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Enfin viré

Le directeur du bureau de presse de l’épiscopat américain, Tony Spence, qui était en poste depuis 2004, a été limogé à cause de ses messages sur twitter qui dénoncent en permanence les lois votées dans les Etats pour garantir la liberté d’expression (et de commerce, et de service) de ceux qui refusent de reconnaître le « mariage » homosexuel. Selon Tony Spence ce sont des lois « discriminatoires » et « stupides ». Il a également dénoncé une loi interdisant aux hommes soi-disant transgenre d’aller dans les toilettes des femmes, et défendu le « droit » des homosexuels à l’adoption.

Dès 2007, Mgr Burke, alors archevêque de Saint-Louis, avait protesté contre la présentation par le bureau de presse du film « La boussole d’or » comme étant « entièrement en harmonie avec la doctrine catholique » alors que le livre dont le film est tiré est férocement anticatholique.

En 2009, Mgr Burke, préfet du Tribunal suprême de la signature apostolique, déclarait que les évêques devaient revoir ce service et lui donner une nouvelle direction.

Il aura fallu attendre 2016, et les provocations devenues permanentes de Tony Spence, pour qu’il soit enfin viré.

Commentaires

  • Combien d'années faudra-t-il attendre pour que soit viré Mgr Brunin, qui fait le même travail que Tony Spence, avec en plus l'autorité de "président du Conseil Famille(s) etSociété de l'Episcopat français" ?

  • Effectivement Mgr Brunîn dit des choses curieuses sur les questions dites "societales". Et, pour couronner le tout, il dit des choses très curieuses sur l'islam.

  • absolument d'accord avec g marie, Brunin est pire car il est évêque

  • dans la Haute-Loire d'autrefois, les femmes de chaque village, les travaux de la ferme terminés, se réunissaient pour faire de la dentelle sous la présidence de la béate chez laquelle elles se rendaient avec leur carreau, leur fil, et la boule de verre remplie d'eau qui servait à refléter sur leur travail la lumière de l'unique chandelle (nous sommes dans un pays pauvre) la béate était une fille pieuse nommée par la mère supérieure d'un couvent du Puy; cette réunion s'appelait un couvige; entre deux dizaines de chapelet, on y passait le temps en disant du mal de son prochain, et les prêtres du diocèse disaient que c'était dans les couviges que se commettaient le plus de péchés
    quand on lit certains commentaires, on peut se demander si ce blog ne va pas finir par être un vaste couvige, moins la dentelle et le chapelet

  • @Théofrède
    Votre remarque est digne des calomnies protestantes sur les associations pieuses.
    Si les prêtres du diocèse se plaignaient de cela, c'était à eux d'y remédier puisqu'ils les entendaient en confession. Le St Curé d'Ars avait transformé sa paroisse en s'attaquant aux commérages et lui, il a réussi.
    Comme dit g marie, les béates ont fait beaucoup de bien en instruisant et formant les femmes du village. Et elles n'étaient pas choisies à la légère.

  • @Dauphin
    je n'ai rien dit, je n'ai fait que rapporter ce que disaient les prêtres du diocèse, et c'est justement parce qu'ils entendaient les dentellières en confession qu'ils pouvaient le savoir; le Seigneur n'a malheureusement pas suscité un curé d"Ars par paroisse du diocèse du Puy
    d'autre part, le couvige n'était pas une association pieuse, c'était une réunion de travail; est-ce dans votre cher Wikipédia que vous avez trouvé ça ?
    où avez-vous vu que je pensais que les béates étaient choisies à la légère ?
    en fait, à voir vos réflexions alors que je ne me souciais absolument pas de vous, je pense que j'ai mis le doigt où ça fait mal

  • On ne combat pas sans désigner l'ennemi, cher Théofrède.
    On n'a rien fait tant qu'on ne donne pas les noms, disait Péguy.
    Trop facile de rester dans les nuées et les généralités.

    (De surcroît les béates ont instruit des générations de Vellaves, ne dites pas de mal d'elles)

  • pourriez-vous m'expliquer quand j'ai dit du mal des béates ?

  • votre mauvaise foi est tellement hallucinante que je n'avais pas relevé le début de votre charge
    vous me dîtes que j'ai des ennemis, et me sommez de les nommer
    mon problème est que je l'ignorais et que c'est vous qui me l'apprenez
    c'est donc vous qui devez savoir de qui il s'agit, comme vous n'avez pas eu le temps matériel de provoquer une réunion de votre loge, je suppose que vous l'ayez appris en consultant une boule de cristal ou le marc de café, ou par l'intermédiaire d'une tireuse de cartes, ou en faisant tourner une table ou plus simplement par une invocation à Satan
    une chose est tout au moins certaine : je connais maintenant un de mes ennemis, le ou la pseudonymé(e) g marie dont le pseudonyme androgyne fait un (ou une) parfait(e) représentant(e) de la théorie du genre
    je ne sais en revanche toujours pas ce qui me vaut cette inimitié

  • vous ne m'avez toujours pas dit quand et comment j'ai dit du mal des béates alors que je ne parlais même pas d'elles; je regrette de ne pas avoir écrit roubiaque à la place : vous n'auriez pas trouvé de définition dans votre Wikipédia habituel et auriez été très ennuyé de ne pas pouvoir me dire de sottises
    quant à un ego surdimensionné, je vous ferai remarquer que je ne vous ai jamais proposé, moi, un portefeuille ministériel
    pourquoi tenez-vous absolument à m'expliquer ce qui se passe dans mon pays, le Velay, alors que manifestement vous ne le connaissez pas ?
    je n'irai pas jusqu'à supposer que vous ne sauriez pas jusqu'à le situer sur une carte
    je ne comprends pas non plus la haine que vous éprouvez pour saint Paul
    enfin, je ne crois pas qu'il y ait des moyens naturels de savoir si quelqu'un a des ennemis alors qu'il ne s'en doute même pas; il faut donc bien qu'il y en ait d'autres, et j'ai eu la preuve au cours d'une réunion familiale, alors que je n'avais encore que huit ans, de l'implication de Satan dans la franc-maçonnerie
    je ne me permettrai pas, comme le fait un certain Daniel 1er, de vous prier d'aller vous coucher en n'oubliant pas vos gouttes

  • @Théofrède
    J'ai un particulier attrait pour St Paul. Mais pas forcément ceux qui le citent de façon lapidaire, pour un oui, pour un non.
    Pour répondre à votre question vous avez écrit
    " la béate était une fille pieuse nommée par la mère supérieure d'un couvent du Puy; cette réunion s'appelait un couvige. entre deux dizaines de chapelet, on y passait le temps en disant du mal de son prochain, et les prêtres du diocèse disaient que c'était dans les couviges que se commettaient le plus de péchés"
    Les couviges sont présidés par des béates et c'est là où se commettent le plus de péchés. Conclusion logique pour l'imbécile que je suis, les prêtres mettent en cause aussi les béates. Je n'ai jamais dit ce c'était VOUS (ou votre excellence) qui a dit du mal des béates, mais vous avez rapporté des propos qui disent du mal des béates et je prends la défense des béates, comme g-marie, que cela vous plaise ou non. Vos fameux prêtres sont coupables aussi de médisance envers les participantes aux couviges.

  • vous vous êtes parfaitement bien qualifié : je n'ai jamais dit que les béates présidaient le couvige, j'ai dit que le couvige se passait chez elles, pour une raison très simple que j'ai donnée : économiser la chandelle, dans une maison que le village mettait à leur disposition, qui s"appelait une assemblée; si vous connaissiez le Velay, vous les auriez remarquées, il y en a une dans presque tous les villages catholiques; la béate n'avait aucune autorité hiérarchique sur le village et n'était même pas une religieuse; elle était plutôt au service des habitants du village qui l'entretenaient pour qu'elle apprenne la dentelle à leurs filles, sa tâche première; il est vrai que vous parlez de choses que vous ne connaissez pas et que vous faites des déductions de touriste parisien du style "toutes les Anglaises sont rousses"; contrairement à vous, ces prêtres vellaves que vous n'aimez pas parlaient de ce qu'ils connaissaient et le dénoncer faisait partie de leur ministère; je ne vois pas en quoi cela est de la médisance; s'ils ne l'avaient pas fait ils auraient manqué à tous leurs devoirs

  • @Théofrède
    J'ai oublié de répondre à votre défi, vous aimez bien lancer des défis. J'aime bien les relever:
    http://www.ipernity.com/blog/frizisto/304663
    Et notez bien que ce n'est pas dans wikipédia.
    Je ne m'amuserais pas à vous lancer des devinettes en provençal ou en l' un des patois dauphinois

  • quel défi ?
    je ne me rappelle pas vous en avoir lancé
    en revanche, je suis toujours choqué de vous avoir vu écrire qu'un prêtre qui met en garde ses fidèles contre une occasion de péché doive en être blamé et accusé de médisance
    je suppose que vous vous êtes laissé impressionner par la dernière demande de la traduction "conciliaire" du Pater
    en c e qui me concerne, j'emploie toujours l'ancienne

  • Votre défi du dimanche 17 à 14h13, en copier-coller:
    " je regrette de ne pas avoir écrit roubiaque à la place : vous n'auriez pas trouvé de définition dans votre Wikipédia habituel et auriez été très ennuyé de ne pas pouvoir me dire de sottises".
    Désolé de vous avoir fait attendre deux jours avant de répondre à ce joli défi de "roubiaque".
    Nous sommes quittes: je suis très choqué que des prêtres fassent des généralisations hâtives du genre , je vous cite :"et les prêtres du diocèse disaient que c'était dans les couviges que se commettaient le plus de péchés". Pour pouvoir dire cela il eut fallu qu'ils aient confessé tout le monde, y compris les non-catholiques. Ils auraient dit "c'était dans les couviges que se commettaient beaucoup de péchés", cela aurait été correct . Me suis-je fait comprendre?

  • j'ai surtout compris que vous parliez une fois de plus de ce que vous ne connaissez pas
    je ne pensais pas que l'emploi du mot roubiaque, mot que j'utilise régulièrement, pouvait constituer un défi; si vous le connaissez si bien, pouvez-vous m'en donner une bonne traduction en français courant; je n'y suis jamais arrivé et c'est pour cela que je l'emploie; le texte dans lequel vous l'avez trouvé sur internet n'est d'ailleurs ni en provençal ni en patois dauphinois, mais en français
    vous partez du principe qu'un curé vellave ne confessait pas toute sa paroisse; c'est vrai pour les villages protestants, bien sur, mais dans les villages protestants, s'il y avait aussi des couviges, il n'y avait pas de ces pauvres béates dont vous prenez la défense alors que je ne les ai pas attaquées; le Velay était, et est toujours une terre de chrétienté, je suppose que vous savez ce que ça veut dire, et tout le monde y faisait ses pâques;
    quant au choix des béates, sur lequel vous m'avez aussi agressé, il se faisait dans un milieu très limité : les filles du village qui, pour une raison ou pour une autre, ne pourraient pas se marier; ce n'était pas forcément une preuve de compétence et était très limité (comme vous ne le savez pas non plus, le cadre de la vie rurale en Velay n'était pas la paroisse, généralement assez grande, que la République avait érigée en commune au mépris de toutes les institutions du Velay ancien, mais le village, devenu de nos jours section de commune pour le plus grand malheur des maires)

  • Oui, Mgr Brunin est votre ennemi, cher Théofrède, si vous êtes, comme je crois, contre le lobby LGBT et la loi Hollande-Taubira, Et même votre ennemi opiniâtre. Il serait temps de vous en apercevoir.

  • je ne sais toujours pas le mal que j'ai pu dire des béates
    en ce qui concerne mes ennemis, vous m'en citez un; puis-je connaître les autres ?

  • Voici votre texte (copié-collé) : "la béate était une fille pieuse nommée par la mère supérieure d'un couvent du Puy; cette réunion s'appelait un couvige; entre deux dizaines de chapelet, on y passait le temps en disant du mal de son prochain"

    La béate accusée de patronner les médisances, ou de laisser faire...

  • vous n'avez rien compris
    je suppose à vous lire que vous ne connaissez pas la Haute-Loire, contrairement à ce que vous tentez de me faire croire
    les couviges qui avaient lieu le soir se passaient dans l'assemblée pour une simple raison : économiser de la chandelle. on peut d'ailleurs se demander dans quel autre endroit ils auraient pu se tenir
    la béate, qui n'était pas une religieuse, n'avait rigoureusement aucun pouvoir hiérarchique sur les femmes du village; c'était même plutôt le contraire : elle était mise à la disposition du village qui la prenait en charge et, par exemple, la logeait dans l'assemblée
    lorsqu'un couvige se tenait dans la journée, par exemple, en été, sous un arbre du couderc, il ne se passait pas dans l'assemblée et la béate n'y participait pas forcément ; si l'enseignement de la dentelle aux filles du village était sa première tâche, elle pouvait aussi s'occuper des enfants en leur apprenant leurs prières, ou préparer un enterrement, etc . . .

  • @Théofrède
    Oui, je pense bien qu'il n'y a que vous qui comprenez ce que vous écrivez. Faites donc lire à votre voisin, au facteur, au boulanger, etc... la phrase que g marie a la bonté de vous remettre en mémoire et vous nous direz ce qu'ils ont compris...

  • vous feriez mieux, de votre coté, de parler de ce que vous connaissez
    quant à votre conseil . . . apprenez que j'habite Poitiers, et que ni mon voisin, ni mon facteur, ni mon boulanger ne connaissent la Haute-Loire, pas plus que vous d'ailleurs, semble-t-il, qui avez fait de longues recherches pour trouver sur internet le mot roubiaque, que j'ai toujours utilisé, mais dont manifestement vous ignorez totalement le sens
    je n'ai pas besoin de vous, ni de votre double g marie, pour savoir ce que j'ai écrit, et je ne vois pas ce qu'il y a de difficile à comprendre, sauf peut-être par vous, dans le fait qu'une béate était choisie par la mère supérieure d'un couvent du Puy, et dans celui qu'on disait du mal de son prochain dans un couvige entre deux dizaines de chapelet
    vous êtes la première personne que je trouve qui n'aie pas compris la signification de deux phrases aussi simples

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