Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pas mon Eglise

evry-lgbt.jpg

Le diocèse d’Evry fait carrément, ouvertement, de la propagande LGBT.

Le titre pourrait laisser croire à un questionnement, à une « approche » ambiguë comme le fait François en permanence, à une « posture évangélique » qui sème la confusion de façon anti-évangélique. Mais non. Le conférencier est un ardent militant LGBT, un militant de la reconnaissance des déviations sexuelles dans l’Eglise. Il fait partie du groupe qui ose blasphémer les noms de David et Jonathan, et il a écrit des livres dont les titres sont on ne peut plus explicites : “Chrétiens homosexuels en couple, bonheur et sanctification“, “Chrétiens homosexuels en couple, un chemin légitime d’espérance”.

Et, double effet woke garanti : le diocèse choisit l’écriture soi-disant « inclusive »…

Commentaires

  • A Evry, ils pourront transformer leur "cathédrale" à l'architecture maçonnique en temple de la débauche sodomite et en lupanar pédophile. Les évêques et le gouvernement s'y activent très fortement. Le feu du Ciel ne va pas tarder à tomber.

  • « Tes désirs te porteront sur lui » (Gn 3:16) est le fruit de la chute et le moteur de la sexualité animale. Que l’objet du désir soit parfois erroné ne change rien à l’affaire, le désir sexuel est un problème, un obstacle potentiel sur un chemin de sainteté.
    La voie du Christ nous libère de ce péché, mais encore faut-il l’identifier correctement, non pas tellement en dénonçant l’erreur, mais surtout en « apportant un témoignage à la vérité » (Jn 18:37).
    Même dans un mariage extérieurement catholique, la sexualité reste un piège animal si elle n’est pas vécue comme un moyen de nous configurer à Dieu.
    D’abord bien sûr par le don mutuel de l’un à l’autre, mais c’est aussi une spiritualité présente dans les monastères, et qui est objectivement accessible à des couples de tout genre. La vérité ne se limite donc pas à cela.
    Le mariage est ce qui nous fait toucher du doigt (si j’ôse dire) la différence et la complémentarité entre Homme et Femme, non seulement bien sûr physique, mais surtout spirituelle. Chacun doit permettre à son partenaire de découvrir et s’épanouir pleinement dans ce qu’il est, et il existe une vocation spirituelle tant masculine que féminine. « Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme » - ça veut bien dire qu’il y a en Dieu ces deux natures, et ce serait châtrer la spiritualité que d’en identifier une en occultant l’autre.
    Ces deux natures divines se retrouvent dans l’acte de création, où Dieux à la fois nourrit sa créature (féminité) et lui donne les moyens de sa liberté (masculinité). Les (potentiels) parents sont appelés à se configurer à Dieu y compris dans leur rôle vis-à-vis de leurs enfants. C’est en cela que l’acte sexuel ne peut prendre son sens spirituel que lorsqu’il est ouvert à la procréation, image de l’acte créateur de Dieu qui nous donne accès à notre nature. De ce point de vue, la sexualité chrétienne doit être vécue saintement, en configuration spirituelle à Dieu, comme une hiérogamie.
    Clairement des couples non complémentaires ne peuvent pas être la substance de cette réalité spirituelle, et de ce point de vue, leur union ne pouvant par nature pas être sacramentelle ne peut qu’être condamnable comme se limitant à sa réalité animale.
    Maintenant, combien de couples aspirent réellement à une sexualité sacramentelle? Si nous ne convertissons pas nous-mêmes, quelle légitimité avons-nous à l’exiger d’autres?
    Soyons la lumière du monde et le reste sera donné par surcroît.

  • Biem,
    Globalement d'accord avec vous, sauf concernant ce passage "il y a en Dieu ces deux natures, et ce serait châtrer la spiritualité que d’en identifier une en occultant l’autre."
    Dieu est créateur et l'homme et la femme sont des créatures limitées et finies. Le sexe et l'altérité ont été voulues par Dieu pour ses créatures et on ne peut pas se permettre d'analogie avec Lui qui n'est pas une créature finie et limitée, qui de plus a besoin de l'autre différent pour s'accomplir. Dieu n'est ni homme ni femme, Il est Dieu.
    Concernant la nécessaire conversion, j'y pense en toute circonstance avant de vouloir donner une leçon à d'autres qui vivent dans le désordre.
    Les personnes homosexuelles sont avant tout hommes ou femmes qui ont manqué de représentation positive de leur sexe et de l'autre sexe leur permettant de construire leur propre identité affective et sexuelle. Il leur est donc particulièrement difficile de ne pas être tentés d'inventer ce qu'ils n'ont pas appris et de ne pas réduire la sexualité à l'idée qu'ils s'en font en restant centré sur eux-mêmes. Je ne justifie pas ni ne croit à la fatalité, mais comme humains nous voulons des réponses souvent satisfaisantes à première vue voire avantageuses d'un premier abord.
    On ne dira jamais assez les drames d'une carence éducative, de blessures affectives qui peuvent vous suivre toute l'existence. Je pense que la personne homosexuelle doit d'abord accepter de reconnaitre ses défaillances au lieu de les évacuer pour prétendre s'inventer. Mais même avec les meilleurs dispositions, je doute des "conversions" avec des blessures et des habitudes acquises profondément enracinées en soi.
    Comme des personnes inaptes à la complémentarité, pas forcément homosexuelles, ayant subi des évènements traumatisants, viols ou traumatismes éducatifs, il faut probablement accepter d'être différent, comme handicapé, et de devoir vivre radicalement la chasteté et la continence pour avancer sur son chemin de sainteté ouvert à toute créature. C'est ce que refusent les tenants du lobby homosexuel et les "catholiques" libéraux qui refusent leur condition, causé par le péché originel puis à cause de l'action d'humains, et leur état de créature qui doit tout à Dieu et doit Lui rendre compte de ce qu'il est.
    Le désespoir et l'orgueil au milieu du chemin qui doit nous mener à la sainteté.

  • Bien sûr que Dieu n'est ni homme ni femme, la question n'est pas là. Le point est que la spiritualité masculine et la spiritualité féminine sont de deux essences différentes.
    Dieu procède des deux essences, mais dans notre humanité, ces essences sont représentées par le mâle d'un côté et la femelle de l'autre. « Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme » -- ce sont bien deux images, chacune à sa manière à l'image de Dieu.
    Homme et Femme sont par nature incomplets, et vivent dans cette limitation ; ce n'est que dans leur réunion qu'ils peuvent être le symbole de la plénitude divine.

  • @Biem
    Rien compris à votre propos de "sexualité sacramentelle".
    En plus, vous prétendez qu'une "faute" (?) de la part des gens ordinaires leur ôte le droit de critiquer les pédales.
    Vous savez quoi, cher Biem, allez vous faire voir chez les Grecs ; et surtout, restez là-bas entre vous.

  • Biem est sûrement assez grand pour se défendre, mais si l'union sacramentelle est le mariage, la sexualité sacramentelle est celle des époux.
    Vos imprécations sont déplacées.

  • Face à des interlocuteurs qui ne se préoccupent que de "jouir sans entrave", un discours qui se limite au plan de la sexualité animale n'a pas de légitimité, et "critiquer les pédales" ne relève alors que d'un discours de haine - ce n'est pas la voie que montre le Christ.
    S'il faut agir sur le plan sociétal, donc politique, il faut attaquer le mal à sa racine: l'amour de Soi jusqu'à l'oubli de l'Autre. Quand l'Autre devient un objet, la porte est ouverte à toute violence, et le seul message à crier au monde, à temps et contretemps, est "tu aimeras ton prochain comme toi-même". Sur le plan sexuel, l'Autre ne peut pas se réduire à une éponge à libido, et faire passer ce message est le commencement de la voie vers la sagesse : la sexualité est avant tout une relation entre personnes, qui s'exprime sur tous les plans, y compris physique, y compris spirituel.
    Après, entre personnes convaincues de la primauté du spirituel, on pourra discuter de la nature spirituelle de la féminité et de la masculinité, et de la beauté transcendante de leur union - mais franchement, dans l'état actuel de la société, on n'en est pas là.

  • Apparemment, cher Biem, on n'en était pas là non plus au temps de saint Paul, qui disait : "Mieux vaut se marier que brûler".
    Mais on avait, jusqu'au XX° siècle, la conscience de ce qu'est un rapport sexuel naturel et un rapport sexuel contre-nature.
    Cela ne garantit pas que le premier soit plus saint, mais du moins il ne détourne pas le corps humain des saines fonctions qui lui ont été données. La sagesse de saint Paul ne vaut-elle pas la vôtre ?

  • Dans ce diocèse, Bruno, un adjoint à un directeur d’école « catholique » a été mis en vedette à l’occasion du synode sinueux sur la synodalité cheminante. Il explique qu’il est marié avec Nicolas… je vous laisse découvrir cette vidéo très « inclusive »… https://m.youtube.com/watch?v=a-Yglw33LXI

  • Ces gens là veulent que nous soyons inclusisf avec des comportements moralement désordonnés mais ils ne sont surtout pas inclusifs avec ceux qui leur font remarquer qu'ils ne respectent pas l'enseignement de l'Eglise. Et ils ont "amoris laetitia" à la bouche et ils haïssent les catholiques traditionnels. Satan joue sur du velours, tellement les gens sont bêtes et imbus de leur "moi". Pour Bergoglio-el-demonio, le seul péché c'est le pélagianisme. Ces synodes bidon font croire au gens que leur opinion est prise en compte alors que les décisions sont déjà prises par l'imposteur-dictateur.

Les commentaires sont fermés.