C’est Jeannette Bougrab. Le Parisien, qui publie son interview, souligne qu’il s’agit d’« une voix isolée au sein du gouvernement » :
« Je ne connais pas d’islamisme modéré… Je n’accepte pas l’idée qu’on puisse fonder une Constitution sur la charia… Il n’y a pas de charia light. Je suis juriste et on peut faire toutes les interprétations théologiques, littérales ou fondamentalistes que l’on veut, mais le droit fondé sur la charia est nécessairement une restriction des droits et libertés »…
Commentaires
@Lapinos,
- sauf qu'il y a des versets abrogeants et, donc, des versets abrogés... les abrogeants sont les plus récent et les plus virulents contre les chrétiens et les juifs
- le droit : "barbare" dites vous... sans preuve. Le "christianisme imperméable au droit" , Vous avez des exemples?
- La Charia "réformatrice des mœurs" ? Vraiment ? ça se saurait : La lapidation?, le témoignages des femmes?
Nous sommes d'accord : Elle et Marie Claire "c'est pas top", de là à dire que c'est l'école de la prostitution...
Vous êtes vraiment le Dhimmi de service ou un Muslim qui ne s'ignore pas.
Semetipsum