Un reportage de la télévision allemande RTL a révélé aux citoyens si prompts à accueillir tous les « migrants » surtout s’ils sont de pauvres « réfugiés » fuyant la persécution et la guerre, que des centaines d’Afghans vivant du produit de leurs impôts vont régulièrement en vacances… dans leur pays d'origine. (Il en est de même de centaines d’Afghans de Londres.) Et ce n’est pas du tout discret : ces « réfugiés » publient sur les réseaux sociaux les photos et vidéos de leurs vacances… C’est d’autant moins discret que, par exemple, dans le quartier Saint-Georges de Hambourg, plusieurs agences de voyage sont ouvertement spécialisées dans ce commerce.
Evidemment, les « réfugiés » et « demandeurs d’asile » n’ont pas de passeport allemand ou de leur pays d’origine. Mais ils ont le « passeport bleu », le Reiseausweis créé spécialement pour eux, et qui leur permet de voyager. Pas dans leur pays d’origine, bien sûr : ils perdraient leur statut, leur droit de séjour et les subsides qui vont avec. Mais il suffit de dire qu’on va…en Iran. Et une fois en Iran on demande un visa afghan, sur feuille volante…
Interrogée par RTL, la ministre de l’Intérieur s’est contentée de répondre : « Il n’appartient pas au ministère fédéral de l’Intérieur de veiller à ce que de telles choses ne se produisent pas. » Sic.
Commentaires
Ils nous prennent ouvertement pour des cons et nous sommes sommés, par nos élites, d'aimer ça sinon...
En somme, c'est le rétablissement du Passeport NANSEN, délivré de 1922 à 1945, mais cette fois réservé aux migrants.