Deux semaines après que 300 fidèles ont manifesté devant l’évêché de Quimper pour demander que leur évêque continue de leur procurer les sacrements selon la tradition de l’Eglise, le tyranneau ecclésiastique qui se dit évêque de Quimper leur a envoyé une lettre pour les envoyer paître. Non seulement la Fraternité Saint Pierre est chassée du diocèse, mais il n’y aura plus que trois messes traditionnelles le dimanche, seulement le dimanche et les fêtes d’obligation (en attendant qu’elles disparaissent, puisqu’elles seront célébrées par des prêtres qui n’en veulent pas), à l’exclusion de tout autre sacrement, de toute autre activité pastorale. A ceux qui osent demander la liturgie traditionnelle de l’Eglise, le tyranneau ecclésiastique qui se dit évêque de Quimper va jusqu’à intimer l’ordre de participer aux « équipes liturgiques » des paroisses, et aux temps forts des dites paroisses…
Le samedi suivant 25 mai ont eu lieu à la Maison diocésaine les deux premières « étapes » de l’itinéraire intitulé « Mieux comprendre et mieux accueillir les personnes homosexuelles et leurs proches dans nos vies, nos familles, nos paroisses ». Le matin, un film. L’après-midi, « échanges et partages » avec un neuropsychiatre. Les deux autres « étapes’ auront lieu le 8 juin, avec le matin une session titrée « Homosexualité et vie chrétienne : Ouvrir les écritures et les recevoir avec le Christ » (sic), et l’après-midi une conférence de la « théologienne » militante LGBT Isabelle Parmentier.
Comme on le voit par les trois logos en bas du deuxième tract, cela est bel et bien organisé sous l’égide d’« Eglise catholique en Finistère » (ce qu’on appelait autrefois le diocèse de Quimper et Léon), CATHOM 29, qui est l’organisme officiel du diocèse dédié aux déviants sexuels (Cathom = Catholique Homosexuel), et… la pastorale des familles, car ce sont des familles comme les autres…
Il est évident qu’on ne peut pas en même temps faire la promotion des déviances sexuelles et tolérer la liturgie traditionnelle. Lex orandi, lex credendi.