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Leonardo Boff et l’encyclique

Une confirmation de ce que j’avais signalé dans mon article Le pape et tout ça...

Commentaires

  • « Je crois que le pape ne va pas discuter à propos de doctrines. Il dit toujours que la réalité est au-dessus des doctrines. »(Bof) :
    — donc pour le Pape la « doctrine » fait sa révérence à la « réalité » et la sanctifie en disparaissant, car la réalité est l’amour :
    « Dieu aime d’un amour inconditionnel et sa miséricorde n’a pas de limites. »(Bof) :
    — donc si la miséricorde (pardonner une faute) de « Dieu » est sans limites elle devient donc « inconditionnelle », car « installée » elle aussi dans son amour. La miséricorde devient donc sans objet (inexistant) par elle-même.
    Dieu peut se percevoir comme obéissant à « sa » loi de gradualité, un tout homogène (Intégrale de surface) ou le mal est bien et ou le bien est mal.
    Pour moi le modèle « mathématique » serais « intégrale paramétrique » qui est une fonction d’une variable (Dieu [qui varie donc]) définie à partir d'une fonction (loi de gradualité) de deux variables (variable « bien » et « mal ») et intégration.
    En résumé le mal est un constituant de Dieu comme le bien, donc il n’existe pas réellement en eux-mêmes. Une image vivante de cette situation étant l’homme fait à l’image de Dieu. Donc si image de Dieu il devient dieu par lui-même puisque régit par cette même loi de gradualité.

    Cette loi de gradualité définissant l’essence de Dieu pour ce Pape constitue son « nouveau paradigme (de la représentation du monde) » dont le développement figure dans son :
    « Encyclique de l’écologie intégrale, politique, économique, spirituelle, et pas seulement sur la relation avec la nature. Le pape part déjà du nouveau paradigme. » (Bof)
    « Le pape est en train d’inaugurer un autre type d’Église, en adéquation avec la globalisation » (Bof)
    Personnellement « hélas » « Bof » à raison dans son analyse vis-à-vis de ce Pape et de ses intentions.
    Mais ce que cette « loi » de la « gradualité » veut combattre c’est l’existence de la réalité du « péché originel » et partant de la « raison » de la venue du Fils de Dieu pour la rémission de ce péché, par sa mort et sa résurrection. En fait tout le combat ici bas est contre le seul et unique « Christ » Fils de Dieu ; « Bergoglionisme », islam, laïcisme, communisme, libéralisme, naturalisme, etc.
    Mais cette attention millénaire pour combattre le « Christ » le déclare « Fils de Dieu » par défaut. Sinon on aurait oublié ce combat depuis longtemps.
    Conclusion : la « loi » de la gradualité c’est le sophisme à l’état pur, le sépulcre blanchi.
    L’homme fait à l’image de Dieu c’est bien sûr avant la faute originelle, mais cela, c’était avant.

  • "La réalité est au dessus de la doctrine... "

    Jésus est L'Amour!
    Jésus est le Verbe de Dieu qui est l'Amour!
    La Doctrine est le Verbe sorti de la Bouche de l'Amour, qui ne peut être autre chose qu'Amour de Dieu!
    Dieu, Jésus, L'Amour, le Verbe, la Doctrine, la Vérité, la Vie, la Réalité,
    c'est tout Un!
    Changer quoi que ce soit à la Doctrine, c'est sortir de Jésus, sortir de L'Amour!
    "Si quelqu'un M'aime, il gardera Ma Parole et Mon Père l'aimera..." (Jean 14,23.)
    "Celui qui garde Sa Parole, L'Amour de Dieu est Véritablement parfait en lui; par là nous savons que nous sommes en Lui."(1 Jean 2, 5.)
    " Quiconque ne demeure pas dans la Doctrine du Christ n'a point Dieu; celui qui demeure dans cette Doctrine a le Père et le Fils. Si quelqu'un vient à vous et n'apporte pas cette Doctrine, ne le recevez pas dans votre maison ...." (2 Jean, 9-10)

    Tous ces ergoteurs du néant parlent à partir de l'amour d'eux-même et non à partir de L'AMOUR DE LA VÊRITÊ!
    Ce sont des menteurs au service du père du mensonge, et non des fils de Dieu conduits par l'Esprit de Dieu.

    " L'apparition de cet impie se fera par toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de l'iniquité, pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu L'Amour de la Vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur enverra une puissance d'égarement, pour qu'ils croient aux mensonges..." 2 Thessalon. 2, 9-12)

    Ce qui se passe maintenant sur le trône de Pierre est de la plus extrême gravité.
    Demandez l'aide de Dieu pour vous détourner définitivement des menteurs et des suppots des ténèbres, avant qu'il ne soit trop tard. Le mensonge est un pôle magnétique d'une puissance redoutable...

    Relisez les prophéties de :
    Saint Francois d'Assise,
    La Salette,
    Anne-Catherine Emmerich,
    Marguerite (Bollandistes),
    Marie-Julie Jahenny,
    Conchita de Garabandal.

    "La sainteté de vie sera tenue en dérision par ceux qui la professeront extérieurement, c'est pourquoi notre Seigneur Jésus-Christ leur enverra non pas un digne pasteur, mais UN EXTERMINATEUR." prophétie de saint-Francois d'Assise.

  • @ Corinne-Reine: Envoyez une copie à ce Pape Francois puis après il faut lui faire faire deux examens, un de conscience et l'autre de connaissance.

    En fait ce que je trouve, vraiment insupportable dans le raisonnement de ce Pape c’est d’avoir développer la miséricorde sans limites de Dieu de manière « fourbe ».
    Car une faute « pardonnée » a pour origine un mal fait.
    Pour ce Pape le « pardon » est la conséquence de la miséricorde de « Dieu » qu'il définit comme un « effet » de Dieu, or si elle est sans limites elle devient « inconditionnelle » portant « sa » « cause » dans la nature même de Dieu. Donc le mal à sa cause en Dieu. C’est comme si Dieu se pardonnait en permanence à lui même, était miséricordieux sans limites avec lui même.
    NB : Le sophisme du Pape est de prendre la référence de l’homme « image » de Dieu après la chute et non avant la faute.
    Il est normal que ce Pape définissant l’homme « image » de Dieu après la chute décrète le « pardon sans repentir » de la personne (par défaut), car le mal est une composante de Dieu se pardonnant en automatique. La faute n’existe plus et partant le péché originel.
    Le Pape en parlant des âmes « annulées » ne fait que confirmer les deux variables (bien et mal) entrant dans la fonction « loi de la gradualité » qui définit « l’intégrale paramétrique » de Dieu. Si une des deux variables (bien ou mal) vient à disparaître, Dieu n’existe plus ! Si Dieu n’est que « mal » ou n’est que « bien », il disparaît. C’est ce que voulait sous-entendre ce Pape quand il parle « d’âme annulée », car est aussi annulé ce qui n’est que « bien » aussi, ce sont des situations exclues par la « loi de la gradualité » par défaut.
    Conclusion pour ce Pape : Dieu est « gradualité ».

  • "Boff adhère à certains thèmes de l'encyclique et les reconnaît comme siens"

    - Oui, moi aussi : "les petits oiseaux sont mignons' ; les déchets c'est très laid' ; 'St François est sympa' ; "St Jean de la Croix écrit bien"; etc etc

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