Le Temps, journal suisse fleuron du politiquement correct et de l’idéologie dominante, publie un grand article pour s’offusquer de ce que dans la majorité des prisons suisses on ne pratique toujours pas « l’échange de seringues », alors qu’une ordonnance du Conseil fédéral, en vigueur depuis le 1er janvier, enjoint de remettre aux prisonniers du « matériel stérile » pour qu’ils ne transmettent pas de maladies…
Curieusement, si cet article n’ignore pas que ce qu’on met dans ces seringues est « un produit pourtant interdit », il omet de nous signaler comment le dit produit arrive dans les seringues. Est-ce que les gardiens de prison sont des dealers patentés ? Est-ce que l’administration pénitentiaire fait officiellement du trafic de drogue ? Est-ce que les détenus payent plein pot, ou est-ce qu’ils ont des réductions, ou est-ce qu’on se shoote gratuitement en prison ?
Je ne sais pas ce qu’il en est en France. Mais c’est totalement ubuesque que la même action puisse être punie de prison quand elle a lieu en dehors de la prison, et qu’elle soit légale quand elle a lieu en prison…
Commentaires
mais si, on sait très bien ce qu'il en est en France : c'est la même chose
La drogue, et le reste, rentre en prison par les parloirs, caché sur les visiteurs voire dans leurs orifices naturels.
Ou des gardiens corrompus laissent passer.
Sinon, par les cours de promenade lancé de l'extérieur.
Comme la pornographie avec les télés, l'administration tolère pour avoir la tranquillité.
Je suis hors sujet: C'est l'effet de la "seringue".
La « seringue » à la porte de la cellule c’est pour injecter le septième ciel sur le tapis de prière, avec le cri de ralliement caractéristique de ce type de drogue. Cette drogue se répand dans toute l'Europe à la faveur de nos dirigeants. Cette drogue dure s'appelle « coran ». Pour le catholique sa drogue dure s'appelle « pape François » qui vend sa camelote de bas étage, un catholique devenu antipapiste, un antipapiste devenu pape, un pape devenu naturaliste, un naturaliste devenu libre penseur, un libre penseur devenu panthéiste, un panthéiste devenu panenthéiste. Un panenthéiste devenu révolutionnaire. Un révolutionnaire dont sa bannière est « la conversion écologique intégrale » à la « mère terre » qu’il ne perçoit non comme le fruit du créateur, mais issue d’une « force éternelle » ordonnée. Le cosmos, dont la terre est un constituant, est un événement de l’espace, ce dernier format le cosmos ou monde ordonné. C’est pour cela qu’il dit que « l’espace est plus grand que le temps », car pour lui le temps n’existe pas il est contenu dans l’espace, il le considère comme une marque secondaire du cosmos, sa marque de « création » par la « force ordonnée », le temps = son attribut (de l’univers). Selon moi il voit ; le cosmos ou monde ordonné comme contenu dans l’espace, « l’espace » étant l’influence suprême ou « son » « dieu » qui agit sur l’univers (cosmos) qu’il définit comme « un » résultat ordonné de l’espace et obtenu par un phénomène de contraction de l’espace (ou dieu) dans le but de permettre l'existence d'une réalité ordonnée (cosmos ou univers) extérieure à lui tout en étant de lui.
Par « Laudato si » il essaie de « marié » le panthéisme (« mère terre » ou notre destinée marquée par son attribut qu’est le temps) au panenthéisme « transcendant paradoxal » (« espace ») et pour obtenir ce mariage il le propose au travers de la « conversion écologique intégrale » qui sera développée sous forme de renoncement ascétique de tous nos acquis pour soi-disant vaincre le réchauffement climatique.
Sa pensée n’est rien d’autre que l’expression de la Kabbale ou du concept « Tsimtsoum ».
est-ce la loge en délire ou est-ce une surconsommation de LSD ?
@Théofrède 19h16: Simplement surconsommation de Théofrède. Sans rancune j'espère! Vous n'êtes pas le pape François et moi le Père Stefano Maria Manelli. Car là la rancune est tenace venant de François.
Ce Père Stefano Maria Manelli que je respecte profondément par ailleurs, mais pas l'autre.
je ne sais quelle est la puissance maçonnique qui vous a demandé de me surveiller et vous n'avez jamais voulu me dire laquelle
j'ignore qui est votre Père Stefano Maria Manelli, et je ne vous ai jamais demandé de me surconsommer; allez le reprocher à votre commanditaire