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Rechercher : st nicolas

  • Le Pen écrit à Sarkozy

    Jean-Marie Le Pen souhaite que le Front national puisse être représenté dans le comité de réflexion sur la réforme des institutions, et il annonce sur RTL qu’il va envoyer aujourd’hui ou demain une lettre à Nicolas Sarkozy en ce sens. Car « le Front national a des candidats d’une compétence au moins égale à celle des gens qui ont été désignés, comme Jean-Claude Martinez, major de l’agrégation de droit public, professeur à l’université de Paris II et Montpellier, ou Bruno Gollnisch, docteur en droit ».

  • La rentrée scolaire, c’est Sarkozy, aussi

    Pendant que François Fillon parlait discrètement de la rénovation de l’enseignement professionnel dans un lycée de la banlieue parisienne, Nicolas Sarkozy, à Blois, faisait la lecture solennelle de sa lettre aux enseignants, par laquelle, en super-Jules Ferry, il expose ses idées pour la « refondation » de l’école (un baratin destiné à faire plaisir au Français moyen). Quant au ministre de l’Education, Xavier Darcos, il n’était nulle part.

    Rectificatif. Vu à la télé: Darcos suivait Sarkozy comme un petit chien muet. 

  • Sarkozy et la Turquie : nouveau recul

    L’essentiel du discours de Nicolas Sarkozy devant la conférence des ambassadeurs, qui avait été annoncé comme important, tient en quelques mots :

    « La construction de l’Europe reste pour la France une priorité absolue. »

    « Je souhaite que d’ici la fin de l’année soit créé par les 27 un comité de dix à douze sages pour réfléchir à une question : quelle Europe en 2020-2030 et pour quelles missions ? Si cette réflexion est lancée par les 27, la France ne s’opposera pas à ce que de nouveaux chapitres de négociation entre l’Union et la Turquie soient ouverts à condition qu’ils soient compatibles avec les deux visions possibles de l’avenir de leurs relations : soit l’adhésion, soit l’association. La seconde formule est celle que j’ai prônée pendant toute ma campagne électorale. Je n’ai pas changé d’avis. »

    Il a précisé qu’il a proposé à Erdogan de traiter des trente chapitres « compatibles avec l’association » et de « voir pour la suite » pour les cinq qui « ne sont compatibles qu’avec l’adhésion ». Une solution qui, dit-il, « ne trahit pas le souhait des Français » et en même temps « permet à la Turquie d’avoir une espérance ». Sic.

    Rappelons que pendant la campagne Nicolas Sarkozy avait affirmé qu’il suspendrait « toutes les négociations » (http://www.youtube.com/watch?v=kPB4Eln8kCI).

    D'autre part, Nicolas Sarkozy a rendu un hommage appuyé à Bernard Kouchner, avec qui il « travaille en totale confiance ».

     

    Addendum. Naturellement, la Commission européenne a "salué" la "contribution" de Nicolas Sarkozy "à ce débat en cours", et la présidence portugaise de l'Union a déclaré qu'elle allait "prendre en compte" cette "proposition novatrice".

  • Le professeur « raciste » veut rencontrer Sarkozy

    Le professeur d’Epinal condamné en première instance pour « racisme » envers un élève demande une audience au président Sarkozy, a annoncé son avocat. « On est en plein procès, le président reçoit une des parties du procès, or le débat judiciaire n’est pas définitif : mon client a dix jours pour interjeter appel. » La décision de Nicolas Sarkozy de recevoir l’élève est donc « juridiquement choquante et anormale, de nature à déséquilibrer le débat judiciaire ». C’est une « violation du pouvoir judiciaire ».

  • Le nouveau CFCM

    La fédération de la Grande Mosquée de Paris a annoncé hier qu’elle se retirait du Conseil français du culte musulman. Alors que Nicolas Sarkozy avait créé le CFCM pour la Grande Mosquée de Paris, c’est-à-dire pour asseoir l’autorité de Dalil Boubakeur…

    Comme l’UOIF a également déserté l’année dernière, le sigle CFCM veut dire désormais (mais c’était en fait déjà le cas depuis les dernières élections) : Conseil français du culte marocain…

  • Sarkozy et le référendum

    En se déclarant candidat, Nicolas Sarkozy a présenté comme "une idée centrale" dans ses "engagements" pour un second quinquennat de "redonner la parole au peuple français par le référendum".

    Cette dernière expression est de Jean-Marie Le Pen, lors de la campagne de 2002, quand il avait proposé une « république référendaire » et l’organisation de cinq référendums, un pour chaque année du quinquennat.

    Quand je vois un communiqué de Louis Aliot titré : « Gouverner par référendum, une idée de Marine Le Pen », les bras m’en tombent…

  • Le président du déni

    Comme il ne faut pas faire d’amalgames, Nicolas Sarkozy parle d’« idéologies extrémistes ». Et il annonce, croyant toujours qu’il fait la loi tout seul, que « désormais, toute personne qui consultera des sites internet qui font l'apologie du terrorisme ou qui appellent à la violence sera punie pénalement ».

    Ce n’est pas vrai.

    Car alors il lui faudrait poursuivre quiconque consulte les sites qui mettent en ligne le Coran, la Sunna, les Hadiths, et parlent de Mahomet comme de l’exemple à suivre. Et, sans vouloir faire d’amalgame, ça fait beaucoup de musulmans…

  • La caste dans sa bulle

    Frédéric Mitterrand dénonce le recul de Nicolas Sarkozy et François Fillon sur le “mariage” homosexuel : « Tout ça pour 0,1% d’électeurs ultra-catholiques. »

    Qu’il sorte donc un peu de la bulle de la caste politico-médiatique, qu’il aille se promener dans nos campagnes et dans nos usines, et il verra s’il s’agit de 0,1% d’ultra-catholiques…

    On voit là vraiment à quel point ces gens-là sont déconnectés du pays réel.

  • Il y avait longtemps…

    Nicolas Sarkozy a confié au secrétaire d'Etat à la Justice Jean-Marie Bockel une "mission de réflexion et de propositions sur la prévention de la délinquance des jeunes". Il devra lui remettre un rapport "avant la fin du mois d'octobre".

    Bockel précise que sa mission "s'intéressera notamment à la prévention sociale et éducative de la délinquance des jeunes, à la recherche tant en France qu'à l'international des bonnes pratiques et à la formulation de propositions innovantes en la matière".

    Avec ça, on est sauvé…

  • A propos de Florence Cassez

    Nicolas Sarkozy, flanqué des parents de Florence Cassez, a annoncé que l’année du Mexique serait dédiée à Florence Cassez et que tous les intervenants français devraient commencer par un couplet sur le sort de la Française condamnée à 60 ans de prison. Le Mexique a fait savoir que dans ces conditions il se retirait de l’organisation de l’année du Mexique.

    Sed Contra a établi que les parents de Florence Cassez sont des menteurs, et rappelle les lourds éléments à charge contre cette compagne d’un criminel mexicain.