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Alliot-Marie

  • MAM a « très envie »

    Grand émoi à l’UMP : Michèle Alliot-Marie déclare qu’elle n’est « pas candidate au soutien financier et logistique de l'UMP », donc elle n’est plus candidate à la candidature UMP, mais qu’elle pourrait bien se présenter en dehors du parti : « J’en ai très envie », souligne-t-elle.

    Sarkozy sera donc le seul candidat à la candidature de l’UMP, mais il pourrait bien trouver quand même MAM sur sa route (et aussi Nicolas Dupont-Aignan, qui réaffirme sa candidature face à un Sarkozy qui « ne pourra en aucun cas, avec son projet atlantiste, européiste et libéral, rassembler les gaullistes »).

    Rappelons que le 15 décembre, ce n’est pas si vieux, Michèle Alliot-Marie affirmait : « Face à une gauche avide de revanche, face à un Front national élevé, nous ne devons pas prendre le risque de la division devant les électeurs. Je dis clairement : je suis par principe pour une candidature unique. » Mais elle ajoutait que « la situation serait différente » si Le Pen n’obtenait pas ses 500 parrainages et que « nous devrions alors réfléchir à notre stratégie ».

    Cela voudrait-il dire que MAM est sûre que Le Pen n’aura pas ses signatures ?

    Il est plus probable que cela ne veuille rien dire, comme le laisse voir le coup du « principe » à géométrie variable…

    En tout cas, à l’UMP, c’est le spectre de Le Pen qui revient en force : c’est le seul argument des sarkozystes contre une candidature de Michèle Alliot-Marie…

  • L’obsession Le Pen

    Dans un entretien au Figaro, Michèle Alliot-Marie déclare : « Face à une gauche avide de revanche, face à un Front national élevé, nous ne devons pas prendre le risque de la division devant les électeurs. Je dis clairement : je suis par principe pour une candidature unique. »

    Voilà donc le « danger Le Pen » élevé au rang de « principe » d’action. Car elle poursuit : « La situation serait différente » si Le Pen n’obtenait pas ses 500 parrainages, « nous devrions alors réfléchir à notre stratégie ». C’est bien au nom de ce même « principe » que Michèle Alliot-Marie ne serait plus alors pour une candidature unique…