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Premier dimanche de l’Avent

Ad te levávi ánimam meam : Deus meus, in te confído, non erubéscam : neque irrídeant me inimíci mei : étenim univérsi, qui te exspéctant, non confundéntur.

Vers vous l’élan de mon âme, ô mon Dieu ! En vous ma confiance : que je n’aie pas à en rougir et que mes ennemis ne puissent pas se moquer de moi car ceux qui comptent sur votre venue ne seront pas déçus.

L’antienne d’offertoire est sur le même texte que l’introït, à savoir le début du psaume 24. Ce qui permet d’insister sur Ad Te, l’orientation vers Dieu qui ouvre l’année liturgique. Et le début de la mélodie fait écho au début de celle de l’offertoire du dernier dimanche de l’année. Passage de témoin.

Le chant ajoute « Domine » après « Ad Te ». Ou plutôt le restitue, puisqu’il se trouve dans le psaume.

Avant le missel de saint Pie V, cet offertoire avait, comme les autres, des versets. L’Offertoriale publié par Solesmes en 1935 a ces deux versets, pris aussi du psaume 24 dans une ancienne version latine :

5 Dirige me in veritate tua, et doce me, quia tu es Deus salutaris meus, et te sustinui tota die.

16a Respice in me, et miserere mei, Domine, 20 Custodi animam meam, et eripe me, non confundar quoniam invocavi te.

Conduisez-moi dans votre vérité, et instruisez-moi, car vous êtes le Dieu mon Sauveur, et j’ai espéré avec constance en vous tout le jour.

Regardez-moi, et ayez pitié de moi, Seigneur. Gardez mon âme, et délivrez-moi ; que je ne sois pas confondu, parce que je vous ai invoqué.

Commentaires

  • Ces saccades, ces à-coups, ces gros appuis bien lourds sur certaines premières syllabes (levavi... meam... Deus meus…), outre qu'ils n'ont aucune justification neumatique, sont bien laids. Comme ces interprétations ont mal vieilli !

  • ...pardonne nous nos offenses comme nous le pardonnons... ce qui n'est pas le cas du dénommé stravorius qui par son comportement constamment sûr de lui et dominateur décridibilise la religion catholique et le blog de Y Daoudal. Ce personnage paraît ici en mission tel un stravorius sans prépuce.

  • Je ne suis ni juif, ni musulman ni n'ai jamais souffert de phimosis, et je ne suis dons pas circoncis. Je n’œuvre pas à décrédibiliser la religion catholique ou le blog d'Yves Daoudal. Je ne m'appelle pas Stravorius et je ne censure personne, n'en ayant d'ailleurs pas le pouvoir.
    Xoxot, Paul ou Jean, ton nom est Légion, ce qui n'est jamais bon signe, et tu pratiques l'inversion accusatoire, ce qui participe à définir ton identité tribale. Des posts comme les tiens ne déshonorant que toi, c'est une raison supplémentaire de n'en pas réclamer la censure.

  • "et je ne suis donc..."

  • Un parano-schizophrène vraisemblablement.
    Ayant horreur des fous je cesse là tout échange avec l'aprépucé dérangé. Je plains Daoudal qui supporte l'énergumène depuis des années.

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