Le propre de la messe de ce jour par la schola des Pères lazaristes de Paris en 1959.
Introït
Dóminus illuminátio mea et salus mea, quem timebo ? Dóminus defénsor vitæ meæ, a quo trepidábo ? qui tríbulant me inimíci mei, ipsi infirmáti sunt, et cecidérunt.
Si consístant advérsum me castra : non timébit cor meum.
Le Seigneur est ma lumière et mon salut, qui craindrai-je ? Le Seigneur est le défenseur de ma vie, de quoi tremblerai-je ? Mes ennemis qui me suscitent des maux, ce sont eux qui se sont affaiblis et sont tombés.
Si des armées rangées en bataille s’élèvent contre moi : mon cœur n’aura pas de frayeur. (Psaume 26.)
Graduel
Propítius esto, Dómine, peccátis nostris : ne quando dicant gentes : Ubi est Deus eórum ? ℣. Adjuva nos, Deus, salutáris noster : et propter honórem nóminis tui, Dómine, líbera nos.
Soyez apaisé, Seigneur, quant à nos péchés, afin que les nations ne disent point : Où est leur Dieu ? Venez à notre aide, ô Dieu, notre Sauveur, et pour l’honneur de votre nom, Seigneur, délivrez-nous. (Psaume 78.)
Alléluia
Allelúia, allelúia. Deus, qui sedes super thronum, et júdicas æquitátem : esto refúgium páuperum in tribulatióne. Allelúia.
Alléluia alléluia. O Dieu, qui siégez sur votre trône et jugez avec équité, soyez le refuge des pauvres dans la tribulation. Alléluia. (Psaume 9.)
Offertoire
Illúmina óculos meos, ne umquam obdórmiam in morte : ne quando dicat inimícus meus : Præválui advérsus eum.
Éclairez mes yeux, en sorte que jamais je ne m’endorme dans la mort, et que mon ennemi ne dise pas : J’ai prévalu contre lui. (Psaume 12.)
Communion
Dóminus firmaméntum meum, et refúgium meum, et liberátor meus : Deus meus, adjútor meus.
Le Seigneur est mon ferme appui, mon refuge et mon libérateur ; mon Dieu est celui qui m’aide. (Psaume 17.)