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Agrif

  • Et voilà la confirmation

    Le tribunal correctionnel de Paris a débouté l’AGRIF qui avait assigné le directeur général de L’Oréal, Jean-Paul Agon, pour discrimination raciale.

    Il disait « assumer » le concept de discrimination positive, et précisait que dans son groupe, « un candidat qui a un prénom d’origine étrangère a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche ».

    Les magistrats ont jugé que Jean-Paul Agon montrait « plutôt une volonté de rétablir un équilibre qui se trouve compromis, en favorisant ceux qui sont ordinairement victimes de discriminations prohibées ».

    Voici donc désormais énoncée par la justice française la définition la plus injuste de la discrimination positive, et la plus immorale : la discrimination positive ouvertement ethnique, c’est-à-dire raciste, au motif qu’il s’agit de favoriser les allogènes afin de « rétablir l’équilibre » avec les souchiens.

    La justice confirme ainsi le véritable sens de ce concept de « rééquilibrage », si souvent utilisé par les hommes politiques, au premier chef par Nicolas Sarkozy, mais qu’on était prié de considérer comme un rééquilibrage au profit des personnes défavorisées de certains quartiers, sans considération ethnique. Désormais, il est donc officiel qu’il s’agit de « rééquilibrer » au profit unique de ceux qui ont un nom d’origine étrangère.

    Ce jugement, qui est radicalement contraire à l’Etat de droit, mais qui anticipe la prochaine directive européenne sur le sujet, est conforme, d’autre part, à ce que l’on savait déjà des « rééquilibrages », notamment concernant la facilitation des constructions de mosquées, pour « rééquilibrer » la religion musulmane face à la religion catholique.

    Et cette idéologie anti-française et anti-chrétienne ne souffre aucune contestation. Non seulement l’AGRIF est déboutée, mais elle est condamnée à verser 2.500 euros de dommages et intérêts au directeur de L’Oréal pour poursuites abusives...

    Pour répondre à cette agression, adhérez à l'AGRIF.

    Addendum. L'AGRIF fait appel. 

  • L’Agrif contre Monsieur R.

    Sur les réquisitions du procureur de la République, le juge d’instruction près le tribunal de grande instance de Paris vient de renvoyer le rappeur Richard Makela, alias Monsieur R., devant le tribunal correctionnel, pour avoir, dans sa chanson FranSSe, injurié un groupe de personnes en raison de leur nationalité, en l’espèce les Français, en écrivant : « La France est une garce… la France est une de ces putes de mères qui t’a enfanté », et en orthographiant FranSSe avec le sigle de la SS  ; et pour avoir, dans son clip, provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes à raison de leur appartenance à une nation, en l’espèce les Français, en écrivant : « N’oublie pas de la baiser jusqu’à l’épuiser, comme une méchante il faut la traiter, mec », propos illustré par des images de deux femmes nues, blanches, tenant un drapeau français et par des images brouillées mais reconnaissables d’actes sexuels.

    La justice donne ainsi suite à la plainte déposée par l’Agrif, qui se félicite de cette décision, et souligne que seule sa procédure est sérieuse, au contraire de celle du député Mach qui avait en son temps défrayé la chronique.

    Au départ, deux députés UMP avaient saisi l’occasion pour faire parler d’eux : François Grosdidier et Daniel Mach, qui avaient annoncé qu’ils allaient porter plainte contre le rappeur anti-français. L’ineffable Grosdidier, l’homme de la mosquée et du ramadan spectacle de Woippy, a ensuite disparu de cette affaire. Daniel Mach a porté plainte, mais pour atteinte aux bonnes mœurs… Il a été naturellement débouté par le tribunal de Melun, celui-ci constatant que le député n'était pas habilité, en sa qualité, à intenter des poursuites contre le rappeur, et qu'il n'avait pas d'intérêt personnel à le faire, n'étant pas le père d'enfants mineurs. Ce qui avait permis à Richard Makela et ses soutiens de crier victoire.

    Grâce à l’Agrif, il y a aura donc finalement un procès de Monsieur R.