En première lecture du projet de loi de financement de la sécurité sociale avait été voté notamment la gratuité de la contraception pour les mineurs. En deuxième lecture a été voté un amendement du ministre des Affaires sociales et de la Santé, ajoutant que « la délivrance et la prise en charge de contraceptifs sont protégées par le secret pour les personnes mineures ».
C’est une nouvelle atteinte aux droits imprescriptibles des parents. Et à la santé publique, morale et physique.