La Commission pour la famille du diocèse de Rajshahi, au Bangladesh, a organisé une réunion d’une journée entière pour les adolescents sur la « santé reproductive », nous dit Asianews. Le P. Emile Ekka explique : « Nous avons voulu informer les jeunes catholiques à propos de la santé reproductive, parce qu’ils n’ont pas d’idées claires à ce sujet. Mais nous sommes responsables d’eux. Dans l’avenir, ils feront des familles, donc ils ont besoin de quelques conseils de base sur la santé reproductive. »
Cela part certainement d’un bon sentiment. Mais ce qui est clair est qu’on ne peut pas donner des idées morales claires à des adolescents en utilisant un langage immoral. L’expression « santé reproductive » est une expression de la culture de mort. Elle met la femme sur le même plan que l’animal et implique (donc) le droit à l’avortement. Un chrétien ne peut pas parler de « reproduction » humaine. Les hommes ne se reproduisent pas, ils procréent : parler de santé « reproductive » n’est pas seulement anti-chrétien, c’est anti-humain.
Commentaires
Que ce soit anti-chrétien,nous sommes bien d'accord mais le nouvel ordre mondial met en avant ses mots d'ordre;quand vous allez chez le dentiste,il vous fait un devis,vous êtes un matériel;quand vous êtes résistant aux chocs,on parle de résilience alors que ce terme ne s'applique théoriquement qu'aux machines.
Dieu aussi est anti-humain, puisqu'il est amour, et non un amas de cellules vouées à retourner à la terre.
Ou encore : rien de ce qui est chrétien ne part d'un bon sentiment.
Le Christ fondateur de l'Eglise n'a que des bons sentiments envers l'homme déchu pour le sauver.
Lapinos ne fait que répéter des âneries éculées et même pas originales. Faudrait relire les promesses de résurrection des corps, et ne pas s'arrêter au retour à la terre des gens sans espérance. Si Dieu était anti-humain, il n'aurait pas perdu de temps à s'incarner.