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Mexique

  • Le retour des révolutionnaires institutionnels…

    Le candidat du « parti révolutionnaire institutionnel », Enrique Peña Nieto, a remporté l’élection présidentielle mexicaine avec environ 38% des voix selon les estimations, devant le candidat de la gauche (31%), tandis que la candidate du président sortant Felipe Calderon et de son parti de droite, Josefina Vazquez Mota, n’arrivait qu’en troisième position à 25-26%.

    Le Parti de l’action nationale paye son échec dans la lutte contre le crime organisé.

    Enrique Nieto dit incarner un nouveau PRI, ayant renoncé à ses veilles pratiques de corruption, fraude électorale, clientélisme et gouvernance autoritaire. Et à son virulent antichristianisme ?

  • Mexique : le retour du Parti révolutionnaire institutionnel

    Après dépouillement d'un tiers des bulletins, la formation du président mexicain Felipe Calderon, le Parti d'action nationale (PAN, droite catholique), a admis dimanche soir sa défaite aux élections législatives, où il a perdu la majorité relative qu'il avait au Congrès au profit du PRI.

    Le « Parti révolutionnaire institutionnel », furieusement franc-maçon et anticatholique, devrait donc retrouver le pouvoir, qu'il avait exercé sans partage et longtemps de façon dictatoriale entre 1929 et 2000.

  • Une sinistre avancée de la culture de mort

    L’assemblée législative de Mexico a légalisé l’avortement dans la capitale mexicaine, par 46 voix sur 66. Jusqu’ici il n’était permis qu’en cas de danger pour la santé de la mère, de malformation du fœtus ou de viol. L’avortement est désormais permis sans restriction jusqu’à la 12e semaine, et selon les conditions antérieures au-delà des 12 semaines.

    C’est un événement, dans la mesure où l’avortement est quasiment partout interdit en Amérique latine. Il n’est autorisé qu’à Cuba, en Guyana, à Porto-Rico (qui dépend des Etats-Unis), et naturellement dans les départements français où il est le double, voire le triple (en Guyane) du taux de métropole.

    Si elle est pour l’instant limitée à la seule capitale du Mexique, cette nouvelle loi va inciter les militants de la culture de mort, dans tout le continent, à accentuer leurs pressions.

    Lundi, Mgr Angelo Amato, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi, déclarait, lors d’un séminaire sur le terrorisme, qu’à côté du « terrorisme abominable des kamikazes qui occupe quotidiennement la scène médiatique, existe le “terrorisme à visage humain“ tout aussi répugnant », masqué par « des expressions qui cachent la réalité tragique des faits ». « Par exemple l’avortement est appelé interruption volontaire de grossesse, et non meurtre d’un être humain sans défense, (...) et l’euthanasie est appelée plus légèrement mort dans la dignité ». Et il a dénoncé les « cliniques abortives, authentiques abattoirs d’êtres humains en bouton », les « laboratoires fabriquant la pilule du lendemain RU 486 ou manipulant les êtres humains comme s’ils étaient un simple matériel biologique », les parlements des « nations soi-disant civilisées qui promulguent des lois contraires à la nature humaine ».

  • Jour historique au Mexique

    Le président élu du Mexique Felipe Calderon a annoncé la nomination de six ministres, dont l'ex-président de la commission de la Santé de la chambre des députés, Jose Angel Cordoba.

    C’est  « le pire des nouveaux ministres », selon l'éditorialiste du quotidien Grafico, C’est l’arrivée de « l’extrême droite catholique » au gouvernement, souligne l’AFP.

    En effet, l’« ultra-conservateur » Jose Angel Cordoba est un chirurgien catholique, qui soutient l’association Provie mexicaine et qui est ouvertement opposé à la pilule du lendemain comme à l’euthanasie.

    Or Jose Angel Cordoba va être ministre de la Santé.

    Enfin, le Mexique sort vraiment de sa longue et terrible nuit maçonnique.