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Echec tchèque à la Convention d’Istanbul

Malgré les exhortations du président Petr Pavel, le Sénat tchèque a rejeté (de peu) la ratification de la Convention d’Istanbul : 34 sénateurs ont voté pour, sur 71 présents. Le texte devait aller ensuite à la chambre des députés, il a été retiré de l’ordre du jour.

La République tchèque (dernier pays à se prononcer) rejoint ainsi les autres pays dont les gouvernants ont signé la Convention du Conseil de l’Europe mais dont les parlements ne l’ont pas ratifiée : Arménie, Bulgarie, Hongrie, Lituanie, Slovaquie. (Et la Turquie s’en est retirée.)

La Convention d’Istanbul vise soi-disant à lutter contre les violences faites aux femmes. En réalité il s’agit d’un document qui impose l’idéologie du genre (« le terme genre définit les rôles socialement construits », etc.), de façon générale dans la société, et dans son article 14 particulièrement à l’école.

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