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Berk

Extrait du VIS de ce jour :

Les Circuli Minores ont analysé les besoins particuliers des familles en situation irrégulière ou délicate, reconnaissant selon le groupe anglophone présidé par Mgr Mark Benedict Coleridge (Australie) que les personnes qui cohabitent sont dans une situation différente des divorcés remariés civilement. Tout en affirmant que la pratique du vivre ensemble, si répandue dans de nombreuses cultures contemporaines ne peut être considérée comme un bien en soi, on doit reconnaître qu'il peut y avoir le bien parmi ceux qui vivent en couple hors mariage.

Nous savons, a établi le groupe francophone présidé par Mgr.Laurent Ulrich (France), "qu'il existe tant d'autres familles qui s'estiment souvent elles-mêmes éloignées de cet idéal, et d'autres qui ne pensent même pas qu'il soit peu ou prou fait pour elles. Familles divisées, familles recomposées, familles monoparentales, familles sans mariage même civil. Ces familles réelles nous ne pouvons pas les tenir à l'écart, nous ne voulons pas penser que leur chemin ne les rapproche pas du Dieu, qui aime et attire à lui tous les hommes. Nous croyons qu'en elles vit l'Esprit du Seigneur qui inspire bien des comportements de leur vie. Cela ne retire rien aux familles chrétiennes que nous soutenons et encourageons".

Ce qui était la vie normale, vécue par d’innombrables familles, est maintenant qualifié d’« idéal » quasiment inatteignable, et ce qui compte pour l’Eglise c’est de reconnaître la présence du Saint-Esprit dans les couples vivant en état d’adultère, de fornication, de relations contre-nature…

Commentaires

  • Le péché contre le St Esprit. Ils ne voient pas que c'est Lucifer qui inspire leurs propos déments et hypocrites.
    "Nous soutenons en encourageons les familles chrétiennes"
    Pharisiens! Non vous les insultez, vous les méprisez, vous piétinez le mariage sacramentel,

  • c'est sûr qu'avec un tel critère de sainteté, l'Eglise ne va pas aider les pécheurs à moins pécher mais au contraire à se complaire dans une situation qui est péché (ah, c'est vrai le péché est un critère dépassé). L'Esprit Saint n'a rien à voir dans tout cela!

  • à lire les commentaires et reportage sur le synode aujourd'hui on dirait que tout rentre dans l'ordre, que le pire à été écarté et que finalement grâce à l'Afrique la sagesse prévaut.

    on appelle cela du hoovering dans le contexte manipulateur des troubles de la personnalité.

    peu importe en réalité ce qui sera dit ou tut dans ce synode, puisque ce qui vacille ce sont les fondements.

    le synode devient la norme, autrement dit c'est le conciliarisme qui prend le pas sur la papauté, avec une image de débat, d'assemblée et donc de démocratie, qui plait aux habitués du journal de 13heures.

    gouverner c'est savoir déléguer, mais que restera-t-il sinon une primauté d'honneur au pape de l'après "françois" ?
    lorsque le pape refuse de trancher, tranche, tranchera, tout de même, mais sans le dire en multipliant actes contradictoires, rencontres médiatisées à plus ou moins bas bruit et autres contre-témoignages (car il faut appeler les choses par leur nom), il n'y a aucun acte de magistère ordinaire ou extraordinaire, mais seulement de la confusion, du douteux de l'interlope.

    Alors peu importe que les pères du synode sauvent la face ou non, ce n'est jamais que tactique au sein d'une stratégie pour entériner la défaite de l'orthodoxie.

    de toutes les façons les bénédictions pour les divorçés soi-disant remariés existent déjà comme le montre Monsieur Daoudal sur le Forum catholique, donc ce qui est en jeu dans ce happening "écclesial" qui n'est ni un concile, ni le conseil du pape, ce n'est certainement pas le souci de la vie surnaturelle dans les âmes.



    habemus papam, Benoît XVI, subito

  • François a dit plus d'une fois que c'est lui seul qui prendra les décisions qu'il jugera utiles. Il est donc admis que le synode n'a pas la suprématie sur le pape, ce qui est conforme à la doctrine.
    Donc l'inquiétude se situe au niveau du pape actuel qui est imprévisible et "furbo" comme, paraît-il, il se décrit lui-même.

  • François prendra prétexte de la collégialité "synodale" pour accepter les "arrangements" pastoraux et de l'autre côté, il imposera son autorité pour faire taire les pères synodaux restés orthodoxes. C'est connu, les seuls qui ont un certain respect envers le pape sont les traditionalistes qui défendent la doctrine catholique. Les autres se moquent bien de la "primauté" de Pierre. Les néo-protestants allemands ont bien annoncé qu'ils feraient ce qu'ils voudraient. Et ils feront ce qu'ils voudront. Et ils seront imités par tous les néo-protestants qui pullulent dans l'Eglise. Parce que l'Eglise n'a plus la volonté de les mettre dehors. Depuis Paul VI, il y a crise de l'autorité pour défendre le bien et la doctrine, mais l'autorité s'exerce de façon inique et sans pitié quand il s'agit de contrer ceux qui s'opposent à l'apostasie (Paul VI avec la FSSPX et François avec les Franciscains de l'Immaculée et avec les cardinaux orthodoxes)

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