Après dépouillement d'un tiers des bulletins, la formation du président mexicain Felipe Calderon, le Parti d'action nationale (PAN, droite catholique), a admis dimanche soir sa défaite aux élections législatives, où il a perdu la majorité relative qu'il avait au Congrès au profit du PRI.
Le « Parti révolutionnaire institutionnel », furieusement franc-maçon et anticatholique, devrait donc retrouver le pouvoir, qu'il avait exercé sans partage et longtemps de façon dictatoriale entre 1929 et 2000.