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L’Eglise LGBT

Dimanche, pour la « Journée mondiale des pauvres », François a invité 1.200 pauvres à manger dans la salle Paul VI. Ce qui a intéressé les agences de presse est que parmi les « pauvres » il y avait les désormais célèbres « trans » de Torvajanica : des clandestins d’Amérique latine qui se font passer pour des femmes et qui vivent de prostitution dans ce bas-fond de Rome livré à tous les trafics. Des prostitués qui sont les chouchous du prêtre local, Andrea Conocchia. C’est lui qui, grâce à François, avait amené ses « trans » au Vatican pour les « vacciner » contre le covid avant tout le monde… C’était une « caresse papale pour les transsexuels », avait dit don Andrea.

Dimanche, les agences étaient contentes : « Pour ce groupe de femmes transgenres, le pape et son message d'inclusion sont un changement bienvenu », a titré l’AP.

L’agence souligne que depuis le covid « ces femmes (sic) se rendent désormais tous les mois aux audiences générales du mercredi de François, où elles bénéficient de places VIP. Un jour donné, elles reçoivent des médicaments, de l'argent et du shampoing. »

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Commentaires

  • Bergoglio-el-D a juste oublié d'inviter de pauvres Catholiques chinois. C'est loin la Chine, il n'avait pas assez de sous pour payer leur voyage et les visas. Le repas a dû probablement être "sponsorisé" par Coca Cola (photo)

  • En effet, je n'avais pas remarqué.

    Et donc les pauvres n'ont pas droit au vin. En Italie...

  • On y voit une brave (?) dame (?) s'emmerder à cent sous de l'heure et s'occuper à un candy crush sur son téléphone. On sent qu'on est dans du lourd, dans le moment historique comme-ils-disent.

  • La brave dame, c'est sûrement une pauvre.

  • En montrant du doigt son verre el Bergoglio dit "in aquae mendacium" (photo)
    Et coincidence? sur la photo seules les étiquettes de coca-cola sont lisibles, pas les jus de fruit ni d'eau. Mais bon, la forme de la bouteille et la couleur, pas besoin de lire l'étiquette. Drinkons yankee, ça rend intelligent

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