Jean-Pierre Chevènement va sans doute devenir le président de la Fondation pour les œuvres de l’islam. FDesouche rappelle qu’il avait déjà gagné ses galons de serviteur de l’islam lors de l’élaboration de la Charte de la laïcité, retirant le droit de changer de religion à la demande de l’UOIF.
Commentaires
y a-t-il vraiment là sujet à discussion ?
lorsque Bonaparte voulut régler le sort des "cultes", pour régler la cas des catholiques, il s'adressa au pape et conclut avec lui un concordat dont le contenu était totalement étranger aux traditions françaises et la mise en place, en partie, contraire au droit canonique; le pape Pie VII eut la faiblesse de céder, ce dont l'Ogre ne lui fut aucunement reconnaissant
pour les protestants et les juifs, il n'avait aucune autorité à laquelle s'adresser, donc il la créa et l'imposa; ce fut fait sérieusement, les intéressés s'y plièrent et ces structures existent toujours
on se tire maintenant les cheveux à propos des musulmans pour lesquels une opération du même genre doit obligatoirement être faite et imposée pour le maintien de l'ordre public; Sarkozy s'y est essayé, mais n'est pas Bonaparte qui veut, et nous avons eu droit à un échec retentissant
pourtant, de 1830 à 1962, la France a été une puissance musulmane et semble ne jamais avoir eu de problème; il serait peut-être utile de se référer à cette époque, et manifestement on ne le fait jamais; pourquoi ?
quelqu'un peut-il nous dire quels étaient les institutions qui réglaient les rapports entre l'Etat et l'Islam dans l'Algérie française ?