sur les églises. Le monde ecclésiastique est souvent dépositaire de la lucidité politique et de la sagesse.

    Et France-Info a fait son devoir journalistique en rapportant les propos d'un jeune Berlinois expliquant que l'incident ne doit surtout pas nuire à l'accueil des migrants et au "vivre-ensemble".

    Tout va pour le mieux.

  • On apprend coup sur coup que le Pakistanais n'est pas retenu, et que dans le camion on a retrouvé les papiers d'un Tunisien.

    Comme quoi la double consigne des terroristes qui veut
    - qu'ils emportent avec eux leurs papiers
    - qu'ils égarent ces papiers-là sur les lieux de leurs crimes
    est parfaitement suivie.

    Soit c'est une fausse identité.
    Soit on prend le public pour des demeurés.
    Soit les deux choses à la fois.

  • petite correction terminologique : pourquoi parler de réfugié ?
    au début, on parlait de migrant, traduction très acceptable de l'arabe "muhadjir" qui, d'après Jacqueline Chabbi, était le nom que se donnaient les disciples de Mahomet avant que celui de musulman soit inventé
    d'autre part, il est assez surprenant de dire qu'il n'y a de violences qu'en Irak et en Syrie; il y en a en fait dans presque tous les pays musulmans, Pakistan compris, où elles ne visent pas seulement les chrétiens, mais même des musulmans appartenant à des sectes que le pouvoir juge hérétiques, et les soi-disants réfugiés viennent d'un peu tout le monde islamique

  • En France, le mot le plus ancien pour parler de quelqu'un qui a été contraint de quitter son pays est "émigré". Dans les années 1920-1930, on parlait ainsi des émigrés russes qui avaient fui la révolution et exerçaient parfois le métier de chauffeur de taxi. Chaplin a réalisé un film en 1917 qui s'intitule en anglais The Immigrant, traduit en français L'Emigrant. Par suite, les géographes ont voulu distinguer l'émigration de l'immigration. Cette évolution terminologique souligne la rareté, jusqu'à une époque récente, du phénomène dans notre pays, celui-ci ayant accueilli à peu près cent fois plus d'immigrés depuis soixante ans qu'entre le baptême de Clovis et la Révolution. Il n'y a que l'Education nationale pour ressasser aux enfants que la France est terre d'accueil depuis toujours, ce qui est un mensonge idéologique.
    Quant au terme de "migrants", cet affreux néologisme, il a au moins le mérite de couvrir le champ de la réalité des entrants : illégaux, terroristes, réfugiés, ce sont tous des immigrants ou migrants, Il vaut donc mieux éviter la langue de bois politiquement correcte façon Najat, et, à tout prendre, parler de migrants plutôt que de réfugiés, pour désigner cette sinistre réalité, subventionnée par Soros et consorts, pour notre malheur.

  • En France, le mot le plus ancien pour parler de quelqu'un qui a été contraint de quitter son pays est "émigré". Dans les années 1920-1930, on parlait ainsi des émigrés russes qui avaient fui la révolution et exerçaient parfois le métier de chauffeur de taxi. Chaplin a réalisé un film en 1917 qui s'intitule en anglais The Immigrant, traduit en français L'Emigrant. Par suite, les géographes ont voulu distinguer l'émigration de l'immigration. Cette évolution terminologique souligne la rareté, jusqu'à une époque récente, du phénomène dans notre pays, celui-ci ayant accueilli à peu près cent fois plus d'immigrés depuis soixante ans qu'entre le baptême de Clovis et la Révolution. Il n'y a que l'Education nationale pour ressasser aux enfants que la France est terre d'accueil depuis toujours, ce qui est un mensonge idéologique.
    Quant au terme de "migrants", cet affreux néologisme, il a au moins le mérite de couvrir le champ de la réalité des entrants : illégaux, terroristes, réfugiés, ce sont tous des immigrants ou migrants, Il vaut donc mieux éviter la langue de bois politiquement correcte façon Najat, et, à tout prendre, parler de migrants plutôt que de réfugiés, pour désigner cette sinistre réalité, subventionnée par Soros et consorts, pour notre malheur.

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