Pour la première fois, le prix d’interprétation féminine du Festival de Cannes a été décerné à un homme, Carlos Gascon, 52 ans, marié, un enfant, qui se dit femme depuis six ans.
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Pour la première fois, le prix d’interprétation féminine du Festival de Cannes a été décerné à un homme, Carlos Gascon, 52 ans, marié, un enfant, qui se dit femme depuis six ans.
Commentaires
On ne peut qu'être en désaccord avec Dora Moutot et Marguerite Stern sur les principes (Elles viennent de la gauche "sociétale" et sont favorables à l'avortement), mais je les rejoins sur un début de prise de conscience : les femmes sont les dindons de la farce du prétendu féminisme, qui leur impose aujourd'hui de trouver ça très bien quand un homme déguisé en l'une d'entre elles remporte une course cycliste ou un prix d'interprétation "féminine".
Notons aussi que pour elles les opérations de supposé changement de sexe sont encore plus irréversibles que pour les hommes, en tout cas dans leur dimension hormonale : qu'une adolescente prenne de la testostérone pendant quelques années quelques mois ?), elle aura, si elle décide de revenir en arrière, une voix d'homme et devra se faire la barbe tous les matins jusqu'à la fin de ses jours,
Je me flatte de ne rien y connaître, en femmes, mais je soupçonne cette citation du gnostique Philippe Sollers, qui se disait spécialiste du genre, d'être assez juste :
"Les femmes sont avant tout sociables..."
Et sociales : "Si c'est à la mode, si la "société" est d'accord, marche-moi dessus ! Ecrabouille-moi d'un coup de talon ! J'adore ça !"
Sacher-Masoch, réveille-toi, elles ont toujours été folles !