Dimanche, le chancelier autrichien, Werner Faymann (qui est aussi président du parti social-démocrate), accusait la Grèce de se comporter « comme une agence de voyages » au service des migrants. Hier, face à Donald Tusk qui venait le voir à Vienne, il a justifié la politique de quotas mise en place par son gouvernement : « L’Autriche n’est pas la salle d’attente de l’Allemagne. Nous avons toujours dit que nous étions contre une politique de laissez-passer. »
Il a ajouté que la situation est « un chaos qui doit cesser » : « Je ne vais pas mentir au peuple en disant que nous pouvons continuer à donner l’asile à 2, 3 ou 400.000 personnes cette année. Nous ne pouvons pas le faire. » (Ce qui est une réponse à Angela Merkel : « Nous pouvons le faire. »)
Au Kurier, il a déclaré que l’Allemagne devait « mettre en place un quota journalier, et amener ces réfugiés directement de Grèce, de Turquie ou de Jordanie. L’Autriche ne peut pas, et ne doit pas, devenir une plateforme de distribution. »
Werner Faymann est chancelier depuis 2008. On ne l’avait jamais entendu parler autant…
Commentaires
Et à Vienne la POLICE DE LA CHARIA envoie 2 viennois à l'hôpital, voir http://islamisation.fr/ site de Joachim Véliocas à consulter régulièrement, et à garder, aussi, dans ses favoris.
Concernant la Grèce, après ce que l'Union Européenne (= vous savez: le machin parasitaire et dictatorial au service des USA) leur a fait subir, on ne voit pas très bien pourquoi la Grèce garderait pour elle toute seule des millions de migrants envahisseurs....