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Bruno Gollnisch et le syndrome « hongrois »

Dans un communiqué d’une ironie mordante, Bruno Gollnisch exprime clairement ce que de nombreux Français pensent en voyant ce qui se passe à Budapest, et la façon dont le scandale a été traité par nos médias :

« Un homme politique qui ment sur son bilan, la situation économique et sociale catastrophique de son pays et l’énorme part de responsabilité que lui et son gouvernement ont dans ce désastre, et ce, dans le seul but de se faire réélire, il n’y a qu’en Hongrie que l’on voit ça ! Si l’on en croit la presse française.

« En France, c’est bien connu, la classe politicienne prononce toujours un discours clair, franc, véridique. Elle tient absolument toutes les promesses électorales qu’elle fait à ses électeurs. Ce n’est pas en France qu’un candidat à la Présidentielle promettrait de réduire la fracture sociale pour oublier ces mots mêmes à peine élu. Ce n’est pas en France qu’un Ministre, et candidat à ce même type d’élection, promettrait de lutter contre l’immigration clandestine et de promouvoir une immigration prétendue « choisie », en même temps que dans les faits, il mettrait en place une nouvelle pompe aspirante à cette immigration clandestine en régularisant des milliers d’immigrés illégaux.

« Pour faire preuve d’autant de duplicité, c’est certain, il faudrait être hongrois. »

 

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