La furie de l’avortement Laurence Rossignol a fini par admettre que les propositions de loi constitutionnelle visant à inscrire le « droit à l’avortement » dans la Constitution n’aboutiront pas. Hier, soit deux jours avant le débat de l’une d’entre elles au Sénat*, elle a déclaré qu’en réalité seul le gouvernement peut vraiment prendre l’initiative d’une réforme constitutionnelle et que les propositions de loi ne peuvent pas arriver jusqu’au bout. Elle appelle donc le gouvernement à présenter un projet de loi.
* En fait c'était aujourd'hui et le Sénat a voté contre (172 contre 139).
Commentaires
Il y a l'oiseau chanteur et l'outil à crocheter les serrures mais en médecine vétérinaire le rossignol est un trou qu'on fait entre la queue et le fondement d'un cheval ballonné et poussif. Ce trou communique avec le boyau et se fait avec une grosse gouge que l'on fait rougir.
Laurence est-elle une gouge ? Avec son triste minois, sans doute pas au sens de lorette ou de grisette qu'on donnait à ce mot au XIXe siècle. Peut-être une gougnotte, comme la fameuse Olympe...
En tout cas, le rossignol auquel elle ressemble le plus est celui des vétérinaires. Dédions-lui la chanson :
Mon père était vétérinaire. Il soufflait dans le derrière des chevaux, avec un petit tube en verre, pour les rendre plus beaux. Un jour un cheval récalcitrant souffla avant mon père. On enterra mon père au cimetière des chevaux.
On sait enfin comment théophède est mort. On n'est pas très surpris remarque. Alors, pets à son âme comme on dit.