Communiqué de Jean-Marie Le Pen
La dérive de la Justice a franchi un nouveau seuil avec le report d’un procès d’assises pour cause de ramadan.
Le scandale est renforcé par le fait que le ministère public, dont la mission est de veiller aux intérêts de la société, ne s’est pas opposé à cette demande des avocats. Or l’intérêt de la société française n’est pas que le procès d’un voyou soit reporté sous prétexte qu’il jeûne…
Si cette décision fait jurisprudence, c’est la porte ouverte à toutes les exigences communautaristes et confessionnelles dans l’enceinte même des tribunaux de la République.