Le groupe ITS (Identité, Tradition, Souveraineté) au Parlement européen n’a pas participé à la mascarade berlinoise. Dans un communiqué, son président Bruno Gollnisch a expliqué :
« Conclue à l’origine entre des pays de civilisations voisines, de niveaux de développement économique et social comparables, fondée sur le principe de la préférence communautaire et de la garantie pour nos agriculteurs de prix supérieurs aux cours mondiaux, l’Union est à l’heure actuelle totalement dévoyée de ses finalités. Au lieu de rétablir la confiance, de créer des solidarités, l’Union pratique la fuite en avant. Les Eurocrates, sourds à la voix des peuples, veulent relancer la course au super-Etat, avec sa Constitution, ses frontières indéfinies, son idéologie mondialiste, son ivresse de compétences nouvelles. Cette évolution n’est pas conforme au véritable génie de l’Europe. Nous ne la cautionnerons pas. »