Dans l’avion qui le ramenait de sa petite réunion de relativisme religieux à Bahreïn, François a été interrogé sur la nomination de la militante pro-avortement Mariana Mazzucato à l’Académie pontificale pour la vie. Réponse :
"Et voilà, j’ai nommé Mariana Mazzucato au Conseil pour la famille. C’est une grande économiste des États-Unis que j’ai engagée pour donner un peu plus d’humanité à la chose. Les femmes apportent leur propre contribution. Elles ne doivent pas devenir comme les hommes. Non, ce sont des femmes, nous avons besoin d’elles."
On remarque que François confond le Conseil pontifical pour la famille et l’Académie pontificale pour la vie… (C’est à peu près comme si un président de la République confondait le ministère de la Famille et le Conseil économique et social.)
Mais surtout évidemment François assume personnellement et pleinement la responsabilité de la nomination.
En précisant, atrocement, qu’il nomme une militante de l’avortement « pour donner un peu plus d’humanité à la chose ».
Commentaires
« pour donner un peu plus d’humanité à la chose ». C'est un propos entièrement luciférien. Y a-t-il encore quelqu'un qui pense que mon "Bergoglio el demonio" est exagéré?
Je ne pense pas que Simone Veil, Margaret Sanger, Emma Bonino aient mis un peu plus d'humanité dans leurs actions.
Le caudillo Bergoglio est devenu aussi barjot que J. Robinet Bidon ? Pour maintenir des pareils en fonction, il faudrait en tester les capacités. On parle ben de retirer le permis de conduire aux vieux.
En plus, le caudillo manifeste une versatilité calculée : s'il dit tout et son contraire, c'est pour pouvoir brouiller les cartes. "Mais ça voyez-vous, je vous l'ai dit, tel jour !"
Caudillo : c'est à l'occasion des noces du général Franco que cette appellation lui fut attribuée, dans un sens laudatif. C'est devenu une insulte, ce qui m'inquiète un peu. Dans 50 ans, peut-être que Mozart sera devenu l'emblème du plus affreux des totalitarismes, juste à cause du "Mozart de la finance", qui a trahi la nation, vendu Alstom aux Amerloques, emprisonné puis empoisonné les Français, empêché les enfants de respirer, euthanasié les vieillards, ruiné les PMA, vidé les supermarchés, fermé les hôpitaux, démantelé la défense, coupé l'électricité.
Surtout que le "Caudillo" était, lui, un brave homme, un homme aussi bienfaisant que possible pour la nation dont il avait la charge.
Oui, Stavrolus, vous avez raison " C'est devenu une insulte, ce qui m'inquiète un peu", mais dans la bouche des gauchiasses incultes et des démoncrates abrutis qui n'ont rien compris à la guerre civile espagnole de 36-39. Malheureusement le catholique Bernanos d'habitude mieux inspiré a emboité le pas des anti-Franco avec son déplorable et injuste "les cimetières sous la lune", où il confond Francisco Franco avec son frère Ramón, général de l'air républicain et ressort quantité de bobards anti-hispaniques indignes d'un catholique.
Caudillo était le nom des chefs de guerre du temps de la Reconquista qui bouta hors d'Espagne les envahisseurs. Il leur fallut 8 siècles pour cela. J'espère qu'on mettra moins de temps aujourd'hui.
Comme Claudel (avec des nuances) et Mauriac (avec des nuances), Bernanos a choisi les honneurs et la facilité, le voyage en première classe et les médailles. Paradoxalement, le maréchal Pétain est plus rimbaldien que Claudel, plus catholique que l'abbé Donissan et plus proustien que Mauriac. Il est plus grand, et Franco ou Salazar le sont aussi, sans parler d'un Gabriel Garcia Moreno !
Vous connaissez la citation d'Alfred Hitchcock (qui n'a jamais eu un Oscar pour un de ses films en tout cas) ? "On dit que je n'aime pas les femmes, mais je n'aime pas les hommes non plus." Il aurait dû, chrétiennement, les aimer, mais pas leurs pompes et leurs honneurs.
Quand on tape sur un moteur de recherche "conférence de presse dans l'avion", on s'aperçoit que cette méthode de communication est une exclusivité pontificale. Elle semble avoir été inventée sous (par ?) Jean-Paul II. Parmi les vidéos proposées sur YouTube, j'en trouve une de Benoît XVI, le reste étant constitué de l'inénarrable bêtisier bergogliesque, ce bavard lénifiant, pontifiant, moralisant, approximatif et obscène.
"Encore un peu plus bas" est une bonne devise pour François, mais qui ne s'accommode guère de l'avion. A l'avenir, il pourrait organiser ses déplacements en sous-marin ; il devrait aussi prendre le métro de temps à autre ; mais je pense que le moyen de transport qui lui conviendrait le mieux serait le tunnelier, encore appelé taupe :
https://www.youtube.com/watch?v=E9T9Ehv6mrA