L’hymne de prime (identique tous les jours), avec la traduction du Révérend Père Louis Gladu, OMI, rédacteur en chef de L’Ami du Foyer, parue en 1913 à Québec. On appréciera particulièrement « Pour qu’ils ne s’enivrent point au flot des vanités »… Sans se moquer, car dans l’ensemble c’est assez réussi.
En 2009 j’avais donné la traduction de Pierre Corneille.
Et voici cette hymne, en son chant le plus simple des féries (comme aujourd’hui), par les moines d’En-Calcat :