Communiqué de Jean-Marie Le Pen
Le communiste terroriste Jean-Marc Rouillan, théoriquement condamné deux fois à la perpétuité, était en semi-liberté. Il en a profité pour laisser entendre qu’il ne regrettait pas l’assassinat de Georges Besse et de René Audran, et pour affirmer la nécessité de la « lutte armée », donc de l’action terroriste et du meurtre des « ennemis de classe ».
Il est donc, heureusement, retourné en prison.
Cet impromptu judiciaire aura eu l’avantage de nous faire savoir que Jean-Marc Rouillan avait l’intention de rejoindre le nouveau parti anticapitaliste de M. Besancenot, et que celui-ci n’y voyait aucune objection.
Voilà qui jette une lumière crue sur ce parti, et sur son chef qui juge normal de s’entourer de terroristes.
Personne ne pourra dire : « On ne savait pas. »
Commentaires
Dommage, ça aurait bien illustré l'essence de l'anticapitalisme.